«Villa Caprice» : 2 questions à Patrick Bruel
Le film est à découvrir ce vendredi à 20h50 sur La Une.
L’avocat Luc Germon (Niels Arestrup) pense atteindre la consécration lorsque Gilles Fontaine (Patrick Bruel), l’un des patrons les plus puissants de France, lui demande de prendre sa défense. Il est soupçonné d’avoir acquis dans des conditions douteuses une magnifique propriété sur la Côte d’Azur. Fontaine compte sur l’habileté de Germon pour le tirer d’affaire. Mais une étrange relation de pouvoir s’installe entre les deux hommes…
Qu’est-ce qui vous a donné envie de participer à «Villa Caprice» ?
Avant tout, la perspective de travailler avec Niels Arestrup. Ensuite, un sujet fort et très bien ficelé, avec ce face-à-face qui me rappelait un peu «Garde à vue». Des personnages puissants et denses. Et puis, l’enthousiasme de Bernard Stora : c’est un homme charmant, qui a de très belles idées, et c’est un véritable metteur en scène.
Même s’il entend manipuler Germon, votre personnage n’est-il pas fasciné par ce grand ténor du barreau ?
Oui bien sûr… je pense même que dans d’autres circonstances, l’admiration mutuelle aurait pu les faire devenir meilleurs amis. Ils sont tous les deux fascinés l’un par l’autre, comme deux grands joueurs de tennis qui se respectent. Ils se testent sans arrêt. Leurs rapports et les dialogues sont jubilatoires. Un régal pour les acteurs.
Cet article est paru dans le Télépro du 23/11/2023
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