Ce lundi soir, les Diables Rouges entrent en piste, à Lyon, pour leur premier match à l’Euro 2016, contre l’Italie. Télépro a voulu savoir ce que les experts du football prédisent pour l’équipe belge.
Ça faisait longtemps que la Belgique ne partait dans les favoris d’une compétition de football. Après une excellente campagne au Mondial 2014 au Brésil, nos Diables sont très attendus en France, malgré un groupe qui n’est pas des plus faciles de la compétition. Quatre journalistes (Benjamin Deceuninck, Michel Lecomte, Christine Schréder et Anne Ruwet) se sont prêtés au jeu des pronostics.
Benjamin Deceuninck (RTBF) : «La finale est possible !»
«Je pense que la Belgique doit être placée dans le groupe des outsiders et non favoris. Un titre qui convient mieux à des équipes telles que l’Allemagne, l’Espagne ou encore la France», décrit la journaliste de RTL. «Néanmoins, terminer au stade des quarts de finale me semble un objectif minimum pour une équipe qui recèle autant de talent. Bien sûr, la ligne défensive pose encore questions mais dans les autres secteurs de jeu, nous avons un potentiel que les plus grandes formations européennes peuvent nous envier.»
Pour Anne Ruwet, le premier match va donner le «la». «Dès notre match d’ouverture contre l’Italie, nous pourrons évaluer notre réelle qualité collective. Car si nos individualités de talent ne font aucun doute, reste à savoir si elles pourront former un bloc performant et compétitif afin de rivaliser avec les plus grandes nations européennes.»
Pierre Bertinchamps
«J’ai tellement envie que ça se passe bien», raconte la journaliste de VOO Foot. «J’ai redécouvert mon côté supportrice lors de la Coupe du Monde 2014 – la dernière fois remontait à 2002 – et pouvoir vibrer, comme je ne l’avais plus fait depuis longtemps. Cette chair de poule, devant le but de Fellaini, j’ai encore envie de l’avoir plein de fois durant cet Euro. », ajoute-t-elle. «Je pense qu’on a un potentiel extraordinaire et que l’état d’esprit de nos joueurs fera la différence. Et tant pis si on se prend des buts, du moment qu’on en marque».
Christine Schréder est un peu plus optimiste que ses confrères. «On devrait arriver en quart de finale pour que l’Euro soit réussi. Et être dans les huit meilleures équipes, c’est le niveau de la Belgique. Après, ce ne sera que du bonus !»
Anne Ruwet (RTL Sport) : «La Belgique doit être prise comme un outsider et non un favori»
«Je pense que la Belgique doit être placée dans le groupe des outsiders et non favoris. Un titre qui convient mieux à des équipes telles que l’Allemagne, l’Espagne ou encore la France», décrit la journaliste de RTL. «Néanmoins, terminer au stade des quarts de finale me semble un objectif minimum pour une équipe qui recèle autant de talent. Bien sûr, la ligne défensive pose encore questions mais dans les autres secteurs de jeu, nous avons un potentiel que les plus grandes formations européennes peuvent nous envier.»
Pour Anne Ruwet, le premier match va donner le «la». «Dès notre match d’ouverture contre l’Italie, nous pourrons évaluer notre réelle qualité collective. Car si nos individualités de talent ne font aucun doute, reste à savoir si elles pourront former un bloc performant et compétitif afin de rivaliser avec les plus grandes nations européennes.»
Pierre Bertinchamps
«On a fait une très belle campagne», précise le directeur des Sports de la RTBF. «Une équipe comme celle des Pays-Bas a quand même été éliminée pendant ces qualifications !». Michel Lecomte est plus raisonnable que son collègue de «La Tribune». «Si on va en demi-finale, c’est fantastique !» L’objectif reste les quarts de finale. «Ne pas les atteindre, ce serait une déception. Mais la rage de vaincre que laisse transparaître Eden Hazard me laisse supposer que…»
Christine Schréder (VOO Sport) : «Les quarts de finale et l’Euro sera réussi»
«J’ai tellement envie que ça se passe bien», raconte la journaliste de VOO Foot. «J’ai redécouvert mon côté supportrice lors de la Coupe du Monde 2014 – la dernière fois remontait à 2002 – et pouvoir vibrer, comme je ne l’avais plus fait depuis longtemps. Cette chair de poule, devant le but de Fellaini, j’ai encore envie de l’avoir plein de fois durant cet Euro. », ajoute-t-elle. «Je pense qu’on a un potentiel extraordinaire et que l’état d’esprit de nos joueurs fera la différence. Et tant pis si on se prend des buts, du moment qu’on en marque».
