Ce samedi 29 mai à 21h05, France 3 propose «Meurtres à Toulouse». Dans ce téléfilm, on peut retrouver Yvan Le Bolloc’h en ancien rockeur.
Le comédien nous parle de son actualité dans une interview-vidéo à découvrir ci-dessous.
Comment peut-on résumer votre personnage dans «Meurtres à Toulouse» ?
Je suis chargé de prendre soin de ma nièce, elle va faire ses premières armes dans la police avec un commissaire un peu bourru. Je travaille dans un magasin de musique et j’ai été longtemps bassiste dans un groupe de rock.
Vous êtes fan de musique, même musicien. Est-ce un hasard que votre rôle soit rattaché à la musique ?
Je suis un ancien rockeur recyclé en vendeur d’instruments. Une collaboratrice du producteur du téléfilm a soufflé mon nom pour ce rôle car cela m’allait bien au teint.
Quel regard portez-vous sur la télévision d’aujourd’hui ?
C’est un média qui peut éveiller les consciences. On peut apprendre plein de choses avec le service public. Je suis passionné de politique depuis tout petit. Il y a une émission que je ne rate jamais, qui s’appelle «C politique» sur France 5. J’aime bien apprendre des choses quand je regarde la télévision. C’est une source de respiration par rapport à la montée de chaînes d’opinion. En France, on a une chaîne d’extrême droite avec CNews.
Dans cette crise du COVID, vous avez sorti un single « Esperanza », pouvez-vous nous en dire plus sur ce projet ?
Il y a un hôpital à Perpignan qui a accueilli un grand nombre de gitans au début de la crise sanitaire. Les gitans voulaient remercier le personnel soignant. Je leur ai proposé de faire une chanson. On a demandé à Kendji, Patrick Sébastien, les Gipsy Kings. On a fait une quête avec ce titre pour le personnel soignant. À travers Perpignan, c’est à tous les hôpitaux qu’on souhaite apporter notre soutien.
«Caméra café» de retour, les gilets jaunes, l’humour à la télévision… Yvan Le Bolloc’h répond dans la vidéo ci-dessous :
