Stéphane Pauwels sur les traces des 2Be3 avec Frank Delay !

Stéphane Pauwels sur les traces des 2Be3 avec Frank Delay !
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Ce mercredi 8 novembre à 19h45 sur RTL-TVI dans «Les Orages de la vie», Stéphane Pauwels revient sur la folle épopée du plus fameux boys band français des années 90 en compagnie de Frank Delay.

«Partir un jour sans retour. Effacer notre amour. Sans se retourner. Ne pas regretter…» En 1997, les 2Be3 plombent les tirelires des filles de moins de 17 ans. Ce boys band squatte télés, radios et presse, à coup de chansons gentillettes et d’interviews délirantes.

Du trio, Filip Nikolic était le plus grande gueule, masquant Frank et Adel. Aucun ne buvait, ne fumait, ne touchait à la drogue. Les garçons prônaient le sport et souriaient tout le temps. Les parents n’étaient pas inquiets de lâcher leurs jeunes aux concerts où le trio apparaissait chemises déboutonnées sur torses épilés dans des chorégraphies sexy…

Mascotte de l’émission, la Fiat blanche est équipée de trois caméras GoPro à l’avant.

Découvrez ci-dessous la bande-annonce des «Orages de la vie» de ce mercredi 8 novembre sur RTL-TVI :

Dans le parc de la villa Saint-Martin, le duo s’apprête à aborder le drame, la disparition de Filip. Stéphane attire les confidences tout en délicatesse. «Nous nous voyions moins. Nous avions chacun nos vies de famille, nous avions tourné la page. Mais Filip n’acceptait pas d’avoir moins de succès. Il était excessif en tout, en amour, en amitié, en sport, en alcool et médocs… Je le voyais changer d’humeur. J’étais le grand frère. Filip était talentueux, généreux, séducteur, assez susceptible, impulsif et colérique. Il avait des démons que j’ai découverts très tard. Il vivait un passage difficile, la séparation avec sa femme partie avec les enfants, et les rôles qu’il ne parvenait pas à décrocher.»

Lorsqu’il a réalisé que Frank prenait la même voie que lui (la comédie), Filip l’a vu comme un rival. «Il avait du mal à accepter mon choix. Mais les 2 Be 3, cela reste l’expérience de ma vie. Je n’aurais jamais imaginé que cela prenne tant d’ampleur.»

Caroline GESKENS

Mascotte de l’émission, la Fiat blanche est équipée de trois caméras GoPro à l’avant.

Découvrez ci-dessous la bande-annonce des «Orages de la vie» de ce mercredi 8 novembre sur RTL-TVI :

La disparition de Filip

Entre les prises, Stéphane fredonne de vieux rossignols des années 80 («ma passion, j’ai 4.000 vinyles à la maison !») et déjoue les attaques à la laque de sa maquilleuse Nancy. Frank se détend petit à petit.

Dans le parc de la villa Saint-Martin, le duo s’apprête à aborder le drame, la disparition de Filip. Stéphane attire les confidences tout en délicatesse. «Nous nous voyions moins. Nous avions chacun nos vies de famille, nous avions tourné la page. Mais Filip n’acceptait pas d’avoir moins de succès. Il était excessif en tout, en amour, en amitié, en sport, en alcool et médocs… Je le voyais changer d’humeur. J’étais le grand frère. Filip était talentueux, généreux, séducteur, assez susceptible, impulsif et colérique. Il avait des démons que j’ai découverts très tard. Il vivait un passage difficile, la séparation avec sa femme partie avec les enfants, et les rôles qu’il ne parvenait pas à décrocher.»

Lorsqu’il a réalisé que Frank prenait la même voie que lui (la comédie), Filip l’a vu comme un rival. «Il avait du mal à accepter mon choix. Mais les 2 Be 3, cela reste l’expérience de ma vie. Je n’aurais jamais imaginé que cela prenne tant d’ampleur.»

