La Canadienne Charlotte Cardin (30 ans) cartonne avec sa chanson «Feel Good». En préparation de son nouvel album, la chanteuse se confie en interview à Télépro.
Rencontre avec l’artiste.
Comment expliquez-vous le succès de la chanson « Feel Good » ?
Il y a un contexte compliqué dans le monde, c’est une chanson légère, qui te fait te sentir bien. C’est une chanson qui a failli ne pas sortir, elle était pop contrairement à mon dernier album. Quand j’ai écrit la chanson, je me sentais libérée de quelque chose, je me sens forte sur scène quand je l’interprète.
Vous êtes en couple avec le chanteur Aliocha Schneider, est-ce compliqué de partager sa vie avec un autre artiste ?
Non, au contraire. On a un mode de vie qui n’est pas standard. J’ai déjà eu une relation avec quelqu’un qui avait un métier standard, cela crée des frictions. En tant qu’artiste, on a des priorités. C’est compliqué quand c’est quelqu’un qui ne comprend pas le mode de vie.
Est-ce possible d’avoir un album en duo tous les deux ?
On y a déjà pensé, ce n’est pas un projet dans un futur proche. Peut-être un jour mais dans très longtemps.
Vous avez été mannequin, que retenez-vous de ce milieu ?
Le mannequinat est une période de ma vie que je n’ai pas aimée. C’est un monde toxique, je m’amuse nettement plus dans la musique. Je n’avais aucune grande ambition dans le mannequinat.
Vous avez participé à « The Voice (La Voix) » au Québec. Que pensez-vous des émissions dites « télécrochets » ?
C’est un couteau à double tranchant, c’est une belle visibilité mais on peut aussi se perdre car cela ne ressemble pas au métier d’artiste. Il y a des choses qu’on ne contrôle pas, il y a de la drama, de la téléréalité. Il faut y aller sans mettre beaucoup d’espoir dans des émissions comme celles-ci.
Y a-t-il une possibilité de vous retrouver coach ?
J’ai reçu une proposition pour être coach dans « The Voice » au Québec. Ce n’était pas le bon timing pour moi. Ce n’est pas dans mes plans. Cela peut être chouette mais je ne compte absolument pas sur ça.
Retrouvez l’intégralité de l’interview en vidéo ci-dessous :
