Théophile Renier, gagnant de «The Voice Belgique 6» : «Le public m’a aidé à me surpasser !»

Théophile Renier, gagnant de «The Voice Belgique 6» : «Le public m’a aidé à me surpasser !»
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Que va-t-il faire maintenant ? Au lendemain de sa victoire au talentshow de la RTBF, il se confie à Télépro sur ses projets et ses envies.

Il n’en revenait pas le grand vainqueur de cette 6e saison de «The Voice» sur le plateau de Médiarives. «C’est hallucinant !», a-t-il confié, abasourdi, au micro de Maureen Louys avant de reprendre une dernière fois «Quand on a que l’amour» de Jacques Brel.

Les téléspectateurs ont senti en Théophile Renier l’authenticité et le côté bouillonnant d’un artiste aussi atypique que Julien Doré. Étudiant en sciences politiques, amoureux de la campagne, pianiste, ce Chastrois de 22 ans figurait dans l’équipe de Quentin Mosimann, «extrêmement fier de lui».

À qui dédiez-vous cette victoire ?

Au public ! À chaque fois qu’il a voté et m’a élu, il m’a donné une motivation supplémentaire pour continuer à me surpasser et à relever des défis.

Vous êtes issu d’une famille musicienne ?

En effet. À la maison, à chaque fête de famille, on chante, on joue de la musique ensemble. C’est du partage. À 3 ans, j’ai été inscrit à un cours d’éveil musical et j’ai poursuivi par l’apprentissage du piano. La musique m’a toujours permis de canaliser mes émotions.

Entretien : Caroline Geskens

Allez-vous poursuivre vos études ?

Je mets mes études de côté. Je les reprendrai peut-être un jour. Il faut que je me donne ma chance. Je sens que je suis porté et poussé vers le milieu artistique. J’ai plein de messages à envoyer. J’ai envie de chanter le bon sens, l’humanité, de parler des belles choses, d‘amour…

Avez-vous des compos prêtes dans les tiroirs ?

J’ai des ébauches, des projets. Nous parlons du single avec Universal Music. Il y a des compromis à faire. J’ai des idées en tête, je sais défendre mes intérêts et j’ai envie de travailler dans un respect mutuel. Rien ne se fait sans discussion. J’ai ma spécificité.

Quelle est la première chose dont vous rêvez de retour à la maison ?

Un peu de tranquillité, loin de la foule. J’ai été entouré constamment jusqu’à présent. Je suis quelqu’un de solitaire. Donc, après cette tournée promotionnelle, je dois aussi me dénicher un manager pour donner un côté plus pro à l’aventure. Ce qui me permettra de ne me soucier que de l’artistique. Et puis, je rentrerai et je me replierai chez moi pour travailler.

Vous êtes issu d’une famille musicienne ?

En effet. À la maison, à chaque fête de famille, on chante, on joue de la musique ensemble. C’est du partage. À 3 ans, j’ai été inscrit à un cours d’éveil musical et j’ai poursuivi par l’apprentissage du piano. La musique m’a toujours permis de canaliser mes émotions.

Entretien : Caroline Geskens

Vous avez pris tous les risques dans vos choix de chansons et vous avez montré une belle authenticité. Est-ce à cela que vous attribuez l’engouement du public ?

Je pense qu’il a senti que je chantais avec sincérité et que j’y mettais mes émotions.

Quel est le plus beau compliment qui a été fait ?

Quentin m’a dit que j’avais la même sensibilité qu’Yves Jamait. On m’a aussi comparé à Julien Doré et Jacques Brel. J’en ai été extrêmement touché. Rien que ces trois artistes, c’est immense.

Allez-vous poursuivre vos études ?

Je mets mes études de côté. Je les reprendrai peut-être un jour. Il faut que je me donne ma chance. Je sens que je suis porté et poussé vers le milieu artistique. J’ai plein de messages à envoyer. J’ai envie de chanter le bon sens, l’humanité, de parler des belles choses, d‘amour…

Avez-vous des compos prêtes dans les tiroirs ?

J’ai des ébauches, des projets. Nous parlons du single avec Universal Music. Il y a des compromis à faire. J’ai des idées en tête, je sais défendre mes intérêts et j’ai envie de travailler dans un respect mutuel. Rien ne se fait sans discussion. J’ai ma spécificité.

Quelle est la première chose dont vous rêvez de retour à la maison ?

Un peu de tranquillité, loin de la foule. J’ai été entouré constamment jusqu’à présent. Je suis quelqu’un de solitaire. Donc, après cette tournée promotionnelle, je dois aussi me dénicher un manager pour donner un côté plus pro à l’aventure. Ce qui me permettra de ne me soucier que de l’artistique. Et puis, je rentrerai et je me replierai chez moi pour travailler.

Vous êtes issu d’une famille musicienne ?

En effet. À la maison, à chaque fête de famille, on chante, on joue de la musique ensemble. C’est du partage. À 3 ans, j’ai été inscrit à un cours d’éveil musical et j’ai poursuivi par l’apprentissage du piano. La musique m’a toujours permis de canaliser mes émotions.

Entretien : Caroline Geskens

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