«The Voice Belgique» saison 7 (La Une) : dans les coulisses de l’enregistrement des blinds

«The Voice Belgique» saison 7 (La Une) : dans les coulisses de l'enregistrement des blinds
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Tout ce week-end, le studio Médiarives, à Liège, a accueilli les enregistrements des auditions à l’aveugle de cette 7e saison de «The Voice Belgique».

Des talents musiciens

Sur le plateau, le chauffeur de salle rappelle à l’ordre le public venu en famille soutenir l’un ou l’autre talent. «S’il vous plaît, ne réagissez pas avant un buzz. Vous pouvez libérer toute votre énergie après !» Les quatre coaches s’installent dans les fauteuils. Autour de la mamma de l’Alabama, B.J. Scott, il y a Matthew Irons (chanteur du groupe Puggy) à sa gauche, Slimane et Vitaa à sa droite.

Une centaine de talents sur près de 2.500 candidats ont passé haut la voix les sélections. Nous avons pu en découvrir quelques-uns d’entre eux, ce week-end, lors des auditions à l’aveugle. Certains jouent de la guitare, du saxo, de la contrebasse… «En effet, il y a plus de chanteurs-musiciens qui se sont présentés», confirme la productrice Leslie Cable. «Il y a aussi pas mal de jeunes de 16, 17 ans qui osent et vont vous surprendre. Nous avons aussi, cette saison, des semi-pros, même s’ils ne sont pas nécessairement plus choisis que les autres.»

B.J. Scott, une coach toujours passionnée

«C’est ma 7e saison. Ai-je encore quelque chose à dire et à apporter ? Vais-je apprendre quelque chose ? Je suis là pour de bonnes raisons. Je peux vous le confirmer : le niveau des talents a encore augmenté. Vague après vague d’auditions, je retrouve les mêmes sensations. J’hésite souvent, il y a du suspense. La formule de «The Voice» reste extrêmement riche et intéressante. C’est devenu ma passion.» Et d’ajouter : «Il me faut de la sincérité, de l’émotion, qu’elle soit profonde, légère… Les choix sont très subjectifs. Ensuite, il faut mesurer les risques. C’est très difficile car il y a des moments où on réfléchit trop.»

Caroline Geskens

Comment la charmer ? «En étant audacieux ! Revisiter des classiques de façon folle.» Chanter en français est-il important ? «Avec Slimane, nous avions une blague entre nous : dès que cela chante en français, nous nous retournons ! Nous réalisons qu’il y a une culture pop-rock-folk en Belgique. J’imaginais qu’il y aurait des choix plus urbains, plus hip hop.»

Matthew, l’Anglais compétitif

«Quelle adrénaline de malade !», s’exclame Matthew Irons. «Je joue pour gagner. Je me bats pour des talents. Je suis tombé dans le piège de jouer le jeu à fond. Je pense qu’il faut être élégant quand on perd, quand on n’est pas choisi. Nous trouvons nos marques. Nos réactions sont sincères. Et je ne m’y attendais pas ! J’ai perdu tous mes repères. Mes idées préconçues ont été chamboulées. Je me suis retourné en pensant qu’un talent était sexagénaire… C’était une jeune fille ! C’est très surprenant. Nous sommes tous à la recherche d’une voix particulière. En plus, si nous avons affaire à un talent qui communique de l’émotion, de la fragilité, c’est magique. Ce télécrochet est un chemin et a aidé pas mal d’artistes, mais il y a plein d’autres chemins.»

B.J. Scott, une coach toujours passionnée

«C’est ma 7e saison. Ai-je encore quelque chose à dire et à apporter ? Vais-je apprendre quelque chose ? Je suis là pour de bonnes raisons. Je peux vous le confirmer : le niveau des talents a encore augmenté. Vague après vague d’auditions, je retrouve les mêmes sensations. J’hésite souvent, il y a du suspense. La formule de «The Voice» reste extrêmement riche et intéressante. C’est devenu ma passion.» Et d’ajouter : «Il me faut de la sincérité, de l’émotion, qu’elle soit profonde, légère… Les choix sont très subjectifs. Ensuite, il faut mesurer les risques. C’est très difficile car il y a des moments où on réfléchit trop.»

Caroline Geskens

Et de poursuivre : «Comme vous le savez, je suis issu de la version française de ce télécrochet qui a changé ma vie. Je me dis que je n’ai pas le droit de passer à côté de quelqu’un. C’est compliqué, mais ça vaut le coup. Si Florent Pagny et les trois autres ne m’avaient pas choisi, je serais autre part. Je suis surpris par le potentiel des Belges ! J’en suis vraiment content. Je suis fier de participer à cette belle aventure humaine.»

