Xavier Deluc : «Je me suis reconstruit une famille» (interview)

Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

L’acteur de «Section de recherches» change d’air avec «Meurtres dans les Landes», un téléfilm à voir ce jeudi 7 septembre à 20h30 sur La Une.

C’est dans les Landes, à Hossegor exactement, que se déroule l’enquête menée par le tandem Barbara Cabrita et Xavier Deluc dans ce nouvel épisode de la collection «Meurtres à…». Généralement discret, l’acteur de 59 ans s’est investi dans la peau de Beaumont, un enquêteur à l’opposé de son personnage récurrent dans «Sections de recherches», le capitaine Bernier.

Pourquoi avez-vous accepté de mener cette enquête ?

Outre le choix de Jean-Marc Therin comme réalisateur, même si Walter Beaumont est un enquêteur, ce personnage est très éloigné de Bernier («Section de recherches»), un homme plutôt distant, pensif, songeur, mystérieux. Beaumont, lui, essaie d’être sincère avec la femme dont il est amoureux tout en cultivant un certain sens de l’humour.

Êtes-vous bluffé par les excellentes audiences de «Section de recherches» ?

Oui ! Les auteurs de base et les nouveaux ont réussi à créer une série qui socialement et culturellement plaît à un large public. L’audience est impressionnante, mais je préfère ne pas trop y penser.

Croyez-vous à l’amour toujours ?

Oui, j’y crois. Je crois à l’amour qu’on encourage, qu’on entretient au jour le jour, qui se supporte et qui se prend parfois des portes. Je crois à l’amour fraternel et à l’amour physique. J’ai choisi de partager des moments intenses avec la femme que j’aime.

Entretien : Nicole Real

Avez-vous goûté les spécialités de la région ?

Pas trop parce qu’ayant pris quelques kilos pendant le tournage, je devais redoubler d’attention pour ne pas trop grossir. Mais c’était l’occasion de goûter de bons produits comme le foie gras ou les gésiers avec une petite salade et des lardons.

Au bout de 12 saisons d’affilée, arrivez-vous encore à supporter Martin Bernier ?

Après cette parenthèse dans les Landes, je suis excité à l’idée de le retrouver et de revoir toute l’équipe. Il n’y a pas de lassitude car les scénaristes arrivent à se renouveler en trouvant des enjeux forts pour chaque épisode. C’est devenu un travail d’équipe familial. Même si avec Bernier, je suis un peu dans des chaussons, il y a toujours une mise en danger et je continue à découvrir et à apprendre.

Comme Bernier, avez-vous un sixième sens ?

Pour l’instant, je vais me contenter des cinq que je connais. (rire) Si je pouvais avoir le sens de l’écriture magique, j’en profiterais, mais en revanche, j’ai du bon sens, ce que Bernier n’a pas toujours. (rire)

Êtes-vous bluffé par les excellentes audiences de «Section de recherches» ?

Oui ! Les auteurs de base et les nouveaux ont réussi à créer une série qui socialement et culturellement plaît à un large public. L’audience est impressionnante, mais je préfère ne pas trop y penser.

Croyez-vous à l’amour toujours ?

Oui, j’y crois. Je crois à l’amour qu’on encourage, qu’on entretient au jour le jour, qui se supporte et qui se prend parfois des portes. Je crois à l’amour fraternel et à l’amour physique. J’ai choisi de partager des moments intenses avec la femme que j’aime.

Entretien : Nicole Real

Quel souvenir gardez-vous de ce tournage ?

Il a commencé par une tempête ! Nous avons dû placer du chatterton sur le joint des fenêtres pour empêcher le froid de s’engouffrer dans les pièces. Nous étions dimanche et la régie a été obligée de nous trouver des chauffages en urgence. Une fois le calme revenu, comme nous étions hors saison, nous avions tous besoin le soir de nous retrouver ensemble et cette atmosphère chaleureuse a été bénéfique.

Connaissiez-vous les Landes et Hossegor ?

J’ai découvert Hossegor, mais je connais un peu les Landes qui ne sont pas très loin de chez moi puisque je séjourne régulièrement à Bordeaux. J’ai aimé le temps hors saison de cette région, un peu ensoleillé, un peu brumeux, c’était très poétique. J’ai aussi apprécié de faire le tour du lac d’Hossegor à pied.

Avez-vous goûté les spécialités de la région ?

Pas trop parce qu’ayant pris quelques kilos pendant le tournage, je devais redoubler d’attention pour ne pas trop grossir. Mais c’était l’occasion de goûter de bons produits comme le foie gras ou les gésiers avec une petite salade et des lardons.

