Voici comment bien choisir son savon
Liquide, noir, d’Alep, de Marseille, bio : comment s’y retrouver face à une offre de savons si complexe ? Lequel choisir et selon quels critères ?
Servant à la base à nettoyer et désinfecter la peau en la débarrassant de toutes les agressions du quotidien, le savon a rapidement fait l’objet d’un choix tout à fait arbitraire sur base d’une caractéristique : son odeur.
Malheureusement, ce n’est pas si simple. Tous les savons ne se valent pas et ne conviennent pas à tous types de peaux.
L’apparence et l’odeur
Pour le corps, le choix du savon est assez large, et un produit traditionnel peut tout à fait convenir (en évitant toujours les agents trop agressifs).
Pour le visage, par contre, qui est en permanence en contact avec l’extérieur, mieux vaut choisir un savon sans savon, ou surgras pour nettoyer davantage la peau sans l’agresser. Le premier est idéal pour les peaux allergiques et très réactives, quand le second, très hydratant, est plus recommandé pour les peaux sèches.
Floriane Nyssen
Au moment de choisir son savon, préférez toujours le Made in Belgium ou France. Oubliez les savons dont l’origine est inconnue. Et s’ils sont vendus sur un marché sans emballage, apprenez à déchiffrer la bonne foi du vendeur. Méfiez-vous, par exemple, des savons de Marseille constitués de graisse animale : les authentiques ne sont faits que d’huile d’olives.
La composition, elle, doit obligatoirement être indiquée sur l’étiquette du savon ou être à portée de l’acheteur sur un marché. Les premiers ingrédients de ce composé, appelé INCI, sont les plus importants : pour un savon naturel et doux, les huiles végétales (olive, tournesol, etc.) doivent être prioritaires. Les indications telles «sodium tallowate» ou «sodium lauryl sulfate», les éléments débutants par PEG ou l’EDTA sont à proscrire car elles sont des détergents de synthèse souvent desséchants et irritants pour la peau.
La zone à savonner
Pour le corps, le choix du savon est assez large, et un produit traditionnel peut tout à fait convenir (en évitant toujours les agents trop agressifs).
Pour le visage, par contre, qui est en permanence en contact avec l’extérieur, mieux vaut choisir un savon sans savon, ou surgras pour nettoyer davantage la peau sans l’agresser. Le premier est idéal pour les peaux allergiques et très réactives, quand le second, très hydratant, est plus recommandé pour les peaux sèches.
Floriane Nyssen
Au premier coup d’œil, que vous achetiez votre savon en pharmacie ou en grande surface, sa couleur en dit déjà long. Fluorescent ou transparent, c’est le signe de la présence de colorants ou de glycérine non naturelle, qui entreront en conflit avec votre peau.
La forme, elle, vous indique si le savon a été fabriqué de manière artisanale ou industrielle. Les savons réalisés à la chaîne et en série sont loin d’être tous mauvais. Mais ceux obtenus par «saponification à froid», découpés à la main et aux formes irrégulières, seront généralement moins agressifs pour l’épiderme.
Le parfum, enfin, est très important. Les senteurs originales telles «fraise tagada» ou «chewing-gum» sont forcément de synthèse. Même si la plupart des savons en contiennent, sans forcément être en eux-mêmes nocifs, mieux vaut les limiter et choisir des savons aux parfums les plus naturels possibles.
Combinées à d’autres principes actifs, ces senteurs de synthèse peuvent devenir très irritantes.
La provenance et la composition
Au moment de choisir son savon, préférez toujours le Made in Belgium ou France. Oubliez les savons dont l’origine est inconnue. Et s’ils sont vendus sur un marché sans emballage, apprenez à déchiffrer la bonne foi du vendeur. Méfiez-vous, par exemple, des savons de Marseille constitués de graisse animale : les authentiques ne sont faits que d’huile d’olives.
La composition, elle, doit obligatoirement être indiquée sur l’étiquette du savon ou être à portée de l’acheteur sur un marché. Les premiers ingrédients de ce composé, appelé INCI, sont les plus importants : pour un savon naturel et doux, les huiles végétales (olive, tournesol, etc.) doivent être prioritaires. Les indications telles «sodium tallowate» ou «sodium lauryl sulfate», les éléments débutants par PEG ou l’EDTA sont à proscrire car elles sont des détergents de synthèse souvent desséchants et irritants pour la peau.
La zone à savonner
Pour le corps, le choix du savon est assez large, et un produit traditionnel peut tout à fait convenir (en évitant toujours les agents trop agressifs).
Pour le visage, par contre, qui est en permanence en contact avec l’extérieur, mieux vaut choisir un savon sans savon, ou surgras pour nettoyer davantage la peau sans l’agresser. Le premier est idéal pour les peaux allergiques et très réactives, quand le second, très hydratant, est plus recommandé pour les peaux sèches.
Floriane Nyssen
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