«Trop sage !»

Que faut-il faire pour séduire le vainqueur de «The Voice – La Plus belle voix» ? «Je trouve qu’il y a beaucoup de politesse dans ce que nous entendons. C’est trop sage jusqu’à présent. Mais je suis convaincu que nous allons présenter plein de papillons, de talents qui ont une marche de progression. Je n’ai pas envie de mettre en duel deux talents qui se ressemblent et chantent à peu près pareil. Cela ne se fait pas pour moi, ce n’est pas juste et pas cool.»

Mais lâchera-t-il son bonnet noir ? «Oui ! J’ai une couleur qui change tout le temps. C’est un blond louche. Comme je dois être raccord pour les enregistrements, je garde le bonnet.»

Vitaa, l’artiste émotive

De son côté, Vitaa, la chanteuse R & B de la dream team, trouve «formidable» cette expérience. «C’est complètement addictif ! Nous nous prenons au jeu et nous oublions que nous sommes filmés. J’ai vécu des moments d’intenses émotions. C’est magique. Nous savons que nous allons entendre une centaine de voix. À moment donné, nous savons que nous n’en retenons que douze. Je sens que B.J. a de l’expérience. Il faut la regarder car elle nous apprend à jauger le buzzeur. J’attends juste un peu plus avant d’y aller. «The Voice» est le seul télécrochet qui m’intéresse. J’aime son concept. En plus, j’adore la Belgique, pas seulement parce que j’ai travaillé avec Stromae sur mon dernier album. À mes débuts, à l’époque d’«À fleur de toi», j’ai bossé avec des compositeurs belges. J’ai donné toujours des concerts aussi. Du coup, j’ai spontanément accepté.»

Comment la charmer ? «En étant audacieux ! Revisiter des classiques de façon folle.» Chanter en français est-il important ? «Avec Slimane, nous avions une blague entre nous : dès que cela chante en français, nous nous retournons ! Nous réalisons qu’il y a une culture pop-rock-folk en Belgique. J’imaginais qu’il y aurait des choix plus urbains, plus hip hop.»

Matthew, l’Anglais compétitif

«Quelle adrénaline de malade !», s’exclame Matthew Irons. «Je joue pour gagner. Je me bats pour des talents. Je suis tombé dans le piège de jouer le jeu à fond. Je pense qu’il faut être élégant quand on perd, quand on n’est pas choisi. Nous trouvons nos marques. Nos réactions sont sincères. Et je ne m’y attendais pas ! J’ai perdu tous mes repères. Mes idées préconçues ont été chamboulées. Je me suis retourné en pensant qu’un talent était sexagénaire… C’était une jeune fille ! C’est très surprenant. Nous sommes tous à la recherche d’une voix particulière. En plus, si nous avons affaire à un talent qui communique de l’émotion, de la fragilité, c’est magique. Ce télécrochet est un chemin et a aidé pas mal d’artistes, mais il y a plein d’autres chemins.»

B.J. Scott, une coach toujours passionnée

«C’est ma 7e saison. Ai-je encore quelque chose à dire et à apporter ? Vais-je apprendre quelque chose ? Je suis là pour de bonnes raisons. Je peux vous le confirmer : le niveau des talents a encore augmenté. Vague après vague d’auditions, je retrouve les mêmes sensations. J’hésite souvent, il y a du suspense. La formule de «The Voice» reste extrêmement riche et intéressante. C’est devenu ma passion.» Et d’ajouter : «Il me faut de la sincérité, de l’émotion, qu’elle soit profonde, légère… Les choix sont très subjectifs. Ensuite, il faut mesurer les risques. C’est très difficile car il y a des moments où on réfléchit trop.»

Caroline Geskens

Comme les saisons précédentes, le télécrochet compte six émissions d’auditions à l’aveugle, quatre soirées de duels et six lives. Et arrive début janvier sur La Une.

Slimane, roi du buzz

À mi-parcours de ces auditions, Slimane était le roi du buzz. Au total, il a douze talents à recruter. «Je me suis surpris, je n’ai rien contrôlé. Dans notre métier, nous faisons pourtant attention à notre image, à nos propos… Ici, pas du tout. J’ai eu du mal à ne pas buzzer. J’ai parlé avec mon cœur, et ce n’est pas grave du tout. Il y a une beauté de l’instant plus présente ici. Je me sens plus libre, je peux être moi-même à 100%. Du coup, les talents sont un poil plus naturel. Nous devenons des Belges de cœur ! Parfois, je me suis senti mal parce que je ne me retournais pas. Je m’en suis voulu, et ce sera comme ça jusqu’au bout.»