Christine Schréder est un peu plus optimiste que ses confrères. «On devrait arriver en quart de finale pour que l’Euro soit réussi. Et être dans les huit meilleures équipes, c’est le niveau de la Belgique. Après, ce ne sera que du bonus !»
Anne Ruwet (RTL Sport) : «La Belgique doit être prise comme un outsider et non un favori»
«Je pense que la Belgique doit être placée dans le groupe des outsiders et non favoris. Un titre qui convient mieux à des équipes telles que l’Allemagne, l’Espagne ou encore la France», décrit la journaliste de RTL. «Néanmoins, terminer au stade des quarts de finale me semble un objectif minimum pour une équipe qui recèle autant de talent. Bien sûr, la ligne défensive pose encore questions mais dans les autres secteurs de jeu, nous avons un potentiel que les plus grandes formations européennes peuvent nous envier.»
Pour Anne Ruwet, le premier match va donner le «la». «Dès notre match d’ouverture contre l’Italie, nous pourrons évaluer notre réelle qualité collective. Car si nos individualités de talent ne font aucun doute, reste à savoir si elles pourront former un bloc performant et compétitif afin de rivaliser avec les plus grandes nations européennes.»
Pierre Bertinchamps
Pour le présentateur de «Bleu, blanc, mag», nos joueurs ont clairement mûri. «Depuis un an je dis la même chose, donc je ne changerai pas d’avis maintenant», sourit Benjamin Deceuninck. «Les Diables sont plus forts, parce qu’il y a déjà eu la Coupe du Monde. Pour tous les Diables de l’époque – hormis Van Buyten – c’était leur premier grand événement. Et jouer contre l’Argentine, c’était leur premier gros match dans une grosse compétition. Ils l’ont perdu, sans doute parce qu’ils manquaient d’expérience. Aujourd’hui, cette expérience, ils l’ont, et avec en plus, deux ans de championnat dans les jambes.»
Pour le journaliste, la finale est à la portée des Diables. En cas de victoire à l’Euro 2016, Benjamin Deceuninck ne courira pas nu sur la Grand’Place de Bruxelles. «Je ne vais pas infliger ça aux touristes. Et puis je pense qu’Elodie (ndlr : de Sélys, son épouse) ne sera pas d’accord…», conclut-il.
Michel Lecomte : «Être en demi-finale, ce serait fantastique !»
«On a fait une très belle campagne», précise le directeur des Sports de la RTBF. «Une équipe comme celle des Pays-Bas a quand même été éliminée pendant ces qualifications !». Michel Lecomte est plus raisonnable que son collègue de «La Tribune». «Si on va en demi-finale, c’est fantastique !» L’objectif reste les quarts de finale. «Ne pas les atteindre, ce serait une déception. Mais la rage de vaincre que laisse transparaître Eden Hazard me laisse supposer que…»
Christine Schréder (VOO Sport) : «Les quarts de finale et l’Euro sera réussi»
«J’ai tellement envie que ça se passe bien», raconte la journaliste de VOO Foot. «J’ai redécouvert mon côté supportrice lors de la Coupe du Monde 2014 – la dernière fois remontait à 2002 – et pouvoir vibrer, comme je ne l’avais plus fait depuis longtemps. Cette chair de poule, devant le but de Fellaini, j’ai encore envie de l’avoir plein de fois durant cet Euro. », ajoute-t-elle. «Je pense qu’on a un potentiel extraordinaire et que l’état d’esprit de nos joueurs fera la différence. Et tant pis si on se prend des buts, du moment qu’on en marque».
Christine Schréder est un peu plus optimiste que ses confrères. «On devrait arriver en quart de finale pour que l’Euro soit réussi. Et être dans les huit meilleures équipes, c’est le niveau de la Belgique. Après, ce ne sera que du bonus !»
Anne Ruwet (RTL Sport) : «La Belgique doit être prise comme un outsider et non un favori»
«Je pense que la Belgique doit être placée dans le groupe des outsiders et non favoris. Un titre qui convient mieux à des équipes telles que l’Allemagne, l’Espagne ou encore la France», décrit la journaliste de RTL. «Néanmoins, terminer au stade des quarts de finale me semble un objectif minimum pour une équipe qui recèle autant de talent. Bien sûr, la ligne défensive pose encore questions mais dans les autres secteurs de jeu, nous avons un potentiel que les plus grandes formations européennes peuvent nous envier.»
Pour Anne Ruwet, le premier match va donner le «la». «Dès notre match d’ouverture contre l’Italie, nous pourrons évaluer notre réelle qualité collective. Car si nos individualités de talent ne font aucun doute, reste à savoir si elles pourront former un bloc performant et compétitif afin de rivaliser avec les plus grandes nations européennes.»
Pierre Bertinchamps
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