Dans «Il était une fois à Monaco», Medhi (Rayane Bensetti) fonde ses rêves de grandeur et de richesse sur une imposture. À l’occasion de la diffusion du téléfilm, ce dimanche à 20h55 sur La Une, Télépro a rencontré l’acteur et danseur de 27 ans.
Quel souvenir gardez-vous de cette aventure en terre de luxe ?
C’était le kiff à tous points de vue ! J’ai tant aimé donner la réplique à des gens comme Antoine Duléry que le tournage est passé très vite. Et, comme mon personnage, j’ai découvert Monaco. On jouait en semaine, j’avais le week-end pour profiter de l’endroit. C’est bizarre, on peut s’y balader sans craindre de se faire piquer son portable ! C’est le Dubaï français.
Medhi tente sa chance au poker. Étiez-vous familiarisé avec ce jeu ?
Je connaissais vaguement les règles, j’ai appris à jouer avec des cracks, à mémoriser les termes et à manipuler les jetons. J’essaie maintenant de ne pas trop y jouer afin de ne pas devenir addict ! Heureusement, j’ai d’autres passions ! En plus, je suis un très mauvais perdant, je déteste perdre au jeu et dans la vie. Mais ça a été génial de rencontrer de vrais joueurs et des croupiers qui ont plein d’anecdotes sur le milieu.
La fiction reprend le thème irrésistible du prince charmant. Selon vous, qu’est-ce qu’un prince moderne ?
Je pense qu’il n’a pas changé, à part qu’on ne le voit plus se balader à cheval. (Rire) Mais ça reste le gentleman qui en fait un peu trop mais est pardonnable, car il veille sur sa meuf ! Même si c’est de la frime. J’ai adoré porter un beau costard. Medhi n’a de toute façon rien d’un prince charmant. Il sort de sa cité, en a gardé les réflexes et est direct quand il drague Elena (Anne Serra), la réceptionniste, avec des expressions très urbaines. Impossible pour lui de gérer les nouveaux codes. Après ce rôle, je suis devenu schizophrène !
Extrait d’une interview parue dans Télépro du 29/10/2020