Et de poursuivre : «Comme vous le savez, je suis issu de la version française de ce télécrochet qui a changé ma vie. Je me dis que je n’ai pas le droit de passer à côté de quelqu’un. C’est compliqué, mais ça vaut le coup. Si Florent Pagny et les trois autres ne m’avaient pas choisi, je serais autre part. Je suis surpris par le potentiel des Belges ! J’en suis vraiment content. Je suis fier de participer à cette belle aventure humaine.»

«Trop sage !»

Que faut-il faire pour séduire le vainqueur de «The Voice – La Plus belle voix» ? «Je trouve qu’il y a beaucoup de politesse dans ce que nous entendons. C’est trop sage jusqu’à présent. Mais je suis convaincu que nous allons présenter plein de papillons, de talents qui ont une marche de progression. Je n’ai pas envie de mettre en duel deux talents qui se ressemblent et chantent à peu près pareil. Cela ne se fait pas pour moi, ce n’est pas juste et pas cool.»

Mais lâchera-t-il son bonnet noir ? «Oui ! J’ai une couleur qui change tout le temps. C’est un blond louche. Comme je dois être raccord pour les enregistrements, je garde le bonnet.»

Vitaa, l’artiste émotive

De son côté, Vitaa, la chanteuse R & B de la dream team, trouve «formidable» cette expérience. «C’est complètement addictif ! Nous nous prenons au jeu et nous oublions que nous sommes filmés. J’ai vécu des moments d’intenses émotions. C’est magique. Nous savons que nous allons entendre une centaine de voix. À moment donné, nous savons que nous n’en retenons que douze. Je sens que B.J. a de l’expérience. Il faut la regarder car elle nous apprend à jauger le buzzeur. J’attends juste un peu plus avant d’y aller. «The Voice» est le seul télécrochet qui m’intéresse. J’aime son concept. En plus, j’adore la Belgique, pas seulement parce que j’ai travaillé avec Stromae sur mon dernier album. À mes débuts, à l’époque d’«À fleur de toi», j’ai bossé avec des compositeurs belges. J’ai donné toujours des concerts aussi. Du coup, j’ai spontanément accepté.»

Comment la charmer ? «En étant audacieux ! Revisiter des classiques de façon folle.» Chanter en français est-il important ? «Avec Slimane, nous avions une blague entre nous : dès que cela chante en français, nous nous retournons ! Nous réalisons qu’il y a une culture pop-rock-folk en Belgique. J’imaginais qu’il y aurait des choix plus urbains, plus hip hop.»

Matthew, l’Anglais compétitif

«Quelle adrénaline de malade !», s’exclame Matthew Irons. «Je joue pour gagner. Je me bats pour des talents. Je suis tombé dans le piège de jouer le jeu à fond. Je pense qu’il faut être élégant quand on perd, quand on n’est pas choisi. Nous trouvons nos marques. Nos réactions sont sincères. Et je ne m’y attendais pas ! J’ai perdu tous mes repères. Mes idées préconçues ont été chamboulées. Je me suis retourné en pensant qu’un talent était sexagénaire… C’était une jeune fille ! C’est très surprenant. Nous sommes tous à la recherche d’une voix particulière. En plus, si nous avons affaire à un talent qui communique de l’émotion, de la fragilité, c’est magique. Ce télécrochet est un chemin et a aidé pas mal d’artistes, mais il y a plein d’autres chemins.»

B.J. Scott, une coach toujours passionnée

«C’est ma 7e saison. Ai-je encore quelque chose à dire et à apporter ? Vais-je apprendre quelque chose ? Je suis là pour de bonnes raisons. Je peux vous le confirmer : le niveau des talents a encore augmenté. Vague après vague d’auditions, je retrouve les mêmes sensations. J’hésite souvent, il y a du suspense. La formule de «The Voice» reste extrêmement riche et intéressante. C’est devenu ma passion.» Et d’ajouter : «Il me faut de la sincérité, de l’émotion, qu’elle soit profonde, légère… Les choix sont très subjectifs. Ensuite, il faut mesurer les risques. C’est très difficile car il y a des moments où on réfléchit trop.»

Caroline Geskens

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