Poubelle, bluetooth, jacuzzi… Frédérick Gersal nous raconte ces patronymes rentrés dans le langage courant
Chroniqueur bien connu de «Télématin» (France 2), Frédérick Gersal nous présente son livre : «101 stars du dictionnaire : ces noms propres devenus communs». Un ouvrage passionnant, pour lequel vous allez pouvoir profiter d’une offre exceptionnelle dans le magazine Télépro de cette semaine !
Que peut-on retrouver dans ce livre ?
J’ai choisi des noms propres devenus communs. À l’origine des mots, il y a des êtres vivants qui ont marqué l’Histoire et le vocabulaire. Par exemple, Monsieur Eugène Poubelle était Préfet de la Seine à Paris. Il va imaginer un ramassage des ordures au lieu de jeter les ordures par la fenêtre comme on le faisait au Moyen-Âge. Il avait même déjà imaginé le tri sélectif !
Vous signez votre livre Frédérick Gersal mais ce n’est pas votre vrai nom. Pourquoi avoir changé de nom ?
C’est une anagramme, je m’appelle en fait Frédérick Legras. À l’époque de mes débuts, il y avait Jacques Legras qui faisait des pièges à la télévision. Il a eu un fils qui se prénomme Frédéric. Le hasard a fait qu’on est tombé ensemble dans des cours de théâtre et je me suis dit que cela n’était pas possible. J’ai donc pris une anagramme pour me différencier.
On vous retrouve aussi dans «Télématin», l’ambiance est -elle différente depuis le départ de William Leymergie ?
Il y a une rupture entre William Leymergie et Laurent Bignolas. William était présent à tous les niveaux. Quand il est parti, cela a posé des problèmes. Après, il y a eu des soucis de contrat pour certains chroniqueurs. Je travaille très bien avec Laurent Bignolas, c’est un type cultivé. Après, il y a des gens qui ne se sont pas entendus avec lui et je peux très bien le comprendre.
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