Gérard Lenorman sera de passage au centre culturel d’Uccle le 12 novembre prochain. Rencontre avec le chanteur.
Que va-t-on voir le 12 novembre à Uccle ?
J’ai la chance d’avoir une longue carrière, on me reproche souvent de ne pas faire tous mes titres qui ont eu du succès. On connait les chansons que les gens attendent mais j’aime bien aussi mettre quelques titres moins connus.
Si vous étiez président, qui serait ministre de la télévision ?
Aucune idée, je regarde très peu la télévision. Je n’ai pas le temps de regarder la télé, je ne suis pas largué non plus. Ce n’est pas ma priorité, par contre je sais ce qui se passe dans le monde. Je ne suis pas planté devant la télévision en permanence.
Pensez-vous arrêter un jour comme votre ami Serge Lama ?
Serge a tenu bon. Je saurai quand il faudra le faire. Je suis encore en bon état, je ne chante que si j’ai la foi, et pour le moment, je l’ai encore.
Y a-t-il un message que vous n’avez jamais osé délivrer et que vous souhaitez peut-être dire un jour dans une chanson ?
Non, je ne peux pas dire ça. J’ai dit beaucoup de choses dans ma simplicité à moi, j’aime être perçu directement et par tout le monde. Je fais très attention à mes textes, je ne veux pas qu’on en doute. J’ai dit des choses suffisamment précises pour enlever le doute. Il faut toujours bien dire les choses.
Dans la chanson « Maman », vous évoquez votre maman avec un message touchant. Vous avez une histoire atypique, pouvez-vous nous l’expliquer ?
Non, une maman est une maman. Il faut respecter ce qui vous a fait vous-même. Même si on a souffert, ce n’est pas suffisant pour s’en faire du mal.
Gérard Lenorman parle de son refus d’être coach dans un télécrochet en Belgique, son rôle dans le film «Les Sous-doués en vacances», sa présence dans les Enfoirés, il dit tout ci-dessous :
