Pour son premier «Reporters» (RTL-TVI), Michaël Miraglia enquête sur les «kamikazes» de la cause animale

Pour son premier «Reporters» (RTL-TVI), Michaël Miraglia enquête sur les «kamikazes» de la cause animale
Julien Vandevenne
Julien Vandevenne Rédacteur en chef adjoint

Ce vendredi 6 janvier à 19h45, l’ex-animateur de «De quoi j’me mêle!» entame une nouvelle étape de sa carrière avec un sujet qui nous concerne toutes et tous.

C’était l’une des surprises d’avant-fêtes : Michaël Miraglia succède dès ce mois de janvier à Charles Neuforge à la barre de «Reporters», le magazine d’investigation du vendredi soir sur RTL-TVI.

Objectif : redynamiser l’un des rendez-vous phares de l’information sur la chaîne privée.

Pour rester dans l’esprit des réveillons et autres agapes de saison, Michaël Miraglia fera ses débuts avec un sujet consacré aux kamikazes de la cause animale.

Voici le résumé qui vient de nous être transmis par la chaîne :

«Foie gras, émincé de volaille, steak de thon, ont trouvé bonne place dans les menus de réveillons ! Et ce, malgré les kamikazes de la cause animale.  Grâce à leurs opérations coup de poing, de nombreux abattoirs et élevages en batterie ont été fermés pour mauvais traitements infligés aux animaux. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs méthodes ? Sont-ils prêts à tout pour le bien-être animal ?

Enquêtes, infiltrations, caméras cachées, révélations chocs (presse et réseaux sociaux)… Ces nouveaux combattants de la cause animale ont le vent en poupe.

Michael Miraglia vous propose une rencontre avec Michel Vandenbosch, le charismatique fondateur et président de Gaia. L’association fête ses 25 ans, en 2017, mais elle n’est pas prête à arrêter ses combats (interdiction du gavage des oies pour le foie gras, stérilisation des chats en Wallonie…). Coup de projecteur également sur L214 et Sea Sheperd, deux associations emblématiques de ce nouveau mouvement, qui, surtout ces derniers mois, ont alerté l’opinion sur certaines des dérives de l’industrie alimentaire. Pendant six mois, nous avons pu suivre leur quotidien et comprendre leurs motivations et leurs techniques de travail.»

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