Caroline GESKENS

Mascotte de l’émission, la Fiat blanche est équipée de trois caméras GoPro à l’avant.

Découvrez ci-dessous la bande-annonce des «Orages de la vie» de ce mercredi 8 novembre sur RTL-TVI :

De gauche à droite, cachés derrière un mur, une paire de policiers, le preneur de son Jean-Philippe de Marchin (Bouli), la journaliste Audrey Leunens, notre journaliste Caroline Geskens, la maquilleuse-laqueuse Nancy Roelens et le réalisateur David Haremza

Dès octobre 1996, leur premier single «Partir un jour» se vend à 450.000 exemplaires. Suivront un premier album, un live et un 2e album en 1998. Les 2 Be 3 entreront même au musée Grévin. «Nous avons géré nous-mêmes le merchandising et négocié les licences. Cela nous a rapporté près de 400.000 francs, les royalties 2 millions de francs comme interprètes. J’ai investi dans l’immobilier. Filip ne se projetait pas dans le futur. Il tuait les cartes bleues. Adel était moins flambeur. Nous avons connu cette folie du succès, des concerts de ville en ville. Ce tourbillon a duré près de trois ans. De son côté, ma maman était dépassée et subissait. Nous avons pris le temps d’enregistrer un album aux États-Unis, notre rêve de gosses, qui a été un échec. C’était fini.»

La disparition de Filip

Entre les prises, Stéphane fredonne de vieux rossignols des années 80 («ma passion, j’ai 4.000 vinyles à la maison !») et déjoue les attaques à la laque de sa maquilleuse Nancy. Frank se détend petit à petit.

Dans le parc de la villa Saint-Martin, le duo s’apprête à aborder le drame, la disparition de Filip. Stéphane attire les confidences tout en délicatesse. «Nous nous voyions moins. Nous avions chacun nos vies de famille, nous avions tourné la page. Mais Filip n’acceptait pas d’avoir moins de succès. Il était excessif en tout, en amour, en amitié, en sport, en alcool et médocs… Je le voyais changer d’humeur. J’étais le grand frère. Filip était talentueux, généreux, séducteur, assez susceptible, impulsif et colérique. Il avait des démons que j’ai découverts très tard. Il vivait un passage difficile, la séparation avec sa femme partie avec les enfants, et les rôles qu’il ne parvenait pas à décrocher.»

Lorsqu’il a réalisé que Frank prenait la même voie que lui (la comédie), Filip l’a vu comme un rival. «Il avait du mal à accepter mon choix. Mais les 2 Be 3, cela reste l’expérience de ma vie. Je n’aurais jamais imaginé que cela prenne tant d’ampleur.»

Caroline GESKENS

Mascotte de l’émission, la Fiat blanche est équipée de trois caméras GoPro à l’avant.

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Frank donne une leçon de Vovinam-Viet Vo Dao à Stéphane, au gymnase Rigoulot. «Je te préviens, je suis aussi souple qu’une planche à repasser !»

Jean-Philippe de Marchin, alias Bouli, le preneur de son, passe son temps caché du champ. «C’est toute ma vie !», rigole-t-il.

Un tourbillon enivrant

Contrairement aux boys bands créés artificiellement (Alliage, G-Squad…), les 2 Be 3 ont été de vrais amis. «Nous, au début, pour un Coca et un sandwich, nous chantions et dansions dans les boîtes de nuit. Ensuite, nous avons été mieux entourés.»

De gauche à droite, cachés derrière un mur, une paire de policiers, le preneur de son Jean-Philippe de Marchin (Bouli), la journaliste Audrey Leunens, notre journaliste Caroline Geskens, la maquilleuse-laqueuse Nancy Roelens et le réalisateur David Haremza

Dès octobre 1996, leur premier single «Partir un jour» se vend à 450.000 exemplaires. Suivront un premier album, un live et un 2e album en 1998. Les 2 Be 3 entreront même au musée Grévin. «Nous avons géré nous-mêmes le merchandising et négocié les licences. Cela nous a rapporté près de 400.000 francs, les royalties 2 millions de francs comme interprètes. J’ai investi dans l’immobilier. Filip ne se projetait pas dans le futur. Il tuait les cartes bleues. Adel était moins flambeur. Nous avons connu cette folie du succès, des concerts de ville en ville. Ce tourbillon a duré près de trois ans. De son côté, ma maman était dépassée et subissait. Nous avons pris le temps d’enregistrer un album aux États-Unis, notre rêve de gosses, qui a été un échec. C’était fini.»

La disparition de Filip

Entre les prises, Stéphane fredonne de vieux rossignols des années 80 («ma passion, j’ai 4.000 vinyles à la maison !») et déjoue les attaques à la laque de sa maquilleuse Nancy. Frank se détend petit à petit.

Dans le parc de la villa Saint-Martin, le duo s’apprête à aborder le drame, la disparition de Filip. Stéphane attire les confidences tout en délicatesse. «Nous nous voyions moins. Nous avions chacun nos vies de famille, nous avions tourné la page. Mais Filip n’acceptait pas d’avoir moins de succès. Il était excessif en tout, en amour, en amitié, en sport, en alcool et médocs… Je le voyais changer d’humeur. J’étais le grand frère. Filip était talentueux, généreux, séducteur, assez susceptible, impulsif et colérique. Il avait des démons que j’ai découverts très tard. Il vivait un passage difficile, la séparation avec sa femme partie avec les enfants, et les rôles qu’il ne parvenait pas à décrocher.»

Lorsqu’il a réalisé que Frank prenait la même voie que lui (la comédie), Filip l’a vu comme un rival. «Il avait du mal à accepter mon choix. Mais les 2 Be 3, cela reste l’expérience de ma vie. Je n’aurais jamais imaginé que cela prenne tant d’ampleur.»

Caroline GESKENS

Mascotte de l’émission, la Fiat blanche est équipée de trois caméras GoPro à l’avant.

Découvrez ci-dessous la bande-annonce des «Orages de la vie» de ce mercredi 8 novembre sur RTL-TVI :

Manipulé par les caméramen Philippe Avanzi et Lucas Ruyssen, le drone offre de magnifiques images et plans larges

Des amis pour la vie

La journaliste Audrey Leunens («Images à l’appui») a préparé le travail en amont, les sujets des séquences, et tourné les témoignages qui apparaissent sur l’iPad que montre Stéphane à son invité. «Je n’ai pas vraiment connu mon père. Ma maman m’a enseigné les bonnes valeurs qui m’ont permis de ne pas toucher le fond quand tout s’est arrêté», raconte Frank (44 ans), papa de deux ados de 15 et 16 ans. «J’ai grandi avec Adel ici. Nous sommes amis depuis le bac à sable. Nous partagions les mêmes hobbies et envies artistiques. Filip venait voir souvent sa sœur qui vivait dans cet appartement et traînait avec nous. Adel a pratiqué le breakdance. J’ai commencé par le judo avant de faire du Vovinam-Viet Vo Dao, un art martial vietnamien, avec Filip.»

Frank donne une leçon de Vovinam-Viet Vo Dao à Stéphane, au gymnase Rigoulot. «Je te préviens, je suis aussi souple qu’une planche à repasser !»

Jean-Philippe de Marchin, alias Bouli, le preneur de son, passe son temps caché du champ. «C’est toute ma vie !», rigole-t-il.

Un tourbillon enivrant

Contrairement aux boys bands créés artificiellement (Alliage, G-Squad…), les 2 Be 3 ont été de vrais amis. «Nous, au début, pour un Coca et un sandwich, nous chantions et dansions dans les boîtes de nuit. Ensuite, nous avons été mieux entourés.»

De gauche à droite, cachés derrière un mur, une paire de policiers, le preneur de son Jean-Philippe de Marchin (Bouli), la journaliste Audrey Leunens, notre journaliste Caroline Geskens, la maquilleuse-laqueuse Nancy Roelens et le réalisateur David Haremza

Dès octobre 1996, leur premier single «Partir un jour» se vend à 450.000 exemplaires. Suivront un premier album, un live et un 2e album en 1998. Les 2 Be 3 entreront même au musée Grévin. «Nous avons géré nous-mêmes le merchandising et négocié les licences. Cela nous a rapporté près de 400.000 francs, les royalties 2 millions de francs comme interprètes. J’ai investi dans l’immobilier. Filip ne se projetait pas dans le futur. Il tuait les cartes bleues. Adel était moins flambeur. Nous avons connu cette folie du succès, des concerts de ville en ville. Ce tourbillon a duré près de trois ans. De son côté, ma maman était dépassée et subissait. Nous avons pris le temps d’enregistrer un album aux États-Unis, notre rêve de gosses, qui a été un échec. C’était fini.»

La disparition de Filip

Entre les prises, Stéphane fredonne de vieux rossignols des années 80 («ma passion, j’ai 4.000 vinyles à la maison !») et déjoue les attaques à la laque de sa maquilleuse Nancy. Frank se détend petit à petit.

Dans le parc de la villa Saint-Martin, le duo s’apprête à aborder le drame, la disparition de Filip. Stéphane attire les confidences tout en délicatesse. «Nous nous voyions moins. Nous avions chacun nos vies de famille, nous avions tourné la page. Mais Filip n’acceptait pas d’avoir moins de succès. Il était excessif en tout, en amour, en amitié, en sport, en alcool et médocs… Je le voyais changer d’humeur. J’étais le grand frère. Filip était talentueux, généreux, séducteur, assez susceptible, impulsif et colérique. Il avait des démons que j’ai découverts très tard. Il vivait un passage difficile, la séparation avec sa femme partie avec les enfants, et les rôles qu’il ne parvenait pas à décrocher.»

Lorsqu’il a réalisé que Frank prenait la même voie que lui (la comédie), Filip l’a vu comme un rival. «Il avait du mal à accepter mon choix. Mais les 2 Be 3, cela reste l’expérience de ma vie. Je n’aurais jamais imaginé que cela prenne tant d’ampleur.»

Caroline GESKENS

Mascotte de l’émission, la Fiat blanche est équipée de trois caméras GoPro à l’avant.

Découvrez ci-dessous la bande-annonce des «Orages de la vie» de ce mercredi 8 novembre sur RTL-TVI :

Si Adel Kachermi est retourné à l’anonymat comme responsable d’une conciergerie de luxe, Frank a retrouvé son nom de famille, Delay, et s’est reconverti sur les planches. Quant à Filip Nikolic, il a été retrouvé mort chez lui, en septembre 2009, après avoir pris des somnifères. Il avait 35 ans.

Un tournage décontracté

Tout a commencé à Longjumeau pour les 2 Be 3 où l’équipe soudée des «Orages de la vie» a choisi de retrouver de grand matin Frank, à la cité Les Côteaux. «Voici mon réalisateur fétiche !» Stéphane Pauwels nous présente David Haremza («Steph fait le job», «Mon chien, ce héros», les lives de «The Voice»…) «J’ai couru avec toi l’éboueur. Allez, va te mettre sur tes marques. Après le passage de l’avion, nous démarrons.» Tout l’art est de canaliser l’énergie du bouillonnant et bavard présentateur.

