Valériane («Le Meilleur pâtissier») : «Le plus difficile ? Le stress !»

Valériane («Le Meilleur pâtissier») : «Le plus difficile ? Le stress !»
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

La Belge du divertissement culinaire de RTL-TVI a réalisé un quasi sans-faute et a remporté le fameux tablier bleu. Rencontre.

Son dynamisme et son sourire communicatif ont séduit les téléspectateurs du «Meilleur pâtissier 7» de RTL-TVI. Sa belgitude affichée et ses réussites pâtissières ont fait le reste au sein de l’émission.

Lundi dernier, Valériane réalisait son objectif : décrocher le tablier bleu. «C’est une fierté !», explique la candidate de Hannut. «Mon fils m’avait demandé de le ramener, l’objectif est atteint. Je ne voulais pas partir la première, et avoir au moins une fois le tablier bleu. J’ai fait ce que je voulais. Si je pars dans la prochaine émission, ce ne sera pas grave !» 

C’était amplement mérité…

Oui, j’ai un peu profité d’une petite erreur de Ludovic, mon principal concurrent dans la dernière émission (celle consacrée aux fruits, NDLR). Au-delà de ça, j’ai toujours un peu peur de la réaction des gens sur les réseaux sociaux.

Je reçois aussi beaucoup de messages qui viennent de tous pays. C’est un peu déroutant. Et depuis que j’ai remporté le tablier bleu, je n’ai jamais autant de likes sur Facebook. C’est génial. Ce n’est que du positif.

En France aussi ?

Non, pas mal de Français me suivent sur Instagram ou Facebook, mais la presse française ne s’intéresse pas plus à moi qu’aux autres.

Quel est votre objectif ? Un changement de vie comme Mélanie Mayné ?

Au départ, je ne partais pas avec l’envie de changer de vie, c’était juste un défi, mais si on me propose quelque chose d’intéressant dans le domaine, je dirais peut-être bien «oui»… Honnêtement, je suis très bien comme institutrice, mais je me rends compte que je ne le ferai plus très longtemps. Alors pourquoi pas conjuguer deux mi-temps par exemple ? J’adore mon métier, mais il reste difficile. Je ne vois pas non plus faire des pâtisseries dès 4 heures du matin. J’aime passer des week-ends avec mes enfants, c’est primordial. Donner des cours de pâtisserie, ça me tente. Je vais en donner quelques-uns chez Darcis, mais pourquoi pas se lancer dans les cours à domicile ?

Six mois après le tournage, comment vous sentez-vous ?

Je suis très contente. J’ai un peu de mal à regarder l’émission la première fois (la diffusion de M6, le mercredi, NDLR). Ça me touche beaucoup de me revoir. En fait, je découvre les images en même temps que tout le monde. J’ai fait très attention à ce qu’on ne me voit pas me lécher les doigts. Donc, je suis anxieuse de voir ce que la production a fait. Le lundi, sur RTL, c’est plus relax. Là, je profite.

Le montage est bien fait ?

Oui. J’en suis très contente. Les images prises sont chouettes. C’est tout à fait moi. Comme je viens de dire, j’ai parfois fait un peu attention à ce que je faisais pour ne pas que l’on insiste sur une mauvaise prise ou un geste. Mais, je suis naturelle. On ne peut pas traficoter… Julien a étalé de la pâte avec la main, il a eu beaucoup de remarques pas toujours gentilles sur internet. C’est ça qui est cruel, et je les lis très peu.

En tant que prof, vous n’avez pas une carapace ?

Je n’ai jamais eu de soucis à ce niveau-là, avec les enfants, ni les parents. Je suis pour la discussion et le dialogue.

C’est «soirée pâtisserie», tous les lundis soirs, devant RTL ?

C’est ce que j’avais prévu, et finalement, je reste avec mon mari. Mes enfants ne regardent même pas avec nous. Mais j’enregistre tout, pour leur montrer plus tard…

Pour la petite histoire, Valériane a réussi à ramener le tablier bleu, elle en a chipé un qui traînait sur le tournage. En général, le candidat ne repart pas avec… Un joli souvenir !

