Jill Vandermeulen : «La télévision était secondaire financièrement»
Jill Vandermeulen s’est confiée à notre animateur David Barbet et à la juge Anne Gruwez dans le cadre du podcast «Face à la juge Gruwez», à écouter sur Auvio. Rencontre avec la créatrice de contenus.
Il y a quelques mois, vous avez quitté RTL. Vous reverra-t-on prochainement à la télévision ?
La porte n’est pas fermée. Je me focalise sur des projets qui fonctionnent bien. J’ai aussi la casquette de maman. Ce qui me permet de progresser dans ma carrière, c’est Internet.
Vivez-vous de vos revenus grâce aux réseaux sociaux ?
Oui, la télévision était secondaire sur le plan financier.
Vous a-t-on déjà proposé de faire de la téléréalité ?
Non, on ne me l’a jamais proposé. Et je refuserais de faire des émissions comme «Secret Story». En revanche, j’aimerais bien participer à «Pékin Express», c’est une expérience de vie.
Comment passe-t-on de «Star Academy» à des photos pour Playboy ?
Quand j’ai participé à la «Star Academy», j’avais 17 ans. C’est à 22 ans que je suis devenue playmate. Je pense qu’il y a une grande différence entre se voir demander d’être plus sexy par une production et faire le choix personnel d’assumer son corps de femme.
Quel est votre avis sur votre expérience à la «Star Academy» ?
La partie vicieuse des téléréalités est la manipulation des candidats. Avant de participer à l’émission, on a un entretien avec une psychologue pendant deux heures. Elle n’est pas là pour vous aider, mais pour analyser ce qu’on peut tirer du candidat dans l’aventure pour faire de l’audience. Ce sont les failles qui vendent le plus.
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