«Top Chef» : voici les candidats belges de l’édition 2020

Mallory Gabsi et Maxime Zimmer sont fiers de défendre nos couleurs à cette compétition culinaire de plus en plus écoresponsable © RTL-TVI

Ils sont deux à défendre les couleurs de la Belgique dans la saison 11 de «Top Chef», qui démarre ce lundi à 20h20 sur RTL-TVI : Maxime Zimmer (31 ans) et Mallory Gabsi (22 ans). Deux caractères bien trempés, ambassadeurs d’une cuisine à la fois classique, exotique et créative.

Originaire de Sprimont, Maxime a lancé son restaurant gastronomique en octobre 2018, Un Max de Goût, au bord de l’Ourthe, à Comblain-au-Pont. Fan de glaces, il adore travailler le poisson et fusionne la cuisine française avec la japonaise.

Le Bruxellois Mallory, dit Malou, bosse comme second de cuisine auprès d’Yves Mattagne au Sea Grill, à Bruxelles. Benjamin de cette 11 e saison, il a tablé sur l’efficacité et son esprit de compétition. «Et j’ai glissé une touche belge partout dans les plats. L’audace se maîtrise !»

Comment êtes-vous arrivés à «Top Chef» ?

Maxime Zimmer : Je n’avais jamais fait de concours. Je suis discret, je n’aime pas me mettre en avant. Dans mon resto, c’est un travail d’équipe. Ma femme Erika m’a encouragé. Avant de partir à Paris, elle m’a annoncé qu’elle attendait notre premier enfant. J’ai eu du mal à quitter la maison. Mais je m’y suis amusé !

Mallory Gabsi : Un ami et collègue du Sea Grill m’a inscrit. J’aime relever des défis. Je voulais que mes parents, fans de l’émission, me voient à l’œuvre et qu’ils soient fiers bien sûr.

Avez-vous révisé avant de vous lancer ?

M.Z. : J’y suis allé tranquille. J’avais revu quelques recettes comme celle de la pâte feuilletée.

M.G. : Je me suis entraîné à la pâtisserie, à réaliser de bonnes sauces en peu de temps, sans fonds. J’ai revisité pas mal de bases et j’ai l’habitude de ne rien jeter en cuisine. 

Pensez-vous qu’un Belge gagnera un jour «Top Chef» ?

M.Z. : Un jour, certainement ! Nous pouvons être fiers de notre cuisine !

M.G. : Je suis sûr qu’un jour on gagnera ! C’est certain qu’on ressent l’esprit de compétition entre la Belgique et la France. Nous avons été très bien accueillis. Les candidats ne se la «pétaient» pas.

Mallory, évoquez-vous l’accident qui vous a fait perdre l’usage d’un œil il y a cinq ans ?

Bien sûr, il est raconté dans l’émission. Il fait partie de moi. Après en avoir été complexé, il m’a donné de la force pour avancer.

Découvrez la suite de cette interview dans le magazine Télépro paru le 20/2/2020

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