Sophie Pendeville : «Je suis une chineuse !»
RTL-TVI a une brique dans le ventre avec «Je vends ma maison», un énième magazine, certes 100 % belge, consacré à tout ce qui touche à l’immobilier. À découvrir ce samedi à 18h10.
Avec sa proximité habituelle, la pétillante Sophie Pendeville fait sa rentrée ce samedi 28 novembre avec un nouveau programme qui dévoile trucs et astuces pour mieux vendre un bien. Va-t-elle voler pour autant la casquette de Stéphane Plaza ?
Encore une émission immobilière ? !
(Rires) Nous allons aider les gens à vendre leur habitation au juste prix en leur donnant des conseils pour rafraîchir, réparer et mettre leur bien en valeur. Je suis accompagnée, pour ce faire, par trois agents immobiliers : Christina, Jérémy et Daniel.
L’immobilier a la cote à la télévision, surtout sur RTL avec les émissions françaises de Stéphane Plaza !
C’est vrai. Mais notre émission est surtout axée sur l’humain et l’histoire des propriétaires.
Comment expliquez-vous le succès de l’immobilier ?
Tout le monde n’est pas propriétaire, mais le public aime voir d’autres intérieurs, la manière dont les gens ont décoré, la région où ils vivent. Et savoir pourquoi ils vendent. En ce qui me concerne, je suis fan. Il m’arrive même de faire des recherches pour des amis qui cherchent une maison. C’est passionnant.
Il paraît que vous êtes aussi en plein déménagement…
Oui. Nous quittons notre appartement, qui était une ancienne école, pour une maison à Bruxelles. C’est compliqué car j’ai un intérieur particulier, avec du mobilier personnalisé. Je suis une vraie chineuse. Je fais des kilomètres, en Belgique et en France, pour acheter des meubles. Avant de mettre l’appartement en vente, j’ai dû déblayer un maximum de choses pour que les nouveaux acquéreurs puissent s’y projeter.
Malgré la crise sanitaire, qui touche aussi la publicité à la télévision, RTL-TVI crée encore des émissions…
C’est génial de pouvoir encore réaliser des productions internes comme «Je vends ma maison». C’est toujours intéressant pour les animateurs qui sont tous en demande. Et c’est enrichissant de voir le résultat à la télévision.
Ne trouvez-vous pas que « Belgium Great Again», autre émission que vous aviez en charge en septembre 2019, aurait encore plus de valeur aujourd’hui avec le coronavirus ?
C’est une bonne question. Je reste, quoi qu’il arrive, très fière de cette émission qui n’a pas recueilli l’audience espérée. Je ne regrette rien. Nous avons réalisé un excellent travail. Avec la rediffusion de cet été, nous avons encore eu des retours positifs de téléspectateurs. Cette émission prend tout son sens avec la crise sanitaire.
Cette interview est parue dans le magazine Télépro du 26/11/2020
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