Elle a joué à guichets fermés à Paris et conquis le Québec. La pétulante Véronique Gallo (43 ans) continue de décomplexer toutes les mamans imparfaites de France et de Suisse.
En mai prochain, sur scène à Bruxelles et Liège, elle enterre «la hache de guerre» avec son mari Bertrand et ses quatre enfants, achevant ainsi une tournée gagnante de trois ans avec «The One Mother Show», diffusé vendredi à 20h55 sur RTL-TVI.
Entre une panne de lave-vaisselle et sa petite dernière «raccordée aux toilettes», l’humoriste et comédienne évoque une foule de projets !
Allez-vous vraiment jouer les dernières dates de «The One Mother Show» en mai ?
Je pense, oui. Cela fera plus de trois cents représentations ! Je n’avais jamais imaginé qu’il plairait autant en France, ni avoir un tel accueil partout. J’ai eu une chance incroyable, de lieux confidentiels je me produis désormais dans des salles de 700 à 1.000 places. Ce sont des expériences très fortes à chaque fois. Et je me nourris de tous ces rires ! J’arrive plus détendue, mais tout aussi concentrée qu’aux débuts où j’avais peur d’oublier une phrase. (Sourire) Ceux qui ont vu les premières représentations ont découvert un nouveau-né. Trois ans plus tard, ils voient un enfant marcher et parler. Je rebondis sur les réactions du public qui a évolué aussi. Avant, c’était surtout des femmes. Maintenant, je suis suivie par des familles. Sur la même rangée, je vois papa, maman, les enfants, mamie, papy et tante Nénène !
Une suite est-elle envisagée ?
J’ai plein d’idées en tête et d’autres envies. Je suis attachée à mon personnage, une sorte de double de moi, qui est lié à la série des capsules «Vie de mère» (RTL-TVI diffuse la deuxième saison trois soirs par semaine). Je ne vais pas l’abandonner. En 2020, je créerai une spin off de la série autour de la mère de famille qui réfléchit à qui elle est en tant que femme. Je suis une féministe convaincue, mais pas une chienne de garde. J’ai envie que mon personnage soit plus engagé, avec toujours une réflexion sur le quotidien.
La suite de cette interview est à lire dans le magazine Télépro du 19/12/2019