Quentin Mosimann : «B.J. Scott mérite de gagner !» (interview)

Quentin Mosimann : «B.J. Scott mérite de gagner !» (interview)
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Après deux ans d’absence, Quentin Mosimann a signé son grand retour dans «The Voice Belgique» (RTBF). Et ce mardi soir, pour le deuxième volet des duels, le D.J. charmeur s’énerve dans son fauteuil face au duel de Lyssia et Valentine ! Rencontre avant que Quentin ne se casse la clavicule sur les pistes de Courchevel…

Sur le ring de «The Voice Belgique», les duels se suivent et ne se ressemblent pas. Cette phase du télécrochet est particulièrement difficile à vivre pour les coaches qui doivent départager leurs talents…

Êtes-vous heureux de vos duels ?

Il y a de tout ! J’ai choisi aussi bien «Bulletproof» de La Roux, un peu branché mais connu, que «Si c’est bon comme ça» de Sinclair. J’essaie de trouver un juste milieu pop qui est réarrangé à notre sauce. Je ne défends pas mon image, ni ce que je produis et compose. Cela ne pourra pas être diffusé. Mais j’aime beaucoup de choses !

Grâce à «D6bels» (La Deux), vous êtes imparable désormais sur tout ce qui se fait musicalement en Belgique !

Je fais de belles découvertes. C’est fou pour un petit pays ! Je suis suisse allemand et on n’a pas une si prometteuse pépinière. Depuis deux saisons, je montre aussi la production électro. Normal ! (sourire)

Entretien : Caroline Geskens

Elles me choisissent plus facilement que les garçons. Je ne l’explique pas, mais j’ai de super talents. J’ai Olivier Kaye dans mon équipe qu’il faut suivre ! Il est top. Je n’ai que lui. Cela faisait quatre ans qu’Olivier ne dépassait pas l’étape du pré-casting. Il a pris des cours de chant et écouté les conseils du coach vocal. Et cette saison, il a scié tout le monde. Olivier a tout pour lui. J’avais passé à 17 ans le casting de «Nouvelle Star». Je leur en avais voulu de ne pas m’avoir choisi. Après coup, heureusement, je n’étais pas prêt. Deux ans plus tard, j’intégrais la «Star Ac’». Vous connaissez la suite…

Pour le choix du répertoire, vous la jouez pointue ou populaire ?

Il y a de tout ! J’ai choisi aussi bien «Bulletproof» de La Roux, un peu branché mais connu, que «Si c’est bon comme ça» de Sinclair. J’essaie de trouver un juste milieu pop qui est réarrangé à notre sauce. Je ne défends pas mon image, ni ce que je produis et compose. Cela ne pourra pas être diffusé. Mais j’aime beaucoup de choses !

Grâce à «D6bels» (La Deux), vous êtes imparable désormais sur tout ce qui se fait musicalement en Belgique !

Je fais de belles découvertes. C’est fou pour un petit pays ! Je suis suisse allemand et on n’a pas une si prometteuse pépinière. Depuis deux saisons, je montre aussi la production électro. Normal ! (sourire)

Entretien : Caroline Geskens

Non, j’en prends plus encore. J’ai appris de mes erreurs à ma 2e saison. Je me connais, je pèse mes mots, je ne réagis plus de la même façon. Je m’épanouis dans les règles. J’étais parti sur la bonne note. En revenant, je retrouvais Stanislas avec lequel j’ai fait la fête plein de fois en France, et B.J. bien sûr. J’avoue que Marc Pinilla me manque. C’est une teigne, et un super bon artiste ! Pour moi, B.J. mérite de gagner.

Votre équipe comprend beaucoup de filles !

Elles me choisissent plus facilement que les garçons. Je ne l’explique pas, mais j’ai de super talents. J’ai Olivier Kaye dans mon équipe qu’il faut suivre ! Il est top. Je n’ai que lui. Cela faisait quatre ans qu’Olivier ne dépassait pas l’étape du pré-casting. Il a pris des cours de chant et écouté les conseils du coach vocal. Et cette saison, il a scié tout le monde. Olivier a tout pour lui. J’avais passé à 17 ans le casting de «Nouvelle Star». Je leur en avais voulu de ne pas m’avoir choisi. Après coup, heureusement, je n’étais pas prêt. Deux ans plus tard, j’intégrais la «Star Ac’». Vous connaissez la suite…

Pour le choix du répertoire, vous la jouez pointue ou populaire ?

Il y a de tout ! J’ai choisi aussi bien «Bulletproof» de La Roux, un peu branché mais connu, que «Si c’est bon comme ça» de Sinclair. J’essaie de trouver un juste milieu pop qui est réarrangé à notre sauce. Je ne défends pas mon image, ni ce que je produis et compose. Cela ne pourra pas être diffusé. Mais j’aime beaucoup de choses !

Grâce à «D6bels» (La Deux), vous êtes imparable désormais sur tout ce qui se fait musicalement en Belgique !

Je fais de belles découvertes. C’est fou pour un petit pays ! Je suis suisse allemand et on n’a pas une si prometteuse pépinière. Depuis deux saisons, je montre aussi la production électro. Normal ! (sourire)

Entretien : Caroline Geskens

Pas toujours. Bien sûr, je suis conscient que c’est une émission télé. Je joue le jeu. Mais parfois, je râle vraiment sur des prestations que je trouve catastrophique, comme ce soir. Alors, je m’emporte. Il faut apprendre à un talent à se défendre pour la vraie vie.

Prenez-vous autant de plaisir qu’aux deux saisons où vous avez déjà été coach ?

Non, j’en prends plus encore. J’ai appris de mes erreurs à ma 2e saison. Je me connais, je pèse mes mots, je ne réagis plus de la même façon. Je m’épanouis dans les règles. J’étais parti sur la bonne note. En revenant, je retrouvais Stanislas avec lequel j’ai fait la fête plein de fois en France, et B.J. bien sûr. J’avoue que Marc Pinilla me manque. C’est une teigne, et un super bon artiste ! Pour moi, B.J. mérite de gagner.

Votre équipe comprend beaucoup de filles !

Elles me choisissent plus facilement que les garçons. Je ne l’explique pas, mais j’ai de super talents. J’ai Olivier Kaye dans mon équipe qu’il faut suivre ! Il est top. Je n’ai que lui. Cela faisait quatre ans qu’Olivier ne dépassait pas l’étape du pré-casting. Il a pris des cours de chant et écouté les conseils du coach vocal. Et cette saison, il a scié tout le monde. Olivier a tout pour lui. J’avais passé à 17 ans le casting de «Nouvelle Star». Je leur en avais voulu de ne pas m’avoir choisi. Après coup, heureusement, je n’étais pas prêt. Deux ans plus tard, j’intégrais la «Star Ac’». Vous connaissez la suite…

Pour le choix du répertoire, vous la jouez pointue ou populaire ?

Il y a de tout ! J’ai choisi aussi bien «Bulletproof» de La Roux, un peu branché mais connu, que «Si c’est bon comme ça» de Sinclair. J’essaie de trouver un juste milieu pop qui est réarrangé à notre sauce. Je ne défends pas mon image, ni ce que je produis et compose. Cela ne pourra pas être diffusé. Mais j’aime beaucoup de choses !

Grâce à «D6bels» (La Deux), vous êtes imparable désormais sur tout ce qui se fait musicalement en Belgique !

Je fais de belles découvertes. C’est fou pour un petit pays ! Je suis suisse allemand et on n’a pas une si prometteuse pépinière. Depuis deux saisons, je montre aussi la production électro. Normal ! (sourire)

Entretien : Caroline Geskens

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