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Michaël Youn et Constance Gay, père et fille à travers les époques
Michaël Youn et Constance Gay sont à l’affiche de la série «Flashback», à voir sur RTL tvi à partir du mercredi 19 février à 20h30.
Rencontre avec les comédiens.
Est-ce qu’on peut résumer la série comme la relation entre un père et sa fille, un retour en 1994 pour éviter le pire ?
Michaël Youn : La fille est une flic de 2025, elle va se retrouver en 1994 pour enquêter sur la mort de son père. Mon personnage a des idées courtes, le plafond un peu bas. C’est du policier avec de la comédie.
Constance Gay : La fille a l’image du père superhéros, elle va découvrir que son père est un beauf.
Dans votre vie personnelle, avez-vous été déçu en apprenant des choses sur vos parents ?
Constance Gay : Quand on est enfant, on a l’œil de Peter Pan. Quand on grandit, c’est forcément différent. C’est beaucoup plus complexe.
Michaël, faites-vous attention à l’image que vous pouvez renvoyer à vos enfants ?
Michaël Youn : Oui, évidemment. Tu ne peux pas être naturel devant tes enfants par moment. Tu essaies d’être exemplaire. Tu évites de rentrer mort bourré à 4h du matin. Malheureusement, certains parents le font. Quoiqu’il arrive, les enfants vous reprocheront des trucs.
Que regrettez-vous des années 90 ?
Michaël Youn : Jacques Chirac ! J’aimais bien la politique de l’époque. C’est irresponsable de ne pas s’y intéresser. Si tu ne vas pas voter, tu fermes ta gueule. Je la trouvais passionnante dans les années 90, les politiques étaient vraiment là par conviction.
Constance Gay : Mon innocence.
La série « Face à face » va-t-elle continuer ?
Constance Gay : Oui, on va tourner la quatrième saison. La troisième saison va bientôt être en diffusion.
Michaël, un retour à la télévision est-il possible ?
Michaël : Oui, c’est possible. J’aime bien danser dans toutes les discothèques. J’aimerais bien faire un late show, faire des délires à la télévision. Le «Morning Night» est là où on l’a laissé. On en a fait quatre. Ça nous a épuisé de faire cette émission, on n’avait pas aussi plus de sous qu’à l’époque, l’émission nous coûtait cher.
Retrouvez l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :
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