Clémentine Célarié : «Ne me parlez pas comme à une vieille»

Clémentine Célarié © Getty Images
David Barbet Animateur

Clémentine Célarié est à l’affiche de la série «Enquêtes en famille» à voir sur La Une à partir du jeudi 10 avril à 20h30. 

Rencontre avec la comédienne. 

Comment peut-on définir votre personnage dans cette série ? 

Elle habite dans un petit village en Bretagne. Elle forme un couple avec un quincailler. C’est une mère possessive, curieuse, qui a beaucoup de défauts mais qui aime ma fille. Elle est passionnée par les enquêtes, elle va aider sa fille qui est flic. 

La curiosité est-elle un vilain défaut ? 

Non, c’est bien. Il faut s’intéresser aux autres. C’est aussi découvrir. La curiosité est une belle chose, c’est être aventurier. 

Vous allez aussi jouer dans une autre fiction à venir, « Mémoire vive ». Quel souvenir aimeriez-vous ne jamais oublier dans votre carrière ? 

Je n’ai pas de carrière, ne me parlez pas comme à une vieille. Je regarde vers l’avant. Je n’ai pas de regrets. Le plus beau souvenir de ma vie, c’est forcément la naissance de mes enfants. 

Vous avez déclaré « vouloir vous marier ». Avez-vous une avancée sur ce projet ? 

Avec qui ? Je n’en sais rien. On ne cherche pas l’amour. Je n’ai pas le temps, je travaille sans arrêt. Quand j’ai du temps, je vais voir ma maman et mes enfants. Je pense à mon amoureux mais cela ne suffit pas. Je voudrais me marier quand ça sera plus calme. J’aimerais le faire quand je serai vraiment vieille avec une robe blanche. 

Pourquoi avoir choisi de faire carrière avec Clémentine comme prénom ? 

Mon prénom est Meryem. On m’a appelée Clémentine quand je faisais de la radio. J’ai dit oui et j’ai gardé Clémentine. Maintenant, je dis que je m’appelle Meryem. Je pense à reprendre mon vrai prénom. 

Est-ce que votre liberté de ton vous a coûté pendant votre vie ? 

Oui, bien sûr. Je n’ai jamais été soucieuse de mon image, il faut être nature. Cela m’a beaucoup coûté. Je fais attention quand même. Dans notre libération, je dois être naturelle. Je suis une femme comme les autres, je peux me tromper, dire une connerie. 

Retrouvez l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :

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