Dans une autobiographie, l’animatrice évoque les heures sombres de sa vie amoureuse.
En compétition actuellement chaque samedi soir dans «Danse avec les stars», la sympathique animatrice de «D&Co» (magazine de déco autrefois diffusé sur Plug RTL) publiera le 3 novembre «Le Cœur sur la main, le doigt sur la gâchette» (éditions Michel Lafon). Un livre-confession dans laquelle elle parle de son enfance et de sa famille, mais aussi de la relation malsaine qu’elle a entretenue avec un homme il y a une trentaine d’années, avant d’être connue.
«Je l’ai rencontré l’année de mes 21 ans», écrit-elle. «Coup de foudre. Le Connard était beau, sympa, drôle et brillant. Peu à peu, la situation s’est dégradée. Il devenait difficile à vivre, il piquait des colères. Je me suis retrouvée aux urgences. Je me suis sauvée à temps.»
«Ce type, comme tous les pervers narcissiques, a trouvé mes failles affectives», précise-t-elle à nos collègues français de Télé Star. «Il alternait les claques et les caresses. Ce qui m’a sauvée, c’est qu’il m’a déboîté la gueule. Quand tu passes ta vie avec une minerve ou manques de te faire étrangler, la survie entre en jeu et tu te casses.»
Depuis, Valérie Damidot a bien remonté la pente : à 51 ans, elle partage la vie de Régis, ingénieur du son, depuis quatorze ans. Ensemble, ils ont deux enfants, Roxane et Norman.
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