Zoé Brunet, notre chance à Miss Univers 2018

Zoé Brunet, notre chance à Miss Univers 2018
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

La Première Dauphine de Miss Belgique 2018 rêve de suivre les pas d’Iris Mittenaere. Elle participera à l’élection de Miss Univers, en décembre prochain.

En janvier dernier, pas mal de téléspectateurs étaient un peu déçus de voir Zoé Brunet, candidate à Miss Belgique, ne pas décrocher la couronne de la plus belle fille du Royaume. Miss Namur terminait 1re Dauphine.

Qu’à cela ne tienne, la jeune femme de Jemeppe-sur-Sambre n’a pas tout perdu, puisqu’en juin dernier, elle participe (et remporte) le concours «Miss Mondial». Une élection où les représentantes des pays prenant part au Mondial 2018 de foot étaient en compétition. Elle coiffe au poteau ses consoeurs allemande et danoise. De bon augure…

«Bien sûr que c’est un rêve», sourit Zoé Brunet. «Depuis que je suis toute petite, je voulais non pas participer à Miss Belgique, mais carrément aller à Miss Univers ! C’est exceptionnel pour moi.»

Finir deuxième à Miss Belgique, c’est presque les avantages, sans les inconvénients. «On peut dire ça comme ça. Si j’avais remporté le titre, j’aurais d’office été prise pour Miss Monde ! Finalement, tout se place bien…»

Depuis l’élection de Miss Belgique, en janvier, Zoé a terminé ses études en comptabilité. Même si elle est diplômée, elle préfère aller vers une carrière dans le mannequinat. «J’ai fait quelques shootings avec Angeline, tout au long de l’année, et je l’accompagnais sur certaines représentations.» Même sur la deuxième marche du podium, Première Dauphine reste un bon plan. «Ça m’a apporté de la notoriété et de la visibilité que je compte bien capitaliser pour la suite.»

Zoé Brunet ne cache pas que le succès d’Iris Mittenaere, la Française élue Miss Univers en 2016, la motive. «Pouvoir participer à ce concours, c’est un objectif atteint pour moi», conclut-elle. «J’espère aller le plus loin possible !»

À ce stade, nonante pays prennent part à l’élection (92 en 2017). Il est un peu tôt pour juger des chances de notre compatriote, mais une belle surprise n’est pas à exclure au vu de son parcours durant l’année qui vient de s’écouler.

Pierre Bertinchamps

À la fin de cette année, Zoé participera à une autre concours, et très prestigieux celui-là : Miss Univers. Pourquoi ? Tout d’abord, parce que c’est la Présidente du Comité National Miss Belgique, Darline Devos, qui désigne la candidate à envoyer pour nous représenter dans les différents concours. Miss Belgique, ce n’est donc pas automatique ! 

Ensuite, Miss Univers et Miss Monde tombent à quelques jours d’intervalle. Angeline Flor Pua partira, en Chine, en novembre pour un mois d’intenses préparations au concours de Miss Monde qui se tiendra le 8 décembre prochain à Sanya.

Une semaine plus tard, le 16 décembre, à Bangkok (en Thaïlande), ce sera l’élection de Miss Univers 2018. Difficile pour Miss Belgique de faire les deux et d’avoir l’air fraîche et dispo pour le second événement. C’est donc Zoé Brunet qui défendra la beauté Made in Belgium. «Un honneur !», confie la jeune femme de 18 ans.

«Bien sûr que c’est un rêve», sourit Zoé Brunet. «Depuis que je suis toute petite, je voulais non pas participer à Miss Belgique, mais carrément aller à Miss Univers ! C’est exceptionnel pour moi.»

Finir deuxième à Miss Belgique, c’est presque les avantages, sans les inconvénients. «On peut dire ça comme ça. Si j’avais remporté le titre, j’aurais d’office été prise pour Miss Monde ! Finalement, tout se place bien…»

Depuis l’élection de Miss Belgique, en janvier, Zoé a terminé ses études en comptabilité. Même si elle est diplômée, elle préfère aller vers une carrière dans le mannequinat. «J’ai fait quelques shootings avec Angeline, tout au long de l’année, et je l’accompagnais sur certaines représentations.» Même sur la deuxième marche du podium, Première Dauphine reste un bon plan. «Ça m’a apporté de la notoriété et de la visibilité que je compte bien capitaliser pour la suite.»

Zoé Brunet ne cache pas que le succès d’Iris Mittenaere, la Française élue Miss Univers en 2016, la motive. «Pouvoir participer à ce concours, c’est un objectif atteint pour moi», conclut-elle. «J’espère aller le plus loin possible !»

À ce stade, nonante pays prennent part à l’élection (92 en 2017). Il est un peu tôt pour juger des chances de notre compatriote, mais une belle surprise n’est pas à exclure au vu de son parcours durant l’année qui vient de s’écouler.

Pierre Bertinchamps

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