Sidonie Bonnec («Tout le monde a son mot à dire» sur France 2) : «Olivier Minne est un amour !»
Trois ans après sa création, «Tout le monde a son mot à dire», le jeu qui décortique la langue française de façon ludique, va bénéficier d’un prime time, à voir ce samedi à 21h05 sur France 2.
Samedi soir, Olivier Minne et Sidonie Bonnec accueillent deux équipes composées de personnalités. L’animatrice-journaliste de 43 ans nous explique les conditions particulières de l’enregistrement.
Quel est le principe de cette émission spéciale ?
Les candidats anonymes sont remplacés par des célébrités qui peuvent remporter jusqu’à 120.000 € pour des associations. Samedi soir, Fabrice Santoro, Bruno Solo, Églantine Eméyé, Anne Roumanoff, Jonathan Lambert, Samuel Étienne et Cyril Féraud jouent pour l’association Hôpitaux de Paris, Hôpitaux de France. Certaines vedettes sont d’ailleurs rentrées exprès à Paris pour participer.
Comment les mesures sanitaires ont-elles été appliquées ?
Nous avons été doublement attentifs à respecter tous les gestes barrière. Nous avons mis en place un sens unique de circulation et la surface de la table sur le plateau a été rallongée pour que les candidats soient à plus d’un mètre les uns des autres. Le public a été réduit à une vingtaine de personnes. Tout le monde disposait d’un flacon de gel hydroalcoolique. En dehors des gens qui apparaissaient à l’écran, tous portaient des masques. Chacun avait apporté son kit de maquillage et a placé son micro seul. Tous les jours, les filtres de la climatisation ont été changés et le plateau complètement désinfecté. Ces mesures sanitaires nous ont libéré l’esprit.
Avant d’animer ce jeu, connaissiez-vous Olivier Minne ?
Pas du tout, je le connaissais à travers le petit écran. Je l’aimais beaucoup car je le trouvais très classe. Dans la vie, il gagne à être connu. C’est un homme élégant, délicat, gentil. C’est un bon camarade qui a un grand sens de l’humour. C’est un amour de coanimateur, et dès la première émission, notre complicité a été immédiate.
Découvrez la suite de cette interview dans le magazine Télépro du 21/5/2020
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