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C'est un vrai complot ! Le roi Henri IV a été assassiné par Ravaillac le 14 mai 1610, mais il est clair que François Ravaillac n'a été que l'instrument d'une vaste conspiration.
L'ombre d'un doute Franck Ferrand cherche à éclairer les zones d'ombres de l'histoire de Vienne, à travers plusieurs questions inattendues. Marie-Antoinette, a-t-elle été programmée pour servir, en France, les intérêts de son pays natal ? Napoléon II, titré à Vienne duc de Reichstadt et surnommé l'Aiglon, aurait-il payé de sa vie le fait d'être le fils de l'empereur déchu ?
Mésopotamie, la redécouverte des trésors d'Irak Au milieu du XIXe siècle, les archéologues ont mis au jour les vestiges des premières cités érigées 3 500 ans avant notre ère entre le Tigre et l'Euphrate, bien plus anciennes que celles des Grecs ou des Romains, ont été peu à peu identifiées. Sites majeurs de la Mésopotamie antique, Khorsabad, Ninive ou Lagash se rouvrent aujourd'hui aux archéologues, après avoir subi les destructions de l'État islamique.
Enquête sur le Nil : les secrets des pharaons bâtisseurs Des spécialistes égyptiens de la fouille sous-marine, tous membres du centre d'archéologie d'Alexandrie, réalisent la première exploration subaquatique du Nil. Une seconde équipe, conduite par l'archéologue français Philippe Martinez et par Kevin Cain, un passionné d'images numériques, cherche à comprendre comment les hommes de l'antiquité ont réussi à tailler de gigantesques blocs de granit.
Cold Case Ramsès III est l'une des dernières grandes figures du Nouvel Empire d'Egypte, au cours duquel il a régné pendant plus de trente ans. Lorsqu'il meurt dans son palais de Louxor, en 1154 avant notre ère, le pharaon a 65 ans. Pour les Egyptiens, il est inimaginable qu'un pharaon, garant de l'ordre divin, puisse être assassiné. Les circonstances de sa mort ont été récemment élucidées par des spécialistes.
Arkéo Les premiers explorateurs de la fin du XIXe siècle ont attribué les ruines monumentales de Great Zimbabwe aux Phéniciens, et non aux Africains. Cette théorie sert alors les intérêts du pouvoir colonial dans ce territoire de l'Empire britannique qu'est la Rhodésie du Sud. Pourtant, des archéologues ne vont pas tarder à contester cette thèse pour établir que le site est l'oeuvre des Shona, un peuple autochtone, qui représente aujourd'hui plus de la moitié de la population du Zimbabwe.