Entretien : Pierre Bertinchamps

Par contre là, malgré le côté stressant, je prends quand même du plaisir à faire les épreuves. J’aime bien ce challenge, parce qu’on a tous la même recette, et c’est là qu’on doit se dépasser. La force de Ludovic et moi, c’est que nous sommes des enseignants. C’est tout bête, mais on a l’habitude de bien prendre son temps à lire pour comprendre. Souvent, lui et moi, nous comprenons vite à quoi nous devons arriver. On a eu plusieurs fois le cas, où les autres candidats survolaient trop la recette et n’arrivaient pas au bon résultat. C’est notre force.

Là, vous nous rappelez qu’il faut toujours bien lire les questions lors d’un examen…

(rires) Oui, c’est ce que j’inculque à mes élèves ! Je vais pouvoir leur expliquer, grâce à cette aventure, que c’est important et que ça aide vraiment même pour un concours.

Le plus dur est encore à venir ?

Oui, il y a encore du beau… et des épreuves bien difficiles de Mercotte qui vont arriver.

Quel est votre coup de cœur dans l’aventure ?

J’adore Olivier et Ludovic. D’ailleurs, avec Lorie, ils vont venir en Belgique dans quelques jours. Mais il n’y a pas de concurrence entre les candidats. Il y avait beaucoup d’entraide.

On vous reconnaît dans la rue ?

Oui, un petit peu beaucoup même… (rires) On n’a pas trop l’habitude de ça. Parfois, on me dit dans la rue : «Je suis fan de vous !» C’est extraordinaire, parce que je ne fais rien d’autre que des gâteaux !

Je reçois aussi beaucoup de messages qui viennent de tous pays. C’est un peu déroutant. Et depuis que j’ai remporté le tablier bleu, je n’ai jamais autant de likes sur Facebook. C’est génial. Ce n’est que du positif.

En France aussi ?

Non, pas mal de Français me suivent sur Instagram ou Facebook, mais la presse française ne s’intéresse pas plus à moi qu’aux autres.

Quel est votre objectif ? Un changement de vie comme Mélanie Mayné ?

Au départ, je ne partais pas avec l’envie de changer de vie, c’était juste un défi, mais si on me propose quelque chose d’intéressant dans le domaine, je dirais peut-être bien «oui»… Honnêtement, je suis très bien comme institutrice, mais je me rends compte que je ne le ferai plus très longtemps. Alors pourquoi pas conjuguer deux mi-temps par exemple ? J’adore mon métier, mais il reste difficile. Je ne vois pas non plus faire des pâtisseries dès 4 heures du matin. J’aime passer des week-ends avec mes enfants, c’est primordial. Donner des cours de pâtisserie, ça me tente. Je vais en donner quelques-uns chez Darcis, mais pourquoi pas se lancer dans les cours à domicile ?

Six mois après le tournage, comment vous sentez-vous ?

Je suis très contente. J’ai un peu de mal à regarder l’émission la première fois (la diffusion de M6, le mercredi, NDLR). Ça me touche beaucoup de me revoir. En fait, je découvre les images en même temps que tout le monde. J’ai fait très attention à ce qu’on ne me voit pas me lécher les doigts. Donc, je suis anxieuse de voir ce que la production a fait. Le lundi, sur RTL, c’est plus relax. Là, je profite.

Le montage est bien fait ?

Oui. J’en suis très contente. Les images prises sont chouettes. C’est tout à fait moi. Comme je viens de dire, j’ai parfois fait un peu attention à ce que je faisais pour ne pas que l’on insiste sur une mauvaise prise ou un geste. Mais, je suis naturelle. On ne peut pas traficoter… Julien a étalé de la pâte avec la main, il a eu beaucoup de remarques pas toujours gentilles sur internet. C’est ça qui est cruel, et je les lis très peu.

En tant que prof, vous n’avez pas une carapace ?

Je n’ai jamais eu de soucis à ce niveau-là, avec les enfants, ni les parents. Je suis pour la discussion et le dialogue.

C’est «soirée pâtisserie», tous les lundis soirs, devant RTL ?

C’est ce que j’avais prévu, et finalement, je reste avec mon mari. Mes enfants ne regardent même pas avec nous. Mais j’enregistre tout, pour leur montrer plus tard…

Pour la petite histoire, Valériane a réussi à ramener le tablier bleu, elle en a chipé un qui traînait sur le tournage. En général, le candidat ne repart pas avec… Un joli souvenir !

Entretien : Pierre Bertinchamps

C’est le bonheur. On joue aux cartes ensemble, on se retrouve à l’hôtel… Dès qu’on me dit, «on retourne sous la tente», j’ai un peu des pieds de plombs. Pourtant, j’adore l’émission, et je suis contente de ce que je fais, mais je n’y prends pas du plaisir comme dans ma cuisine.

Vous n’avez pas reçu de coaching ?

Non, j’ai juste été voir une amie qui est coach, et on en a un peu discuté. C’est naturel, et c’est en moi. Je ne suis pas quelqu’un de stressée dans la vie de tous les jours, mais là, ce n’est pas la même chose… C’est dû au fait que c’est regardé par beaucoup de personnes, les caméras, les journalistes…

Et dans les épreuves, lesquelles vous ont fait le plus peur ?

En fait, on sait ce qu’on va faire à l’avance, puisqu’on annonce nos recettes à la production, donc je ne pars pas à l’aventure les yeux fermés. Ce qui est plus compliqué, ce sont les épreuves de Mercotte.

Par contre là, malgré le côté stressant, je prends quand même du plaisir à faire les épreuves. J’aime bien ce challenge, parce qu’on a tous la même recette, et c’est là qu’on doit se dépasser. La force de Ludovic et moi, c’est que nous sommes des enseignants. C’est tout bête, mais on a l’habitude de bien prendre son temps à lire pour comprendre. Souvent, lui et moi, nous comprenons vite à quoi nous devons arriver. On a eu plusieurs fois le cas, où les autres candidats survolaient trop la recette et n’arrivaient pas au bon résultat. C’est notre force.

Là, vous nous rappelez qu’il faut toujours bien lire les questions lors d’un examen…

(rires) Oui, c’est ce que j’inculque à mes élèves ! Je vais pouvoir leur expliquer, grâce à cette aventure, que c’est important et que ça aide vraiment même pour un concours.

Le plus dur est encore à venir ?

Oui, il y a encore du beau… et des épreuves bien difficiles de Mercotte qui vont arriver.

Quel est votre coup de cœur dans l’aventure ?

J’adore Olivier et Ludovic. D’ailleurs, avec Lorie, ils vont venir en Belgique dans quelques jours. Mais il n’y a pas de concurrence entre les candidats. Il y avait beaucoup d’entraide.

On vous reconnaît dans la rue ?

Oui, un petit peu beaucoup même… (rires) On n’a pas trop l’habitude de ça. Parfois, on me dit dans la rue : «Je suis fan de vous !» C’est extraordinaire, parce que je ne fais rien d’autre que des gâteaux !

Je reçois aussi beaucoup de messages qui viennent de tous pays. C’est un peu déroutant. Et depuis que j’ai remporté le tablier bleu, je n’ai jamais autant de likes sur Facebook. C’est génial. Ce n’est que du positif.

En France aussi ?

Non, pas mal de Français me suivent sur Instagram ou Facebook, mais la presse française ne s’intéresse pas plus à moi qu’aux autres.

Quel est votre objectif ? Un changement de vie comme Mélanie Mayné ?

Au départ, je ne partais pas avec l’envie de changer de vie, c’était juste un défi, mais si on me propose quelque chose d’intéressant dans le domaine, je dirais peut-être bien «oui»… Honnêtement, je suis très bien comme institutrice, mais je me rends compte que je ne le ferai plus très longtemps. Alors pourquoi pas conjuguer deux mi-temps par exemple ? J’adore mon métier, mais il reste difficile. Je ne vois pas non plus faire des pâtisseries dès 4 heures du matin. J’aime passer des week-ends avec mes enfants, c’est primordial. Donner des cours de pâtisserie, ça me tente. Je vais en donner quelques-uns chez Darcis, mais pourquoi pas se lancer dans les cours à domicile ?

Six mois après le tournage, comment vous sentez-vous ?