Manipulé par les caméramen Philippe Avanzi et Lucas Ruyssen, le drone offre de magnifiques images et plans larges

Des amis pour la vie

La journaliste Audrey Leunens («Images à l’appui») a préparé le travail en amont, les sujets des séquences, et tourné les témoignages qui apparaissent sur l’iPad que montre Stéphane à son invité. «Je n’ai pas vraiment connu mon père. Ma maman m’a enseigné les bonnes valeurs qui m’ont permis de ne pas toucher le fond quand tout s’est arrêté», raconte Frank (44 ans), papa de deux ados de 15 et 16 ans. «J’ai grandi avec Adel ici. Nous sommes amis depuis le bac à sable. Nous partagions les mêmes hobbies et envies artistiques. Filip venait voir souvent sa sœur qui vivait dans cet appartement et traînait avec nous. Adel a pratiqué le breakdance. J’ai commencé par le judo avant de faire du Vovinam-Viet Vo Dao, un art martial vietnamien, avec Filip.»

Frank donne une leçon de Vovinam-Viet Vo Dao à Stéphane, au gymnase Rigoulot. «Je te préviens, je suis aussi souple qu’une planche à repasser !»

Jean-Philippe de Marchin, alias Bouli, le preneur de son, passe son temps caché du champ. «C’est toute ma vie !», rigole-t-il.

Un tourbillon enivrant

Contrairement aux boys bands créés artificiellement (Alliage, G-Squad…), les 2 Be 3 ont été de vrais amis. «Nous, au début, pour un Coca et un sandwich, nous chantions et dansions dans les boîtes de nuit. Ensuite, nous avons été mieux entourés.»

De gauche à droite, cachés derrière un mur, une paire de policiers, le preneur de son Jean-Philippe de Marchin (Bouli), la journaliste Audrey Leunens, notre journaliste Caroline Geskens, la maquilleuse-laqueuse Nancy Roelens et le réalisateur David Haremza

Dès octobre 1996, leur premier single «Partir un jour» se vend à 450.000 exemplaires. Suivront un premier album, un live et un 2e album en 1998. Les 2 Be 3 entreront même au musée Grévin. «Nous avons géré nous-mêmes le merchandising et négocié les licences. Cela nous a rapporté près de 400.000 francs, les royalties 2 millions de francs comme interprètes. J’ai investi dans l’immobilier. Filip ne se projetait pas dans le futur. Il tuait les cartes bleues. Adel était moins flambeur. Nous avons connu cette folie du succès, des concerts de ville en ville. Ce tourbillon a duré près de trois ans. De son côté, ma maman était dépassée et subissait. Nous avons pris le temps d’enregistrer un album aux États-Unis, notre rêve de gosses, qui a été un échec. C’était fini.»

La disparition de Filip

Entre les prises, Stéphane fredonne de vieux rossignols des années 80 («ma passion, j’ai 4.000 vinyles à la maison !») et déjoue les attaques à la laque de sa maquilleuse Nancy. Frank se détend petit à petit.

Dans le parc de la villa Saint-Martin, le duo s’apprête à aborder le drame, la disparition de Filip. Stéphane attire les confidences tout en délicatesse. «Nous nous voyions moins. Nous avions chacun nos vies de famille, nous avions tourné la page. Mais Filip n’acceptait pas d’avoir moins de succès. Il était excessif en tout, en amour, en amitié, en sport, en alcool et médocs… Je le voyais changer d’humeur. J’étais le grand frère. Filip était talentueux, généreux, séducteur, assez susceptible, impulsif et colérique. Il avait des démons que j’ai découverts très tard. Il vivait un passage difficile, la séparation avec sa femme partie avec les enfants, et les rôles qu’il ne parvenait pas à décrocher.»

Lorsqu’il a réalisé que Frank prenait la même voie que lui (la comédie), Filip l’a vu comme un rival. «Il avait du mal à accepter mon choix. Mais les 2 Be 3, cela reste l’expérience de ma vie. Je n’aurais jamais imaginé que cela prenne tant d’ampleur.»

Caroline GESKENS

Mascotte de l’émission, la Fiat blanche est équipée de trois caméras GoPro à l’avant.

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