La saison 9 de «Top Chef» est lancée ! Placée sous le signe de l’excellence, elle promet des surprises
Qui succèdera au chef au béret Jérémie Izarn dont le restaurant ne désemplit pas ? La saison 9 de «Top Chef» nous servira son vainqueur d’ici avril prochain au bout de treize semaines d’une compétition acharnée.
Tournée en octobre et novembre dernier, toujours sous le sceau du plus grand secret, cette saison est placée sous le signe de l’excellence. Au menu, la célébration du 100e épisode de l’émission (avec les 100 meilleurs ouvriers de France réunis dans les grandes écuries de Chantilly), et l’arrivée de nouveaux chefs étoilés (Joël Robuchon, trente-deux étoiles à son tablier, et Marc Veyrat).
Il y a aussi deux nouvelles épreuves imaginées par le chef étoilé Jean-François Piège. Déjà à l’origine de l’épreuve de la boîte noire, ce dernier a imaginé d’abord un show culinaire. Les candidats doivent exécuter la fin de leur recette sous ses yeux. Une source de stress supplémentaire pour eux ! Il propose aussi une épreuve sans matières grasses. «Mine de rien, elle n’est pas simple et demande de l’imagination», a confié Jean-François Piège lors de la conférence de presse de mise en bouche, à Paris.
Des candidats déterminés
Dans la prochaine saison, prévue comme de coutume pour janvier 2018 sur RTL-TVI, le principe des brigades est toujours de mise. Il avait conquis les téléspectateurs et le jury l’année dernière. En plus, Philippe Etchebest et Hélène Darroze ont une revanche à prendre sur Michel Sarran, «coach» de Jérémie Izarn. «En neuf saisons, pour la première fois, je constate que 90 % des candidats veulent vraiment gagner ! Ils sont déterminés», souligne Jean-François Piège.
«Il y a eu une véritable complicité et une réelle solidarité entre eux», précise, de son côté, Philippe Etchebest.
«La pression, et son enchaînement de phases émotionnelles, peuvent être psychologiquement très violents. Un candidat peut se prendre trois coups de massue dans la même journée. Il doit tenir le choc, encaisser, être solide. Moi, je sais que je n’aurais jamais pu passer le concours du Meilleur ouvrier de France», nous certifie Michel Sarran.
Côté belge, deux candidats participent à cette aventure culinaire. On vous reparle dans les prochains jours…
Caroline Geskens
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