Au bout de 12 saisons d’affilée, arrivez-vous encore à supporter Martin Bernier ?

Après cette parenthèse dans les Landes, je suis excité à l’idée de le retrouver et de revoir toute l’équipe. Il n’y a pas de lassitude car les scénaristes arrivent à se renouveler en trouvant des enjeux forts pour chaque épisode. C’est devenu un travail d’équipe familial. Même si avec Bernier, je suis un peu dans des chaussons, il y a toujours une mise en danger et je continue à découvrir et à apprendre.

Comme Bernier, avez-vous un sixième sens ?

Pour l’instant, je vais me contenter des cinq que je connais. (rire) Si je pouvais avoir le sens de l’écriture magique, j’en profiterais, mais en revanche, j’ai du bon sens, ce que Bernier n’a pas toujours. (rire)

Êtes-vous bluffé par les excellentes audiences de «Section de recherches» ?

Oui ! Les auteurs de base et les nouveaux ont réussi à créer une série qui socialement et culturellement plaît à un large public. L’audience est impressionnante, mais je préfère ne pas trop y penser.

Croyez-vous à l’amour toujours ?

Oui, j’y crois. Je crois à l’amour qu’on encourage, qu’on entretient au jour le jour, qui se supporte et qui se prend parfois des portes. Je crois à l’amour fraternel et à l’amour physique. J’ai choisi de partager des moments intenses avec la femme que j’aime.

Entretien : Nicole Real

Dans la vie, quelle importance accordez-vous à la famille ?

Elle tient une place importante car depuis plusieurs années, je me suis reconstruit ma famille. Dans ma jeunesse, j’ai vécu une faille familiale qui, pendant très longtemps, a rendu ce sujet douloureux. Il m’a fallu atteindre une certaine maturité pour recoller un peu les morceaux. Créer ma propre famille avec ma fille adoptive et mes petites-filles m’a aussi aidé.

Encore une fois vous évoluez dans un univers policier…

J’aimerais bien parfois changer d’univers, mais en même temps, dans ce cas précis, cela permet au personnage d’accentuer son côté un peu gauche, un peu maladroit, un peu pataud puisque son domaine de compétence sont les enquêtes financières et non pas policières.

Quel souvenir gardez-vous de ce tournage ?

Il a commencé par une tempête ! Nous avons dû placer du chatterton sur le joint des fenêtres pour empêcher le froid de s’engouffrer dans les pièces. Nous étions dimanche et la régie a été obligée de nous trouver des chauffages en urgence. Une fois le calme revenu, comme nous étions hors saison, nous avions tous besoin le soir de nous retrouver ensemble et cette atmosphère chaleureuse a été bénéfique.

Connaissiez-vous les Landes et Hossegor ?

J’ai découvert Hossegor, mais je connais un peu les Landes qui ne sont pas très loin de chez moi puisque je séjourne régulièrement à Bordeaux. J’ai aimé le temps hors saison de cette région, un peu ensoleillé, un peu brumeux, c’était très poétique. J’ai aussi apprécié de faire le tour du lac d’Hossegor à pied.

Avez-vous goûté les spécialités de la région ?

Pas trop parce qu’ayant pris quelques kilos pendant le tournage, je devais redoubler d’attention pour ne pas trop grossir. Mais c’était l’occasion de goûter de bons produits comme le foie gras ou les gésiers avec une petite salade et des lardons.

Au bout de 12 saisons d’affilée, arrivez-vous encore à supporter Martin Bernier ?

Après cette parenthèse dans les Landes, je suis excité à l’idée de le retrouver et de revoir toute l’équipe. Il n’y a pas de lassitude car les scénaristes arrivent à se renouveler en trouvant des enjeux forts pour chaque épisode. C’est devenu un travail d’équipe familial. Même si avec Bernier, je suis un peu dans des chaussons, il y a toujours une mise en danger et je continue à découvrir et à apprendre.

Comme Bernier, avez-vous un sixième sens ?

Pour l’instant, je vais me contenter des cinq que je connais. (rire) Si je pouvais avoir le sens de l’écriture magique, j’en profiterais, mais en revanche, j’ai du bon sens, ce que Bernier n’a pas toujours. (rire)

Êtes-vous bluffé par les excellentes audiences de «Section de recherches» ?

