«Top Chef» saison 8 (RTL-TVI) : découvrez un avant-goût de la crème des Belges !

«Top Chef» saison 8 (RTL-TVI) : découvrez un avant-goût de la crème des Belges !
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Dès le lundi 30 janvier, ils seront deux à défendre nos couleurs dans le concours culinaire : Maximilien Dienst et Julien Wauthier.

Le premier, 23 ans, est le plus jeune étoilé de Belgique. Il officie dans les cuisines des Pieds dans le plat, à Hotton, aux côtés de son papa. Le deuxième, son aîné de dix ans, se révèle tout aussi rock’n roll dans la vie que sérieux aux fourneaux de La Plage d’Amée, à Jambes !

Pour promouvoir le programme à la presse, RTL-TVI les a mis au boulot dans un resto bruxellois. Julien a proposé en entrée un carbonara en trompe-l’œil. Son œuf parfait était surmonté d’un espuma de noisette et d’une râpée de truffe. Quant à Maximilien, il a concocté du homard aux petits légumes.

Nous avons aussi pu découvrir les images de la première émission du lundi 30 janvier où les trois jurés (Michel Sarran, Philippe Etchebest et Hélène Darroze) se battent pour recruter les meilleurs candidats et créer ainsi leur brigade. Car la grande nouveauté de cette saison, ce sont les chefs qui assurent le coaching en plus de juger à l’aveugle… La première épreuve est d’imaginer un plat de pâtes… sans pâtes !

Julien Wauthier : «Me mesurer à l’élite française !»

«Celui que je préférais avant d’y aller, c’était Philippe Etchebest pour me faire taper sur les doigts car j’en ai besoin parfois. Mais je suis cuisinier, pas acteur comme lui la plupart du temps», rigole Julien. «J’espère les avoir plus touché par ma cuisine classique que par mon côté énergumène. Quand on est dans le concours, on est comme dans une bulle. On est concentré, stressé et on ne réalise pas ce qu’il se dit autour de soi. J’ai été entouré en permanence de trois journalistes sur le plateau qui recueillaient à chaud mes impressions.»

Il poursuit : «Je suis en réalité plus stressé dans mon restaurant, face à nos clients. Ici, il fallait sortir trois belles assiettes. Mais, j’avoue, je n’ai pas été détendu tout le temps. Parfois, j’ai dû faire face à des thèmes ou produits imposés que je n’ai pas l’habitude de cuisiner. Du coup, j’ai pu dévier parfois de ma cuisine, de ce que je suis.»

Entretiens : Caroline Geskens

Ce qui l’a motivé à participer ? «La pseudo notoriété n’est pas mon délire. J’aime l’anonymat. J’y ai été pour me mesurer à l’élite française de la cuisine sur un coup de tête», nous explique ce compétiteur hors norme. «Je ne suis pas saoulé par mon métier. J’ai envie sans cesse de créer et d’apporter ma touche personnelle.»

Maximilien Dienst : «Je suis boulimique»

Et ce qui a motivé notre provocateur né, Maximilien ? «Je suis boulimique d’expériences. J’estime que j’ai plein de choses à apprendre encore. Je me suis lancé dans «Top Chef» sans trop y réfléchir. J’y ai été les mains dans les poches.»

Il poursuit : «Je suis en réalité plus stressé dans mon restaurant, face à nos clients. Ici, il fallait sortir trois belles assiettes. Mais, j’avoue, je n’ai pas été détendu tout le temps. Parfois, j’ai dû faire face à des thèmes ou produits imposés que je n’ai pas l’habitude de cuisiner. Du coup, j’ai pu dévier parfois de ma cuisine, de ce que je suis.»

Entretiens : Caroline Geskens

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