Ce jeudi 8 avril à 20h15 sur La Une, Alexandre Brasseur est à l’affiche du téléfilm «En plein cœur». Un téléfilm qui mettra à l’écran le monde de la police, du pouvoir et les complexités familiales.
Le comédien a répondu à nos questions dans une vidéo à voir ci-dessous.
Que peut-on dire sur votre personnage ?
Il vit sur la réserve, il s’est enfermé dans la solitude. Il voit sous ses yeux les fruits d’un amour, il est dérouté. C’est un personnage en souffrance, il est imbriqué au sein d’une histoire. Mon personnage est passif.
Votre père, Claude Brasseur, a marqué plusieurs générations. Votre famille est entrée dans la famille des téléspectateurs… Comment réagissez-vous à cela ?
C’est très touchant, Claude manque à beaucoup de gens. Claude était l’un des représentants d’une époque révolue. On tourne une page de l’Histoire. Il y a quelque chose de très chaleureux quand les gens viennent me parler de Claude.
Vous jouez aussi dans «Demain nous appartient», comment êtes-vous arrivé dans la série ?
Quand on m’appelle, je ne sais même pas que TF1 prépare une série. On me demande de passer des essais, je tique car je trouve que cela est intéressant. C’est un programme en access, il y a un côté premium. Ils mettent les moyens. Le casting m’interpelle évidemment. Il y a quelque chose de nouveau dans l’histoire de cette série. Je suis arrivé trois semaines avant le tournage, Ingrid Chauvin est arrivée une semaine avant moi. Cela a été très vite.
Avez-vous été approché par «Plus belle la vie» ?
Oui, j’ai dit non. C’était il y a quinze ans, je ne voulais pas m’enfermer dans une série pour être là quinze ans plus tard. Je n’avais pas envie de ça, j’avais envie de bourlinguer. Je ne voulais pas à 30 ans me dire que j’allais travailler avec les mêmes personnes toute ma vie.
«Demain nous appartient», «Danse avec les stars», le cinéma…. La suite de l’interview est à voir ci-dessous :
