«Still Standing» (RTL-TVI) : Jean-Michel Zecca à la trappe ?

«Still Standing» (RTL-TVI) : Jean-Michel Zecca à la trappe ?
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Le samedi 12 mars, vers 18h10, Jean-Michel Zecca lancera «Still Standing- Qui passera à la trappe ?», un nouveau jeu hebdomadaire où les candidats passent à la trappe en cas de mauvaise réponse. La tension est soutenue tout au long des duels, et l’effet de surprise garanti. Notre journaliste a assisté aux premiers enregistrements.

Le magnifique décor est arrivé par cargo d’Israël où ce jeu de culture générale a été créé. Depuis, une douzaine de pays a exporté avec succès le concept.

Pour RTL-TVI, Jean-Michel Zecca mouille sa chemise blanche jusqu’au 2 mars. Dans un Louvexpo rénové, l’animateur enchaîne les enregistrements en alternance avec son homologue français, Julien Courbet, pour D8. Le plateau se situe à trois mètres de hauteur de sol. Et pour cause, il comporte des trappes !

«J’avais vu quelques images du format israélien. Cela me plaisait bien d’y aller ! L’occasion a fait le larron. Et puis franchement, on aime bien voir les gens se crisper, avoir peur, non ? Cela se passe dans une ambiance bon enfant. Et on a eu des candidats brillants.»

Toutes les précautions sont prises pour que les candidats ne souffrent d’aucune égratignure. Le fond de la trappe est recouvert d’un tas de flocons de mousse. Les participants jouent les poches vides et laissent leurs lunettes de côté. Pour les femmes, le pantalon est de rigueur.

À force de présenter des jeux de culture générale, est-ce que Jean-Michel Zecca est devenu imbattable à «Trivial Pursuit» ? «Tout ne me reste pas en tête. Sinon, je serai devenu une sorte d’encyclopédie sur pattes. J’ai appris beaucoup de choses. Je joue en même temps que les candidats. Je me force à ne pas regarder les réponses avant qu’elles me viennent à l’esprit. Donc, je m’amuse.» Au total, Jean-Michel Zecca met en boîte vingt-quatre rendez-vous.

Caroline Geskens

Le jeu met un candidat seul face à dix adversaires. Il les choisit et doit tenter de les éliminer les uns après les autres dans des duels de culture générale. Chacun se tient debout sur une trappe qui s’ouvre à la moindre mauvaise réponse. L’effet de surprise est garanti ! Quelque 3.000 participants se sont bousculés au casting.

«Je passe aussi à la trappe !»

«Je suis ravi qu’on délocalise un peu nos activités et d’être à la Louvière. Le plateau à 360 degrés impose une dynamique. On bouge beaucoup, on n’est pas tout le temps face au public ou aux candidats. Dans le jeu, il y a une tension et du suspense. Bien sûr, sa force est aussi dans le visuel, au moment où le candidat chute et disparaît. Je peux décider du moment, je ne vous dirai pas quel signe je fais. (rire) Je passe d’ailleurs aussi à la trappe à la fin de chaque émission», explique l’animateur du «Septante et un».

«J’avais vu quelques images du format israélien. Cela me plaisait bien d’y aller ! L’occasion a fait le larron. Et puis franchement, on aime bien voir les gens se crisper, avoir peur, non ? Cela se passe dans une ambiance bon enfant. Et on a eu des candidats brillants.»

Toutes les précautions sont prises pour que les candidats ne souffrent d’aucune égratignure. Le fond de la trappe est recouvert d’un tas de flocons de mousse. Les participants jouent les poches vides et laissent leurs lunettes de côté. Pour les femmes, le pantalon est de rigueur.

À force de présenter des jeux de culture générale, est-ce que Jean-Michel Zecca est devenu imbattable à «Trivial Pursuit» ? «Tout ne me reste pas en tête. Sinon, je serai devenu une sorte d’encyclopédie sur pattes. J’ai appris beaucoup de choses. Je joue en même temps que les candidats. Je me force à ne pas regarder les réponses avant qu’elles me viennent à l’esprit. Donc, je m’amuse.» Au total, Jean-Michel Zecca met en boîte vingt-quatre rendez-vous.

Caroline Geskens

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici