Un «Exterminator» belge dans «Box aux enchères» sur AB3

Un «Exterminator» belge dans «Box aux enchères» sur AB3
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Geoffrey est le candidat belge de la nouvelle émission de téléréalité à découvrir ce dimanche 9 octobre sur AB3, «Box aux enchères».

Une fois n’est pas coutume, un candidat de chez nous se retrouve dans un programme d’AB3. Geoffrey est Liégeois et passionné par la brocante et les «vieilles choses». Avec lui, pas question de se faire des amis : le jeu c’est le jeu. Les Français vont vite découvrir son «caractère» liégeois ! Interview.

Comment vous êtes-vous retrouvé dans…?

J’ai été casté à la Grande Braderie de Lille, l’année passée. De fil en aiguille, j’ai fait d’autres castings de chez moi, via Skype. Les autres candidats ont passé les épreuves à la production. J’étais surpris que deux journalistes me contactent. À vrai dire, avant de faire le premier tournage, je n’y croyais pas. Ça n’arrive pas à tout le monde.

Vous ne craigniez pas les conséquences de la médiatisation, dès lundi ?

Pas du tout. Avant de faire l’émission j’étais déjà un peu connu dans le milieu. J’ai longtemps suivi mon père. Et puis, j’ai une société et je viens de créer une page internet. Ce que j’espère surtout, c’est de joindre l’utile à l’agréable, et que le programme me fasse aussi de la publicité. 

Partant pour une 2e saison ?

Dès que j’ai démarré le premier tournage à Paris, je l’ai dit à la production !

«Box aux enchères», le dimanche à 19h40, sur AB3.

Entretien : Pierre Bertinchamps

C’est votre caractère ?

Bien sûr. À la base, c’est un peu ça. Si vous me rencontrez, vous me comprendrez… (Rires) Il y a aussi un peu le côté « Liégeois ». Pendant le casting, j’ai dû envoyer des termes spécifiques que l’on dit ici ou que j’utilise comme «Oufti». Et parfois pendant le tournage, on me demandait de ne pas me retenir à ce niveau-là, avec des mots de chez moi. Je n’ai pas eu besoin de me forcer. C’est venu tout seul !

Quel est votre domaine préféré?

J’aime bien restaurer des tableaux. Acheter des vieilles croutes et les nettoyer, pour voir ce qu’il y a en dessous de la crasse. J’aime bien aussi réparer les choses et découvrir l’histoire des objets.

Dans le concept, c’est votre argent qui est mis en jeu. Ça change la donne ?

Evidemment, il y a une grosse réflexion au préalable. On ne se lance pas là dedans, la tête baissée. C’est de l’argent qui est en jeu. Mais il y a eu des bonnes surprises dans les box. Parfois on gagnait beaucoup, parfois on y perdait. C’était vraiment comme dans le métier. Quand vous «rachetez» le contenu d’un grenier ou un vide-maison, parfois vous tombez sur des perles parfois ce ne sont que des bibelots.

Vous ne craigniez pas les conséquences de la médiatisation, dès lundi ?

Pas du tout. Avant de faire l’émission j’étais déjà un peu connu dans le milieu. J’ai longtemps suivi mon père. Et puis, j’ai une société et je viens de créer une page internet. Ce que j’espère surtout, c’est de joindre l’utile à l’agréable, et que le programme me fasse aussi de la publicité. 

Partant pour une 2e saison ?

Dès que j’ai démarré le premier tournage à Paris, je l’ai dit à la production !

«Box aux enchères», le dimanche à 19h40, sur AB3.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Les Belges et les Français ont-ils les mêmes goûts en matière de brocante ?

Il y a encore un bon marché pour le meuble, en France. C’est moins le cas chez nous. Tout le monde achète les mêmes choses. On ne ressent pas une grosse différence culturelle. Les prix sont différents, mais c’est le cas aussi chez nous. Un même article ne se vendra pas au même prix à Liège qu’à Bruxelles. Les antiquaires des capitales comme Bruxelles et Londres gagnent mieux leur vie.

Le public de la brocante influence-t-il aussi le prix ?

On vendra plus cher sur une foire que sur un marché hebdomadaire ou un marché de village.

Pourquoi portez-vous le surnom d’«Exterminator» dans le programme ?

Ce n’est pas moi qui ai choisi ! J’ai longuement parlé avec des journalistes, un peu psychologues de la production, qui devaient cerner le personnage. Ils m’ont posé 10.000 questions sur tout et sur rien. De là, ce surnom est né !

C’est votre caractère ?

Bien sûr. À la base, c’est un peu ça. Si vous me rencontrez, vous me comprendrez… (Rires) Il y a aussi un peu le côté « Liégeois ». Pendant le casting, j’ai dû envoyer des termes spécifiques que l’on dit ici ou que j’utilise comme «Oufti». Et parfois pendant le tournage, on me demandait de ne pas me retenir à ce niveau-là, avec des mots de chez moi. Je n’ai pas eu besoin de me forcer. C’est venu tout seul !

Quel est votre domaine préféré?

J’aime bien restaurer des tableaux. Acheter des vieilles croutes et les nettoyer, pour voir ce qu’il y a en dessous de la crasse. J’aime bien aussi réparer les choses et découvrir l’histoire des objets.

Dans le concept, c’est votre argent qui est mis en jeu. Ça change la donne ?

Evidemment, il y a une grosse réflexion au préalable. On ne se lance pas là dedans, la tête baissée. C’est de l’argent qui est en jeu. Mais il y a eu des bonnes surprises dans les box. Parfois on gagnait beaucoup, parfois on y perdait. C’était vraiment comme dans le métier. Quand vous «rachetez» le contenu d’un grenier ou un vide-maison, parfois vous tombez sur des perles parfois ce ne sont que des bibelots.

Vous ne craigniez pas les conséquences de la médiatisation, dès lundi ?

Pas du tout. Avant de faire l’émission j’étais déjà un peu connu dans le milieu. J’ai longtemps suivi mon père. Et puis, j’ai une société et je viens de créer une page internet. Ce que j’espère surtout, c’est de joindre l’utile à l’agréable, et que le programme me fasse aussi de la publicité. 

Partant pour une 2e saison ?

Dès que j’ai démarré le premier tournage à Paris, je l’ai dit à la production !

«Box aux enchères», le dimanche à 19h40, sur AB3.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Le concept vous intéressait ?

Je connaissais déjà un peu parce que je regarde ce type de concepts via la chaîne Discovery Channel. Et ce sont des programmes qui me plaisent beaucoup…

C’est votre métier ou c’est une passion ?

J’en ai fait un métier, mais au départ c’était une passion. J’ai toujours aimé les «vieilles choses»… Mais je suis d’une famille qui a toujours eu des gros meubles de château, des peintures, des beaux bibelots. Et sur les brocantes, ce qu’il me plaît aussi, c’est la rencontre avec les autres que ce soit les acheteurs ou les vendeurs.

Est-ce que la brocante a changé ces vingt dernières années ?

Le problème aujourd’hui, c’est qu’il y a des marchands qui vendent un peu de tout. Sur les vrais brocantes «antiquités», là ce sont obligatoirement des objets anciens. On trouve maintenant des produits qui n’étaient pas intéressants, il y a vingt ans d’ici. Et puis, il y a une certaine mode pour le vintage, et donc des articles des années 70 ou 80 sont prisés. Au niveau des gros meubles, maintenant, il faut vraiment que ce soit des pièces rares ou alors des cabinets hollandais (meubles à tiroirs, NDLR) pour les vendre à des prix intéressants. Les meubles traditionnels, ça se vend toujours, mais plus pour des grosses sommes.

Les Belges et les Français ont-ils les mêmes goûts en matière de brocante ?

Il y a encore un bon marché pour le meuble, en France. C’est moins le cas chez nous. Tout le monde achète les mêmes choses. On ne ressent pas une grosse différence culturelle. Les prix sont différents, mais c’est le cas aussi chez nous. Un même article ne se vendra pas au même prix à Liège qu’à Bruxelles. Les antiquaires des capitales comme Bruxelles et Londres gagnent mieux leur vie.

Le public de la brocante influence-t-il aussi le prix ?

On vendra plus cher sur une foire que sur un marché hebdomadaire ou un marché de village.

Pourquoi portez-vous le surnom d’«Exterminator» dans le programme ?

Ce n’est pas moi qui ai choisi ! J’ai longuement parlé avec des journalistes, un peu psychologues de la production, qui devaient cerner le personnage. Ils m’ont posé 10.000 questions sur tout et sur rien. De là, ce surnom est né !

C’est votre caractère ?

Bien sûr. À la base, c’est un peu ça. Si vous me rencontrez, vous me comprendrez… (Rires) Il y a aussi un peu le côté « Liégeois ». Pendant le casting, j’ai dû envoyer des termes spécifiques que l’on dit ici ou que j’utilise comme «Oufti». Et parfois pendant le tournage, on me demandait de ne pas me retenir à ce niveau-là, avec des mots de chez moi. Je n’ai pas eu besoin de me forcer. C’est venu tout seul !

Quel est votre domaine préféré?

J’aime bien restaurer des tableaux. Acheter des vieilles croutes et les nettoyer, pour voir ce qu’il y a en dessous de la crasse. J’aime bien aussi réparer les choses et découvrir l’histoire des objets.

Dans le concept, c’est votre argent qui est mis en jeu. Ça change la donne ?

Evidemment, il y a une grosse réflexion au préalable. On ne se lance pas là dedans, la tête baissée. C’est de l’argent qui est en jeu. Mais il y a eu des bonnes surprises dans les box. Parfois on gagnait beaucoup, parfois on y perdait. C’était vraiment comme dans le métier. Quand vous «rachetez» le contenu d’un grenier ou un vide-maison, parfois vous tombez sur des perles parfois ce ne sont que des bibelots.

Vous ne craigniez pas les conséquences de la médiatisation, dès lundi ?

Pas du tout. Avant de faire l’émission j’étais déjà un peu connu dans le milieu. J’ai longtemps suivi mon père. Et puis, j’ai une société et je viens de créer une page internet. Ce que j’espère surtout, c’est de joindre l’utile à l’agréable, et que le programme me fasse aussi de la publicité. 

Partant pour une 2e saison ?

Dès que j’ai démarré le premier tournage à Paris, je l’ai dit à la production !

«Box aux enchères», le dimanche à 19h40, sur AB3.

Entretien : Pierre Bertinchamps

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