Ce mardi 1er novembre à 20h30, RTL-TVI propose la fiction «Le Saut du diable 2 : le sentier des loups», avec Philippe Bas. Rencontre avec l’acteur.
Dans cette fiction, il y a un très gros rythme. Dès le début, on y découvre de l’action. Est-ce une volonté de votre part de commencer très fort pour captiver le téléspectateur ?
Il faut que l’histoire soit simple mais que les personnages soient complexes. On mise sur une scène d’ouverture pour avoir les enjeux et cerner les personnages. On se dit que cela promet pour la suite.
Il y a une scène de nu dès le départ du téléfilm. Est-ce que ça a été compliqué de la tourner ?
Avec le réalisateur, on voulait raconter une sorte de western moderne. On a tourné dans des endroits merveilleux, il fallait que mon personnage soit libre. On voulait un personnage en pleine nature. Mon personnage fait du sport avec ce qu’il trouve sur place, il n’a pas grand-chose mais il n’a besoin de rien d’autre. Il a quand même une hygiène, donc il se lave. Il n’a pas la volonté de faire du nu pour faire du nu.
Votre personnage de Paul Vilar vous ressemble-t-il dans la vraie vie ?
C’est moi qui l’incarne donc on retrouve des similitudes. Mon personnage me ressemble car je ferais peut-être la même chose si j’étais à sa place.
Sara Mortensen joue avec vous dans « Le Saut du diable 2 : le sentier des loups ». Elle nous a confié que vous vous étiez blessé au début du tournage. Pouvez-vous nous raconter ce début de tournage ?
J’étais en forme pour le film. Avant, j’ai fait du renforcement musculaire pour faire un beau tournage. Le premier jour, je me suis fait mal à la cheville mais ça tenait. Je me suis reblessé en courant car je ne m’étirais pas assez. Dans le film, je cours tout le temps et assez vite, je ne savais plus courir correctement. Mais ça ne se voit pas.
Quels sont vos autres projets ?
On aimerait continuer avec «Le Saut du diable», on devrait faire le 3 et le 4. On va en faire deux l’année prochaine.
Ses tatouages, les cascades, sa vie privée… Découvrez l’interview en intégralité :
