Au boulot, les 4 types de conversations insupportables de la rentrée
Le retour de vacances passe inévitablement par des discussions qu’on ne parvient jamais à esquiver autour de la machine à café…
L’avis de vos collègues sur vos propres vacances
«Ah bon, tu n’es pas partie, toi ?!», «Oui, c’est magnifique, mais tu aurais dû y aller il y a dix ans, c’était moins touristique !», «Oooh vous avez eu de la pluie ? C’est bête, 200 km plus au sud et il faisait 30 degrés».
Si déjà l’idée de revenir au bureau en passant par trente minutes d’embouteillage ne vous amusait pas beaucoup, celle de retrouver votre chère pile de dossiers à traiter va vous donner l’envie de faire demi-tour en quinze secondes.
Et, bien évidemment, comme si cela ne suffisait pas, Josette, qui ne prend jamais de congé, vous saute directement au visage en vous annonçant la couleur : réunion à 10 heures, 4 rapports à finir, le dossier urgent de début juillet qui n’a pas avancé et aider absolument Jean-Jacques qui ne s’en sort pas avec la gestion d’une commande. «J’ai encodé le numéro 68365 mais comme tu vois rien ne fonctionne, alors du coup je suis passée par le serveur Y qui m’a directement renvoyé sur le Z en me mettant un message d’erreur, donc j’ai opté pour…blablabla…».
Bon retour à la réalité !
Floriane Nyssen
Typiquement le genre de conversation qui commence toujours par un «tu ne sais pas la dernière !». Quand le ragot vient de votre super collègue Marie, vous trépignez évidemment à l’avance. Mais quand elle sort de la bouche de Georgette qui n’a jamais rien d’intéressant à raconter et avec qui il est impossible d’en placer une, les choses deviennent plus compliquées…
Alors savoir que son vieux cousin Patrick s’est cassé le pied en randonnée ou que sa sœur a déménagé dans un duplex à Bruxelles est à mille lieues de vos pensées actuelles qui voguent toujours entre le turquoise de l’eau et l’odeur des cocktails aux fruits exotiques. Courage…
Les enfants
Bien sûr que vous êtes ravie de savoir que la petite dernière de Sylvie est rentrée en primaire et qu’elle n’a même pas pleuré le premier jour de classe ! Mais peut-être que l’on pourrait s’arrêter là, non ?
Alors que vous vous êtes préparée et forcée à condenser vos deux semaines de vacances en un «génial, temps superbe et belles visites !» pour ne pas embêter vos collègues, Sylvie tient absolument à vous montrer les photos de son aîné qui a vomi sur ses nouvelles baskets de football… Le pire est que vous l’aviez déjà appris sur les réseaux sociaux la semaine dernière en tentant de faire l’impasse et d’oublier.
Les dossiers en retard
Si déjà l’idée de revenir au bureau en passant par trente minutes d’embouteillage ne vous amusait pas beaucoup, celle de retrouver votre chère pile de dossiers à traiter va vous donner l’envie de faire demi-tour en quinze secondes.
Et, bien évidemment, comme si cela ne suffisait pas, Josette, qui ne prend jamais de congé, vous saute directement au visage en vous annonçant la couleur : réunion à 10 heures, 4 rapports à finir, le dossier urgent de début juillet qui n’a pas avancé et aider absolument Jean-Jacques qui ne s’en sort pas avec la gestion d’une commande. «J’ai encodé le numéro 68365 mais comme tu vois rien ne fonctionne, alors du coup je suis passée par le serveur Y qui m’a directement renvoyé sur le Z en me mettant un message d’erreur, donc j’ai opté pour…blablabla…».
Bon retour à la réalité !
Floriane Nyssen
Ces quelques phrases qui vous semblent toujours sans intérêt émanent de vos collègues Charles-Henry, le snob, ou Mumu, la branchée-bronzée. C’est vrai, vous avez préféré ne pas partir à l’étranger parce que les dépenses de l’année étaient trop importantes. Oui, vous vouliez privilégiez un lieu ultra touristique en all-in pour vous faciliter la vie avec vos trois enfants. Non, vous n’avez pas eu de soleil cette fois-ci mais comme vous êtes plutôt musées, la bronzette était de toute façon proscrite. Et vous voilà déjà en train de justifier votre choix de congés devant le regard interrogateur de votre collègue.
Alors quand Robert finit par lancer son célèbre «Waw, un safari en Afrique, t’as les moyens toi !», la coupe est pleine. Vous qui économisez depuis deux ans et avez refusé la moindre dépense pour vous payer le voyage de votre vie, n’avez qu’une question en tête : faut-il se limiter à camper dans le nord de la France pendant trois jours pour éviter les foudres de vos collègues ?
L’info méga-croustillante
Typiquement le genre de conversation qui commence toujours par un «tu ne sais pas la dernière !». Quand le ragot vient de votre super collègue Marie, vous trépignez évidemment à l’avance. Mais quand elle sort de la bouche de Georgette qui n’a jamais rien d’intéressant à raconter et avec qui il est impossible d’en placer une, les choses deviennent plus compliquées…
Alors savoir que son vieux cousin Patrick s’est cassé le pied en randonnée ou que sa sœur a déménagé dans un duplex à Bruxelles est à mille lieues de vos pensées actuelles qui voguent toujours entre le turquoise de l’eau et l’odeur des cocktails aux fruits exotiques. Courage…
Les enfants
Bien sûr que vous êtes ravie de savoir que la petite dernière de Sylvie est rentrée en primaire et qu’elle n’a même pas pleuré le premier jour de classe ! Mais peut-être que l’on pourrait s’arrêter là, non ?
Alors que vous vous êtes préparée et forcée à condenser vos deux semaines de vacances en un «génial, temps superbe et belles visites !» pour ne pas embêter vos collègues, Sylvie tient absolument à vous montrer les photos de son aîné qui a vomi sur ses nouvelles baskets de football… Le pire est que vous l’aviez déjà appris sur les réseaux sociaux la semaine dernière en tentant de faire l’impasse et d’oublier.
Les dossiers en retard
Si déjà l’idée de revenir au bureau en passant par trente minutes d’embouteillage ne vous amusait pas beaucoup, celle de retrouver votre chère pile de dossiers à traiter va vous donner l’envie de faire demi-tour en quinze secondes.
Et, bien évidemment, comme si cela ne suffisait pas, Josette, qui ne prend jamais de congé, vous saute directement au visage en vous annonçant la couleur : réunion à 10 heures, 4 rapports à finir, le dossier urgent de début juillet qui n’a pas avancé et aider absolument Jean-Jacques qui ne s’en sort pas avec la gestion d’une commande. «J’ai encodé le numéro 68365 mais comme tu vois rien ne fonctionne, alors du coup je suis passée par le serveur Y qui m’a directement renvoyé sur le Z en me mettant un message d’erreur, donc j’ai opté pour…blablabla…».
Bon retour à la réalité !
Floriane Nyssen
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