Oui ! Les auteurs de base et les nouveaux ont réussi à créer une série qui socialement et culturellement plaît à un large public. L’audience est impressionnante, mais je préfère ne pas trop y penser.

Croyez-vous à l’amour toujours ?

Oui, j’y crois. Je crois à l’amour qu’on encourage, qu’on entretient au jour le jour, qui se supporte et qui se prend parfois des portes. Je crois à l’amour fraternel et à l’amour physique. J’ai choisi de partager des moments intenses avec la femme que j’aime.

Entretien : Nicole Real

Quel est le thème principal de ce téléfilm ?

Le film tourne autour de la quête de l’amour, un sujet universel. Mon personnage qui, d’une certaine manière, a une approche de l’amour un peu féminine, me plaisait.

Comment avez-vous réagi lorsque vous avez vu le téléfilm pour la première fois ?

Même si l’enquête reste primordiale, je me suis rendu compte que ce thème de l’amour était abordé de différentes façons, ce qui ne m’avait pas frappé à la lecture du scénario. L’amour filial, mais aussi le désir d’aimer, d’avoir ou d’être aimé par quelqu’un ou même de s’approprier une personne, tout me semblait intéressant dans ce film.

Dans la vie, quelle importance accordez-vous à la famille ?

Elle tient une place importante car depuis plusieurs années, je me suis reconstruit ma famille. Dans ma jeunesse, j’ai vécu une faille familiale qui, pendant très longtemps, a rendu ce sujet douloureux. Il m’a fallu atteindre une certaine maturité pour recoller un peu les morceaux. Créer ma propre famille avec ma fille adoptive et mes petites-filles m’a aussi aidé.

Encore une fois vous évoluez dans un univers policier…

J’aimerais bien parfois changer d’univers, mais en même temps, dans ce cas précis, cela permet au personnage d’accentuer son côté un peu gauche, un peu maladroit, un peu pataud puisque son domaine de compétence sont les enquêtes financières et non pas policières.

Quel souvenir gardez-vous de ce tournage ?

Il a commencé par une tempête ! Nous avons dû placer du chatterton sur le joint des fenêtres pour empêcher le froid de s’engouffrer dans les pièces. Nous étions dimanche et la régie a été obligée de nous trouver des chauffages en urgence. Une fois le calme revenu, comme nous étions hors saison, nous avions tous besoin le soir de nous retrouver ensemble et cette atmosphère chaleureuse a été bénéfique.

Connaissiez-vous les Landes et Hossegor ?

J’ai découvert Hossegor, mais je connais un peu les Landes qui ne sont pas très loin de chez moi puisque je séjourne régulièrement à Bordeaux. J’ai aimé le temps hors saison de cette région, un peu ensoleillé, un peu brumeux, c’était très poétique. J’ai aussi apprécié de faire le tour du lac d’Hossegor à pied.

Avez-vous goûté les spécialités de la région ?

Pas trop parce qu’ayant pris quelques kilos pendant le tournage, je devais redoubler d’attention pour ne pas trop grossir. Mais c’était l’occasion de goûter de bons produits comme le foie gras ou les gésiers avec une petite salade et des lardons.

Au bout de 12 saisons d’affilée, arrivez-vous encore à supporter Martin Bernier ?

Après cette parenthèse dans les Landes, je suis excité à l’idée de le retrouver et de revoir toute l’équipe. Il n’y a pas de lassitude car les scénaristes arrivent à se renouveler en trouvant des enjeux forts pour chaque épisode. C’est devenu un travail d’équipe familial. Même si avec Bernier, je suis un peu dans des chaussons, il y a toujours une mise en danger et je continue à découvrir et à apprendre.

Comme Bernier, avez-vous un sixième sens ?

Pour l’instant, je vais me contenter des cinq que je connais. (rire) Si je pouvais avoir le sens de l’écriture magique, j’en profiterais, mais en revanche, j’ai du bon sens, ce que Bernier n’a pas toujours. (rire)

Êtes-vous bluffé par les excellentes audiences de «Section de recherches» ?

Oui ! Les auteurs de base et les nouveaux ont réussi à créer une série qui socialement et culturellement plaît à un large public. L’audience est impressionnante, mais je préfère ne pas trop y penser.

Croyez-vous à l’amour toujours ?

Oui, j’y crois. Je crois à l’amour qu’on encourage, qu’on entretient au jour le jour, qui se supporte et qui se prend parfois des portes. Je crois à l’amour fraternel et à l’amour physique. J’ai choisi de partager des moments intenses avec la femme que j’aime.

Entretien : Nicole Real

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