RTL TVI a lancé la deuxième saison des «Traîtres» le dimanche à 20h45. Parmi les candidats, Mario Barravecchia, le Belge de la saison 1 de la «Star Academy» (2001).
Rencontre avec le Flémallois d’origine, qui vit aujourd’hui en France.
Pourquoi avez-vous accepté de faire ce programme ?
Je voulais faire un truc avec la Belgique car c’est là que j’ai grandi. Cela me fait plaisir de retrouver le public belge. Je ne connaissais pas l’émission, j’ai regardé les épisodes de l’année passée, j’ai trouvé le concept très intéressant.
Avez-vous été trahi dans votre vie ?
On a tous été trahis dans notre vie que ce soit en amitié ou dans les affaires. On est éternellement en apprentissage dans la vie.
Certains participants m’ont soufflé que vous aviez une pièce favorite dans le château. À votre avis, laquelle ?
Le bar ! J’ai piqué des bouteilles de porto de 20 ans d’âge. Je me suis fait engueuler par la production, ils m’ont confisqué la bouteille alors que j’ai 46 ans !
On vous retrouve dans une émission, est-ce que vos projets concernent encore la télévision ?
J’ai un album en préparation et je peux vous annoncer que je vais sortir un livre fin mai. Ce livre va raconter ma relation avec mon père et la maladie de Charcot. Il est très important pour moi de rendre hommage à mon papa et de parler aussi de l’euthanasie.
Cela suppose que vous avez été confronté à l’euthanasie ?
J’aurais dû prendre la décision bien avant avec mon papa. Il a souffert. C’était six mois de souffrance. Il me disait de signer le papier mais ce n’est pas si facile que ça. Celui qui a le seul droit de choisir, c’est celui qui souffre.
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