Léa François de retour dans «Fort Boyard» : «J’ai peur de tout»

Léa François © RTBF/ALP/Laurent Vu
David Barbet Animateur

L’actrice Léa François part à la conquête de «Fort Boyard» ce jeudi 27 juin à 20h30 sur Tipik et samedi 29 juin dès 21h10 sur France 2.

Rencontre avec la comédienne.

Cette année, les cellules interdites sont au cœur de la saison de «Fort Boyard». En quoi cela a changé votre expérience du jeu ?

On a appris cela en débarquant sur le Fort, on a eu des malus quasiment à chaque épreuve. On a eu un handicap avant même de rentrer dans les épreuves.

C’est votre troisième participation. Est-ce l’année la plus difficile de toutes ?

Chaque année est difficile. Je suis une bonne cliente car j’ai peur de tout. C’était encore terrible cette année.

Quelle est votre impression quand vous êtes rentrée sur le Fort ?

C’est l’émission de mon enfance, on regardait ce programme avec mon frère en mangeant la glace du samedi. Quand j’arrive sur le Fort, je suis hyper stressée et en même temps on a une sorte de pouvoir pour réussir les épreuves.

En 2021, vous aviez fait l’épreuve de « La cloche » à quelques mètres en hauteur sur le Fort. Avec le recul, quel votre sentiment sur cette épreuve ?

C’était horrible, j’ai rigolé quand j’ai vu ma tronche à la télévision. J’avais réussi à avoir l’indice. C’est le pire truc au monde, j’ai le cœur qui se soulève quand je passe sur un dos d’âne. Elle est terrible cette épreuve car les copains tirent pour vous balancer.

On vous retrouve aussi dans « Plus belle la vie » sur RTL tvi et TF1. Comment se passe ce renouveau ?

Cela se passe très bien, le public est au rendez-vous. On a retrouvé la famille, nos marques, les personnages.

Il y a une intrigue autour du personnage d’Abdel qui était incarné par Marwan Berreni. Est-ce que c’était les scènes les plus difficiles à tourner ?

Oui, c’est très compliqué pour moi. Je m’étais mis en tête que c’était une fiction. C’est impossible de puiser des choses trop personnelles dans ces circonstances. C’est vraiment beaucoup trop dur. On a fait une intrigue chouette pour les personnages, le public avait besoin d’un hommage à Abdel. Cela fait aussi du bien aux gens.

Retrouvez l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici