«On n’est pas des pigeons !» déballe tout pour les fêtes !

«On n’est pas des pigeons !» déballe tout pour les fêtes !
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Ce samedi, l’équipe de la RTBF était sur le marché de Noël de Namur pour faire tester des produits festifs, pour le plus grand plaisir des passants.

C’est une première. Le plateau d’«On n’est pas des pigeons !» s’est délocalisé sur la Village de Noël de Namur (Place du Théâtre), dans la maison… du Père Noël ! Tout au long de la journée de samedi, quelques chroniqueurs ont demandé aux visiteurs du marché de tester quelques produits.

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Dès le matin, c’est Julie Compagnon est allée à la rencontre des téléspectateurs, pour tenter de départager des petits cadeaux que l’on s’offre à Noël. Viennent-ils d’Asie ou d’un petit artisan ? Les mauvaises langues diront que chaque année, c’est la même chose. Et elles ont raison ! «On réfléchit tous les ans à ce qu’on pourrait faire, notamment pour la période des fêtes, et ce sont les téléspectateurs qui nous demandent de faire ce genre de comparaison pour les aider», explique le producteur, Xavier Guillitte.

En attendant son tour, Annie Allard sympathise avec le public. «C’est marrant de rencontrer des fans de l’émission», se réjouit Madame Justice d’«On n’est pas des pigeons !». «Les gens me demandent parfois des conseils ou mon adresse mail. On devrait faire un chalet aussi pour des consultations juridiques, ça marcherait bien !».

Pas de séquence liées au Droit pour Maître Allard, mais de la dégustation de vin et de champagne, en compagnie du journaliste Jean-Christophe Willems. Pendant que Carlo termine ses séquences, la chroniqueuse relève un défi «Brûlage de culotte», avec un futur marié : une partie de badminton en plein marché de Noël. L’ambiance était au rendez-vous, dedans comme dehors, pour cette première sortie des «Pigeons».

Pierre Bertinchamps

«Dans un centre commercial, les tests grandeur nature se font plus à la chaîne. Les gens passent et on les arrête. Ici, on crée toute une atmosphère, on vit l’expérience avec le public. On a le temps de rigoler avec eux, et de faire un petit débriefing. C’est plus personnalisé», décrit Xavier Guillitte.

L’idée est de réitérer l’opération quatre fois sur une saison, en changeant évidemment d’endroit. «Le potentiel est là !» Le problème sera de trouver un «chouette» endroit pour toucher le public. «On pourrait imaginer un salon comme Batibouw, et faire toute une thématique autour… Tout est possible.»

Les cinq séquences seront diffusées du 12 au 16 décembre. Au départ, prévues pour un format de 4 minutes 30, le public est tellement bon client que l’on va sûrement les allonger. «On délocalise le plateau, autant l’assumer à fond», conclut Xavier Guillitte.

En attendant son tour, Annie Allard sympathise avec le public. «C’est marrant de rencontrer des fans de l’émission», se réjouit Madame Justice d’«On n’est pas des pigeons !». «Les gens me demandent parfois des conseils ou mon adresse mail. On devrait faire un chalet aussi pour des consultations juridiques, ça marcherait bien !».

Pas de séquence liées au Droit pour Maître Allard, mais de la dégustation de vin et de champagne, en compagnie du journaliste Jean-Christophe Willems. Pendant que Carlo termine ses séquences, la chroniqueuse relève un défi «Brûlage de culotte», avec un futur marié : une partie de badminton en plein marché de Noël. L’ambiance était au rendez-vous, dedans comme dehors, pour cette première sortie des «Pigeons».

Pierre Bertinchamps

À la sortie d’une séquence de dégustation de foie gras, Françoise de Tournai (de passage dans sa famille à Namur), donne ses première impressions : «On arrive, et on se fait engager pour goûter du foie gras, ce n’est pas désagréable !», sourit-elle. « Il y avait 5 choix que l’on goûte très vite… on se fie beaucoup au visuel. Le plus foncé est le foie gras du producteur local. Les autres nous sont parus meilleurs et c’est celui d’une grande surface qu’on a préféré tous les trois.» Et de conclure : «C’est sympa de les voir et d’échanger avec eux en direct. Bonne initiative.»

Les gens venaient aussi pour prendre des photos et faire des dédicaces. «Nous sommes limités pour chaque séquence, et selon le test.». Les tournages auront réuni une soixantaine de passants sur toute la journée, sans compter les petits bains de foule des chroniqueurs présents.

«Dans un centre commercial, les tests grandeur nature se font plus à la chaîne. Les gens passent et on les arrête. Ici, on crée toute une atmosphère, on vit l’expérience avec le public. On a le temps de rigoler avec eux, et de faire un petit débriefing. C’est plus personnalisé», décrit Xavier Guillitte.

L’idée est de réitérer l’opération quatre fois sur une saison, en changeant évidemment d’endroit. «Le potentiel est là !» Le problème sera de trouver un «chouette» endroit pour toucher le public. «On pourrait imaginer un salon comme Batibouw, et faire toute une thématique autour… Tout est possible.»

Les cinq séquences seront diffusées du 12 au 16 décembre. Au départ, prévues pour un format de 4 minutes 30, le public est tellement bon client que l’on va sûrement les allonger. «On délocalise le plateau, autant l’assumer à fond», conclut Xavier Guillitte.

En attendant son tour, Annie Allard sympathise avec le public. «C’est marrant de rencontrer des fans de l’émission», se réjouit Madame Justice d’«On n’est pas des pigeons !». «Les gens me demandent parfois des conseils ou mon adresse mail. On devrait faire un chalet aussi pour des consultations juridiques, ça marcherait bien !».

Pas de séquence liées au Droit pour Maître Allard, mais de la dégustation de vin et de champagne, en compagnie du journaliste Jean-Christophe Willems. Pendant que Carlo termine ses séquences, la chroniqueuse relève un défi «Brûlage de culotte», avec un futur marié : une partie de badminton en plein marché de Noël. L’ambiance était au rendez-vous, dedans comme dehors, pour cette première sortie des «Pigeons».

Pierre Bertinchamps

L’après-midi, Carlo de Pascale a surpris les volontaires namurois en leur demandant de choisir quel est le meilleur saumon fumé ou le foie gras qu’ils préfèrent. Comme à chaque fois, il y a un premier prix, une grande marque et un produit artisanal. «Si les testeurs préfèrent le saumon de l’Aldi, ce qui a souvent été le cas, il n’y a pas de raisons que ce soit un mauvais choix. S’ils le préfèrent et que c’est moins cher pour eux. C’est tant mieux !», ajoute le producteur. «Ce qu’on leur donne en plus, ce sont des clefs de lectures. Certains ont moins aimé les produits artisanaux, il n’y a pas de soucis. Le but n’est pas d’être moralisateur, mais de tester et de savoir lire les étiquettes.»

Le test montre, par exemple, que les maître-achats de l’année passée ne sont plus ceux de 2016. De là à dire que les industriels ont fait des efforts, c’est aller un peu vite. «C’est parfois simplement un changement de fournisseur», confie la production de l’émission.

À la sortie d’une séquence de dégustation de foie gras, Françoise de Tournai (de passage dans sa famille à Namur), donne ses première impressions : «On arrive, et on se fait engager pour goûter du foie gras, ce n’est pas désagréable !», sourit-elle. « Il y avait 5 choix que l’on goûte très vite… on se fie beaucoup au visuel. Le plus foncé est le foie gras du producteur local. Les autres nous sont parus meilleurs et c’est celui d’une grande surface qu’on a préféré tous les trois.» Et de conclure : «C’est sympa de les voir et d’échanger avec eux en direct. Bonne initiative.»

Les gens venaient aussi pour prendre des photos et faire des dédicaces. «Nous sommes limités pour chaque séquence, et selon le test.». Les tournages auront réuni une soixantaine de passants sur toute la journée, sans compter les petits bains de foule des chroniqueurs présents.

«Dans un centre commercial, les tests grandeur nature se font plus à la chaîne. Les gens passent et on les arrête. Ici, on crée toute une atmosphère, on vit l’expérience avec le public. On a le temps de rigoler avec eux, et de faire un petit débriefing. C’est plus personnalisé», décrit Xavier Guillitte.

L’idée est de réitérer l’opération quatre fois sur une saison, en changeant évidemment d’endroit. «Le potentiel est là !» Le problème sera de trouver un «chouette» endroit pour toucher le public. «On pourrait imaginer un salon comme Batibouw, et faire toute une thématique autour… Tout est possible.»

Les cinq séquences seront diffusées du 12 au 16 décembre. Au départ, prévues pour un format de 4 minutes 30, le public est tellement bon client que l’on va sûrement les allonger. «On délocalise le plateau, autant l’assumer à fond», conclut Xavier Guillitte.

En attendant son tour, Annie Allard sympathise avec le public. «C’est marrant de rencontrer des fans de l’émission», se réjouit Madame Justice d’«On n’est pas des pigeons !». «Les gens me demandent parfois des conseils ou mon adresse mail. On devrait faire un chalet aussi pour des consultations juridiques, ça marcherait bien !».

Pas de séquence liées au Droit pour Maître Allard, mais de la dégustation de vin et de champagne, en compagnie du journaliste Jean-Christophe Willems. Pendant que Carlo termine ses séquences, la chroniqueuse relève un défi «Brûlage de culotte», avec un futur marié : une partie de badminton en plein marché de Noël. L’ambiance était au rendez-vous, dedans comme dehors, pour cette première sortie des «Pigeons».

Pierre Bertinchamps

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