Alex Vizorek : «Mes parents n’aiment pas dire quand ce n’est pas bien»
Alex Vizorek s’est confié à notre journaliste David Barbet et à la juge Anne Gruwez dans le cadre du podcast «Face à la juge Gruwez» à écouter sur Auvio.
Rencontre avec l’humoriste.
Depuis quelques semaines, vous présentez « En bande organisée » avec Philippe Caverivière sur France 2. Pensez-vous rester toute la saison ?
J’espère. Si on reste, c’est que l’audience est bonne. On a travaillé pour. On va essayer de détendre les gens à un chouette horaire le dimanche. On va essayer de faire mieux, on a entendu les réflexions des gens. Ma maman m’a dit que ça allait trop vite.
L’avis de vos parents compte beaucoup pour vous ?
Ma maman me dit quand c’est bien. Elle m’a dit qu’elle aimait mes chroniques sur RTL France au bout d’un mois. Elle suit tout ce que je fais. Quand elle ne me dit rien, c’est qu’elle a des réticences. C’est vrai pour mon père aussi. Ils n’aiment pas dire quand ce n’est pas bien.
Que pensez-vous de la polémique concernant Guillaume Meurice qui a fait une blague polémique sur le Premier Ministre israélien sur l’antenne de France Inter ?
Il a toujours été drôle. Je pense qu’il y a une loi et peut-être quelqu’un va juger la blague. L’humour est subjectif. Votre réception de la blague est différente selon les personnes. C’est le principe de Charlie Hebdo sauf que là, le directeur de Charlie s’est désolidarisé de mon camarade alors que lui-même est victime de menaces de mort en permanence. La loi dira si c’était antisémite ou pas. Je ne le pense pas mais je ne suis pas le juge.
Alex Vizorek a écrit une bande dessinée pour enfants intitulée : « L’Histoire du suppositoire qui visait la Lune »
Découvrez un extrait de l’interview :
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