Parmi les premier candidats de la saison, Jean-Baptiste Marteau, journaliste à France Télévisions, se frotte au «Fort Boyard» ce vendredi à 20h30 sur Tipik et samedi à 21h05 sur France 2.
Quand vous étiez enfant, vous étiez fan de «Fort Boyard». Ça doit être une belle expérience de le vivre en vrai pour vous…
«Fort Boyard» a bercé mon enfance. Je passais toutes mes vacances en face du Fort. Je le voyais au loin. Je ne loupais pas une seule émission, je faisais même Olivier Minne dans mon jardin avec mon frère et mes cousins. Quand je suis arrivé à France Télévisions, c’est l’une des choses que je voulais faire. J’ai dit oui tout de suite quand on me l’a proposé.
Pour vous, c’est votre deuxième fois sur «Fort Boyard». La magie est toujours la même ?
C’était l’une des questions que je me posais, est-ce que j’allais perdre la magie ? Et pas du tout, une fois que vous posez le pied sur le Fort, vous embarquez avec vous votre âme d’enfant et c’est parti. On passe un moment éprouvant mais extraordinaire. Je ne suis pas encore revenu sur terre, plusieurs jours après le tournage.
Êtes-vous impatient d’être à la tête d’un 13h ou 20h ?
Oui, si cela se présente un jour. Il faut qu’il y ait la bonne rencontre au bon moment. Chaque année, on a des discussions sur ce qu’on veut faire, aller ailleurs ou non. J’ai la chance de faire toute la gamme du métier de journaliste. Je fais du terrain, je fais des remplacements au JT, et même «Fort Boyard» etc..
Avec le départ de Marie-Sophie Lacarrau, il y avait une place à prendre au 13h de France 2 ces derniers mois…
Julian Bugier a pris la suite, cela se passe bien pour l’instant. On en a discuté avec la direction mais ils ont fait le choix de Julian Bugier. C’était logique, il est là depuis longtemps. Je n’ai pas eu de déception particulière. Quand on voit des opportunités qui se dessinent, on se dit pourquoi pas moi. Il y a eu d’autres opportunités mais ce n’était pas pour moi. Il ne faut pas sauter sur toutes les occasions.
Allez-vous rester sur France Télévisions la saison prochaine ?
C’est bien parti. On est que mi-juin, on a le temps.
Son équipe Fort Boyard, ses peurs, l’énigme du Père Fouras à voir dans l’interview en intégralité :
