Joëlle Scoriels : «Un projet que je dois à ma mère»

David Barbet Animateur

Joëlle Scoriels a sorti un recueil de ses chroniques à la radio dans un livre intitulé «Les Dessous de la langue française».

Rencontre avec l’animatrice. 

Qui a eu l’idée de faire un livre de vos chroniques sur la langue française ? 

Ma mère, mais elle est décédée depuis. Elle trouvait l’idée merveilleuse. Une éditrice voulait aussi en faire un livre. Cela me rend triste du fait qu’elle ne voie pas le projet se mettre en place. Cela lui aurait fait tellement plaisir. 

Vous avez une licence en philologie romane. Pourquoi ne pas avoir fait le métier de professeur ? 

Normalement, avec mon cursus, on devient prof en secondaire. On donne des cours de français. Je n’ai pas le cran pour faire ça. J’aime transmettre mais c’est dur de gérer une classe. Quand je fais mes études, je fais juste un truc pour m’éclater sans un projet derrière. C’est difficile d’être prof.

Vous avez animé « 69 minutes sans chichis » sur La Deux. Pourquoi l’émission s’est-elle arrêtée ? 

On a arrêté car « La Deux » est devenue « Tipik ». Notre public était plus vieux que celui de Tipik. C’était tellement chouette à faire. C’était une émission régulière en direct. Cela me manque. 

Est-ce vrai que vous allez être la nouvelle présentatrice de « The Voice Belgique » ?

Ce n’est pas sûr et certain. Je ne sais pas si je suis bien placée. Je sais que mon nom figure dans les possibilités. C’est un programme avec de l’ampleur. Il y a un défi professionnel avec une rencontre avec des talents. J’adore le programme. 

Retrouvez l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous : 

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