Sophie Pendeville : «J’imite Chantal Ladesou»

Sophie Pendeville © RTL Belgium

Après les émissions spéciales sur les humoristes français et belges, RTL-TVI consacre une nouvelle soirée aux imitateurs : «Drôles d’imitateurs», à voir ce dimanche à 19h50 sur RTL-TVI.

Des citations philosophiques de Jean-Claude Van Damme aux mimiques du roi Albert II, en passant par le timbre de voix de Johnny Hallyday, les sources d’inspiration des imitateurs sont infinies. Dimanche soir, Sophie Pendeville vous donne les clefs pour réussir dans ce métier.

Qu’allons-nous découvrir dans «Drôles d’imitateurs» ?

On va revoir toutes les grandes imitations d’hier et d’aujourd’hui, des moments culte avec Fabian Le Castel, Véronic DiCaire et beaucoup d’autres. On va aussi mettre l’accent sur ces nouveaux imitateurs qui arrivent sur le marché et de cet art, qui est un métier à part entière, délicat…

Pour vous, un bon imitateur, c’est…

Quelqu’un qui fait totalement oublier sa propre personnalité. Je pense que c’est ça qui fait qu’on se projette dans l’imagination qu’il propose. Un bon imitateur doit aussi incarner le physique et le charisme de la personne qu’il imite. La gestuelle donne une dimension supplémentaire à la voix.

Êtes-vous une bonne imitatrice ?

(Rires) Je dirais que j’imite une seule personne : Chantal Ladesou. Mais pas très bien. J’avoue avoir une mauvaise oreille pour ce type d’exercice, et puis, il faut apprendre à poser sa voix. Je sais que je ne pourrais pas exceller dans cet art-là.

N’y-a-t-il pas un imitateur caché parmi vos collègues ?

Il y a quelqu’un qui est doué, c’est notre Monsieur Météo, Stephan Van Bellinghen. Je sais aussi que Maria Del Rio aime imiter Chantal Ladesou. Entre nous, on imite surtout nos collègues et c’est toujours amusant. J’aime aussi André Lamy, mais lui c’est plus un caricaturiste vocal. Quand je vois par exemple le roi Albert à la télé, je pense automatiquement à la voix d’André.

Continuez-vous à faire de l’impro ?

Malheureusement non, par manque de temps. Avoir un enfant, ça change la vie. Alors avec un deuxième, je dirais que je n’ai plus de vie. (Rires) J’ai déjà du mal à les déposer à la piscine le samedi matin… Faire de l’impro demande beaucoup d’investissement. Je ne peux donc plus continuer car je ne participe plus aux entraînements. Je garde tout de même un contact avec mes collègues. J’espère y revenir un jour…

Les fêtes approchent à grands pas. À quoi ressemble le sapin de Noël de Sophie Pendeville ?

Cela fait un an que j’en ai un à la maison ! Il ressemble à celui qu’on peut voir dans les familles américaines, avec des boules rouges, vertes et dorées. J’y place de gros nœuds et des guirlandes lumineuses. Ma fille Garance (3 ans) adore cette période. Son petit frère Balthazar (1 an et demi) ne comprend pas encore, mais je vois toujours de l’émerveillement dans ses yeux.

Cet article est paru dans le Télépro du 15/12/2022

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