Depuis, la série «La Casa de papel», carton à travers le monde, les acteurs, et notamment Miguel Herrán, alias Rio, enchaîne les projets. Ce dernier est à l’affiche d’un nouveau thriller sous haute tension à voir sur Netflix. Portrait.
Avant de devenir Rio dans la série espagnole à succès «La Casa de papel», Miguel Herrán était un adolescent rebelle. Après cette période difficile, il se tourne vers la comédie et étudie le métier à Madrid. Il se fait repérer dans la rue à seulement 19 ans. Le réalisateur Daniel Guzman lui propose d’incarner le premier rôle du drame «A cambio de nada» (2015) où il incarne Dario, un ado au centre de la séparation de ses parents, qui décide de fuir le foyer. La même année, il remporte le prix Goya du meilleur espoir masculin. Il participe à deux productions avant de se connaître la gloire avec «La Casa de papel».
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Consécration
Son rôle de Rio dans la série phénomène «La Casa de papel» lui permet d’obtenir une notoriété internationale. Depuis, l’acteur se lance dans de nombreux projets cinématographiques comme «Tiempo después» et «Alegría, tristeza, miedo, rabia». En avril 2018, il apparaît dans la nouvelle production espagnole «Elite», disponible elle aussi sur Netflix. Il y retrouve deux collègues María Pedraza et Jaime Lorente, et confirme son statut d’étoile montante. Aujourd’hui, il est à l’affiche du film «Hasta el cielo», une production Vaca Films et disponible sur la plateforme de streaming. Le jeune prodige joue le rôle d’Ángel, qui intègre un groupe de malfaiteurs.
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Enfance
Si aujourd’hui la vie lui sourit, elle ne lui a pas toujours rendu la tâche facile. L’acteur espagnol a vécu une enfance compliquée. Sa mère a dû l’élever seule. Le 13 mars dernier, il dévoilait sur son compte Instagram une photo de lui, enfant, avec une description émouvante.
«C’était l’année 1999… Ma mère était toujours avec moi, elle a pris soin de moi et m’a défendu contre tout. Elle a toujours tout donné pour son fils. C’est une vraie MÈRE. Dont les majuscules sont trop petites pour la décrire… Par contre… mon père n’était jamais là. Je ne sais même pas comment il est physiquement… Je n’ai que le souvenir d’une gifle, d’un jus de tomate et de ce quad», écrit-il.
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