Résumé
Les travailleur.ses de l'ombre, celles et ceux qu'on ne voient jamais, mais sans qui aucun spectacle ne tiendrait debout une seule seconde, sont épuisés, à bout de nerfs. Et on ne compte plus les burn-out et les dépressions, allant parfois jusqu'au drame comme l'a vécu récemment le personnel du Théâtre National. En cause, une forte augmentation du nombre de spectacles avec pour conséquence des cadences infernales, des horaires de plus en plus chargés, certain.es technicien.nes travaillant jusqu'à 12 heures par jour et 72 heures par semaine.