Bérénice Bourgueil : «Michel Cymes a cru que je le snobais»

Michel Cymes a lui même recruté Bérénice pour l'accompagner dans «Vitamine C» © France 2/Ingrid Mareski
David Barbet Animateur

L’animatrice belge Bérénice Bourgueil arrive sur France 2 avec un nouveau divertissement coanimé avec Michel Cymes, «Vitamine C», à retrouver chaque dimanche à 17h40 à partir du 10 octobre. 

Que va-t-on retrouver dans «Vitamine C» ? 

De la bonne humeur et des infos. On apprend mieux en rigolant. On va s’amuser. Ce n’est pas un jeu médical mais un jeu sur le bien-être, la santé etc.

Pourquoi Michel Cymes a-t-il fait appel à vous ? 

On s’était aperçu l’un l’autre quand je travaillais sur RTL France, Michel était dans la matinale. Il est venu en tant qu’invité dans mon émission aussi. Je ne pouvais pas imaginer une demi seconde qu’il savait qui j’étais, il a eu vent de comment je pouvais animer un jeu. Avec France 2, ils ont dû entendre parler de moi à RTL avec Bruno Guillon. Le premier coup de fil que j’ai eu, c’était Michel Cymes. J’étais en vacances, les portables éteints et on m’a appelée de partout, même Bruno Guillon m’a appelée pour me dire que Michel Cymes voulait me parler. 

Êtes-vous hypocondriaque ? 

Michel Cymes m’a demandé la même chose. J’ai cru que non mais c’est vrai que quand je sens quelque chose, je pense que je vais avoir un cancer ou un AVC. Au final, je pense que je suis hypocondriaque. 

Est-ce que vos enfants écoutent/regardent vos émissions ? 

Oui, mon fils veut faire le même métier que moi. Ma fille s’en fiche un peu. C’est un métier pas facile, on est de plus en plus à vouloir le faire. J’avoue que j’essaie de l’aiguiller sur autre chose, mais à 13 ans, il veut déjà arrêter l’école. 

La fin de sa matinale du week-end sur Europe 1, Bel RTL, la RTBF… Bérénice répond à tout dans l’interview intégrale :

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