Sara Martins nous parle de la série inédite «Réunions»
À l’occasion du lancement ce mercredi sur France 2 de «Réunions», qui va suivre les péripéties de deux familles sur l’île de La Réunion, Télépro a rencontré Sara Martins. L’actrice de 42 ans, qui partage l’affiche notamment avec Laëtitia Milot, revient sur l’expérience dépaysante du tournage. Les deux premiers épisodes sont à découvrir dès 21h00.
En plein confinement, nous allons prendre un grand bol d’air !
La chaîne a eu une bonne idée en proposant cette série pendant cette période difficile parce que les paysages de La Réunion sont spectaculaires. Dans la morosité ambiante, prendre le large sous le soleil de ce décor grandiose ne peut que nous faire du bien. Cette série met aussi l’accent sur le vivre ensemble, un sujet qui, en cette période, est plus que jamais d’actualité. Pour l’avoir ressenti, je peux vous dire que La Réunion porte bien son nom ! Sur cette île pluriculturelle, je trouve remarquable que tout le monde vive ensemble en bonne intelligence et de façon paisible.
Vous jouez Victoire, femme aisée, épouse et mère, mais de prime abord centrée sur elle-même. Pourquoi avez-vous eu envie de jouer ce rôle ?
Déjà, ça me changeait des rôles de femme flic ! Dans ma carrière, j’ai souvent mené des enquêtes et j’ai rarement eu l’occasion d’interpréter des scènes conjugales ou familiales. Incarner une adorable peste était vraiment amusant. Toute proportion gardée, Victoire possède un petit côté Eva Longoria plaisant. On pourrait croire qu’elle n’a aucune empathie pour les autres, mais c’est faux. J’aime beaucoup la maman et la compagne qu’elle est.
Comment s’est instaurée votre complicité avec Laëtitia Milot ?
Comme nous sommes toutes les deux jeunes mamans d’enfants à peu près du même âge, parler de notre progéniture et de nos préoccupations maternelles a créé un lien qui nous a aidées à briser la glace. Si nous étions heureuses de retravailler, nous avions aussi en commun ce sentiment de culpabilité à ne pas nous occuper en permanence de nos deux bouts de chou.
Extraits d’une interview parue dans Télépro du 09/04/2020
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