Je suis très contente. J’ai un peu de mal à regarder l’émission la première fois (la diffusion de M6, le mercredi, NDLR). Ça me touche beaucoup de me revoir. En fait, je découvre les images en même temps que tout le monde. J’ai fait très attention à ce qu’on ne me voit pas me lécher les doigts. Donc, je suis anxieuse de voir ce que la production a fait. Le lundi, sur RTL, c’est plus relax. Là, je profite.

Le montage est bien fait ?

Oui. J’en suis très contente. Les images prises sont chouettes. C’est tout à fait moi. Comme je viens de dire, j’ai parfois fait un peu attention à ce que je faisais pour ne pas que l’on insiste sur une mauvaise prise ou un geste. Mais, je suis naturelle. On ne peut pas traficoter… Julien a étalé de la pâte avec la main, il a eu beaucoup de remarques pas toujours gentilles sur internet. C’est ça qui est cruel, et je les lis très peu.

En tant que prof, vous n’avez pas une carapace ?

Je n’ai jamais eu de soucis à ce niveau-là, avec les enfants, ni les parents. Je suis pour la discussion et le dialogue.

C’est «soirée pâtisserie», tous les lundis soirs, devant RTL ?

C’est ce que j’avais prévu, et finalement, je reste avec mon mari. Mes enfants ne regardent même pas avec nous. Mais j’enregistre tout, pour leur montrer plus tard…

Pour la petite histoire, Valériane a réussi à ramener le tablier bleu, elle en a chipé un qui traînait sur le tournage. En général, le candidat ne repart pas avec… Un joli souvenir !

Entretien : Pierre Bertinchamps

Ici, je n’ai eu que des commentaires positifs. Ça fait plaisir, et ça signifie aussi que je ne l’ai pas volé et que j’ai bien réalisé mes épreuves. J’étais constante dans les trois épreuves, tout en prenant des risques.

Cyril Lignac ne vous titille pas un peu ?

C’est un peu son rôle. Et puis ce que vous ne voyez pas beaucoup, c’est qu’il vient souvent vers moi avec un accent belge.(rires) Pour la tarte aux fruits, il pensait que j’allais être hors-sujet, moi je n’avais aucun doute là-dessus. C’était évident que ça passait. C’était un peu la douche froide quand il me l’a annoncé…

Vous vouliez changer ?

On ne sait pas faire de marche arrière, mais de toutes les façons, je n’aurais pas changé. C’est un gâteau que j’avais déjà fait chez moi, et je savais qu’il retrouverait le croustillant qu’il attendait.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile, jusqu’ici ?

Le stress. Les autres candidats sont toujours excités d’arriver sous la tente et que le programme commence. Moi, ce n’est pas du tout le cas. Je me sens très bien dans les à-côtés, et la vie avec les autres concurrents.

C’est le bonheur. On joue aux cartes ensemble, on se retrouve à l’hôtel… Dès qu’on me dit, «on retourne sous la tente», j’ai un peu des pieds de plombs. Pourtant, j’adore l’émission, et je suis contente de ce que je fais, mais je n’y prends pas du plaisir comme dans ma cuisine.

Vous n’avez pas reçu de coaching ?

Non, j’ai juste été voir une amie qui est coach, et on en a un peu discuté. C’est naturel, et c’est en moi. Je ne suis pas quelqu’un de stressée dans la vie de tous les jours, mais là, ce n’est pas la même chose… C’est dû au fait que c’est regardé par beaucoup de personnes, les caméras, les journalistes…

Et dans les épreuves, lesquelles vous ont fait le plus peur ?

En fait, on sait ce qu’on va faire à l’avance, puisqu’on annonce nos recettes à la production, donc je ne pars pas à l’aventure les yeux fermés. Ce qui est plus compliqué, ce sont les épreuves de Mercotte.

Par contre là, malgré le côté stressant, je prends quand même du plaisir à faire les épreuves. J’aime bien ce challenge, parce qu’on a tous la même recette, et c’est là qu’on doit se dépasser. La force de Ludovic et moi, c’est que nous sommes des enseignants. C’est tout bête, mais on a l’habitude de bien prendre son temps à lire pour comprendre. Souvent, lui et moi, nous comprenons vite à quoi nous devons arriver. On a eu plusieurs fois le cas, où les autres candidats survolaient trop la recette et n’arrivaient pas au bon résultat. C’est notre force.

