Anne Roumanoff s’est confiée à notre journaliste David Barbet et à la juge Anne Gruwez dans le cadre du podcast «Face à la juge Gruwez» à écouter sur Auvio.
Rencontre avec l’humoriste.
Pourquoi avoir fait le choix de la couleur rouge pendant de nombreuses années ?
Cela s’est fait de manière empirique au début. J’ai fait ma première audition et mon premier spectacle en rouge, j’ai gardé cela comme une couleur fétiche. Je ne suis pas fan du rouge, je n’ai pas de sous-vêtements en rouge, il n’y a pas de rouge chez moi. Aujourd’hui, je suis en noir et blanc sur scène et les gens rigolent tout au temps.
Pourquoi avoir changé de cap du jour au lendemain ?
Cela s’est fait après mon divorce mais je ne sais pas s’il y a un rapport. Je suis quelqu’un qui change, on a le droit de changer et d’évoluer.
Vous êtes une humoriste qu’on a vu beaucoup chez Michel Drucker mais assez peu ailleurs. Pensez-vous être dans le circuit médiatique ?
On m’a pris à la télévision dès le début. Le but n’est pas d’être à la télévision, ce n’est pas mon objectif d’être tous les jours à la télévision.
Avez-vous refusé de faire des émissions de télévision ?
Oui, «Danse avec les stars», «Mask singer» ou encore «Fort Boyard». La télévision pour faire de la télévision, cela ne m’intéresse pas. Je ne sais pas danser en plus, on me l’a proposé une ou deux fois. Je n’allais pas me ridiculiser, je ne sais ni chanter, ni danser.
On vous a vu aussi dans le jury de Miss France en 2017. Quel souvenir gardez-vous de cette aventure ?
J’étais posée là, je ne me sentais pas tellement légitime de juger des Miss, je ne suis pas un prix de beauté. C’était sympa à faire.
Anne Roumanoff sera en spectacle le 18 avril au Cirque Royal à Bruxelles et le 19 avril au Théâtre Royal à Mons.
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