Là, vous nous rappelez qu’il faut toujours bien lire les questions lors d’un examen…

(rires) Oui, c’est ce que j’inculque à mes élèves ! Je vais pouvoir leur expliquer, grâce à cette aventure, que c’est important et que ça aide vraiment même pour un concours.

Le plus dur est encore à venir ?

Oui, il y a encore du beau… et des épreuves bien difficiles de Mercotte qui vont arriver.

Quel est votre coup de cœur dans l’aventure ?

J’adore Olivier et Ludovic. D’ailleurs, avec Lorie, ils vont venir en Belgique dans quelques jours. Mais il n’y a pas de concurrence entre les candidats. Il y avait beaucoup d’entraide.

On vous reconnaît dans la rue ?

Oui, un petit peu beaucoup même… (rires) On n’a pas trop l’habitude de ça. Parfois, on me dit dans la rue : «Je suis fan de vous !» C’est extraordinaire, parce que je ne fais rien d’autre que des gâteaux !

Je reçois aussi beaucoup de messages qui viennent de tous pays. C’est un peu déroutant. Et depuis que j’ai remporté le tablier bleu, je n’ai jamais autant de likes sur Facebook. C’est génial. Ce n’est que du positif.

En France aussi ?

Non, pas mal de Français me suivent sur Instagram ou Facebook, mais la presse française ne s’intéresse pas plus à moi qu’aux autres.

Quel est votre objectif ? Un changement de vie comme Mélanie Mayné ?

Au départ, je ne partais pas avec l’envie de changer de vie, c’était juste un défi, mais si on me propose quelque chose d’intéressant dans le domaine, je dirais peut-être bien «oui»… Honnêtement, je suis très bien comme institutrice, mais je me rends compte que je ne le ferai plus très longtemps. Alors pourquoi pas conjuguer deux mi-temps par exemple ? J’adore mon métier, mais il reste difficile. Je ne vois pas non plus faire des pâtisseries dès 4 heures du matin. J’aime passer des week-ends avec mes enfants, c’est primordial. Donner des cours de pâtisserie, ça me tente. Je vais en donner quelques-uns chez Darcis, mais pourquoi pas se lancer dans les cours à domicile ?

Six mois après le tournage, comment vous sentez-vous ?

Je suis très contente. J’ai un peu de mal à regarder l’émission la première fois (la diffusion de M6, le mercredi, NDLR). Ça me touche beaucoup de me revoir. En fait, je découvre les images en même temps que tout le monde. J’ai fait très attention à ce qu’on ne me voit pas me lécher les doigts. Donc, je suis anxieuse de voir ce que la production a fait. Le lundi, sur RTL, c’est plus relax. Là, je profite.

Le montage est bien fait ?

Oui. J’en suis très contente. Les images prises sont chouettes. C’est tout à fait moi. Comme je viens de dire, j’ai parfois fait un peu attention à ce que je faisais pour ne pas que l’on insiste sur une mauvaise prise ou un geste. Mais, je suis naturelle. On ne peut pas traficoter… Julien a étalé de la pâte avec la main, il a eu beaucoup de remarques pas toujours gentilles sur internet. C’est ça qui est cruel, et je les lis très peu.

En tant que prof, vous n’avez pas une carapace ?

Je n’ai jamais eu de soucis à ce niveau-là, avec les enfants, ni les parents. Je suis pour la discussion et le dialogue.

C’est «soirée pâtisserie», tous les lundis soirs, devant RTL ?

C’est ce que j’avais prévu, et finalement, je reste avec mon mari. Mes enfants ne regardent même pas avec nous. Mais j’enregistre tout, pour leur montrer plus tard…

Pour la petite histoire, Valériane a réussi à ramener le tablier bleu, elle en a chipé un qui traînait sur le tournage. En général, le candidat ne repart pas avec… Un joli souvenir !

Entretien : Pierre Bertinchamps

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