Olivier Kaye : «Avec The Voice, j’ai pu me faire un nom !» (interview)

Olivier Kaye : «Avec The Voice, j’ai pu me faire un nom !» (interview)
Pierre Bertinchamps
Pierre Bertinchamps Journaliste

Le chanteur n’est pas passé loin de la victoire dans «The Voice Belgique 5». Mais finalement, il ne regrette rien de son parcours. Rencontre.

Il y a un an, Olivier Kaye était sur la dernière ligne droite de «The Voice Belgique», mais c’est Laura Cartesiani qui a remporté le talentshow. Le Liégeois ne regrette pourtant pas son aventure. En un an, il n’a pas chômé dans le milieu musical. Et Olivier ne compte pas s’arrêter en si bon chemin…

Que devenez-vous ?

J’ai eu quelques propositions après «The Voice» notamment de la RTBF pour faire l’Eurovision. Ensuite, j’ai remplacé un chanteur dans la comédie musicale «EnChanté». De là, j’ai été retenu pour participer à d’autres spectacles musicaux. Et en début d’année, j’ai fait un single avec le duo Stepanov & Bougini, «Imagine». Là, je rentre justement de Casablanca où nous avons fait trois représentations de «Hercule». C’est une aventure humaine géniale que je n’oublierai pas. Je deviens ce que j’ai toujours voulu, c’est à dire un artiste !

Vous regardez toujours «The Voice Belgique» ?

Oui, très attentivement même ! Deux de mes amis y sont, cette saison (Valentine Colinet et Pierre Deneuville, NDLR). Je suis l’émission avec le même intérêt que les premières saisons, avant d’être sélectionné.

Vous avez d’autres projets ?

Poursuivre les cours pour devenir coach vocal. Mon véritable projet, ce serait de réussir dans la vie en faisant ce que j’aime. Tout simplement.

Entretien : Pierre Bertinchamps

C’est facile d’annoncer un tel changement à ses parents ?

Oui, parce qu’un an avant j’avais démarré d’autres études, et ça avait été difficile de leur dire que je n’étais pas sur la bonne voie. Et en fait, ils avaient été très compréhensifs. Avec «The Voice», ils ont ressenti la joie que j’éprouvais. Mes parents me soutiennent, et ils ne demandent pas de faire autre chose de «sérieux».

Vous imaginiez tout ça, il y a un an et demi quand vous avez fait les «Blinds» ?

Déjà être finaliste de «The Voice», c’était un petit choc. J’avais fait les castings des quatre saisons précédentes et j’étais toujours recalé aux présélections. Et pourquoi cette année-ci, et pas celle d’avant ? Tout ce qui s’est passé après, c’est fort ! On a pensé à moi pour l’Eurovision, ce n’est quand même pas rien. La comédie musicale, c’est pareil… Je n’avais aucune idée de ce qui pouvait m’arriver.

Vous regardez toujours «The Voice Belgique» ?

Oui, très attentivement même ! Deux de mes amis y sont, cette saison (Valentine Colinet et Pierre Deneuville, NDLR). Je suis l’émission avec le même intérêt que les premières saisons, avant d’être sélectionné.

Vous avez d’autres projets ?

Poursuivre les cours pour devenir coach vocal. Mon véritable projet, ce serait de réussir dans la vie en faisant ce que j’aime. Tout simplement.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Vous suivez réellement des cours ?

L’idée est d’avoir une formation musicale complète. À l’IMEP, nous avons des cours de solfège, de diction, de chant… C’est plutôt axé sur la technique. Je ne chante pas trop mal, sinon je ne serais pas allé aussi loin dans la compétition, mais je manque de technique vocale pour tenir sur du long terme. Dans son cours, Nicolas Dorian, par exemple, nous aide à trouver les bons mécanismes au niveau des cordes vocales, de la posture ou dans la respiration. Pour pouvoir tenir durant tout un concert, et aussi perdurer pendant des années.

Vous avez changé de voie ?

Au départ, je faisais un régendat en français. Et lors des «Blinds», je me suis demandé ce que je voulais faire de ma vie. C’est la chanson que j’aime, et je m’y sens vraiment comme un poisson dans l’eau… Au fil de l’aventure, Nicolas Dorian m’a parlé de l’école, et j’ai passé l’examen d’entrée.

C’est facile d’annoncer un tel changement à ses parents ?

Oui, parce qu’un an avant j’avais démarré d’autres études, et ça avait été difficile de leur dire que je n’étais pas sur la bonne voie. Et en fait, ils avaient été très compréhensifs. Avec «The Voice», ils ont ressenti la joie que j’éprouvais. Mes parents me soutiennent, et ils ne demandent pas de faire autre chose de «sérieux».

Vous imaginiez tout ça, il y a un an et demi quand vous avez fait les «Blinds» ?

Déjà être finaliste de «The Voice», c’était un petit choc. J’avais fait les castings des quatre saisons précédentes et j’étais toujours recalé aux présélections. Et pourquoi cette année-ci, et pas celle d’avant ? Tout ce qui s’est passé après, c’est fort ! On a pensé à moi pour l’Eurovision, ce n’est quand même pas rien. La comédie musicale, c’est pareil… Je n’avais aucune idée de ce qui pouvait m’arriver.

Vous regardez toujours «The Voice Belgique» ?

Oui, très attentivement même ! Deux de mes amis y sont, cette saison (Valentine Colinet et Pierre Deneuville, NDLR). Je suis l’émission avec le même intérêt que les premières saisons, avant d’être sélectionné.

Vous avez d’autres projets ?

Poursuivre les cours pour devenir coach vocal. Mon véritable projet, ce serait de réussir dans la vie en faisant ce que j’aime. Tout simplement.

Entretien : Pierre Bertinchamps

Participer à un single, ce n’est pas rien…

Stepanov & Bougini cherchaient des voix pour plusieurs projets, et à l’IMEP (à Namur), ils sont venus voir ce qui était intéressant dans le classe de chant pop où j’étais. On a travaillé ensemble. 

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Tout cela ne serait pas arrivé sans «The Voice Belgique» ?

Au niveau chant, pas spécialement, par contre, participer à l’émission m’a apporté la visibilité qu’il fallait. Je ne pense pas que j’aurais fait la comédie musicale ou que j’aurais été appelé pour l’Eurovision. C’est clair. C’est grâce à l’émission que j’ai pu me faire un nom !

La sélection pour l’Eurovision, c’est un bon souvenir ?

J’étais en compétition avec Pierre Lizée, et finalement ce n’est aucun des deux qui a été pris. Ça m’a permis de travailler avec des personnalités comme Alexander Rybak (gagnant de l’Eurovision 2009, NDLR), Quentin Mosimann ou Puggy.

Vous êtes déçu de ne pas aller à Kiev ?

Bien sûr, j’ai pensé un peu à moi à un moment donné. (rires) J’avais bossé pendant deux mois sur de chouettes projets qu’on a proposés à la RTBF. Dire le contraire, ce serait hypocrite. J’ai pris du recul, et je vis d’autres aventures. L’Eurovision m’aurait peut-être privé d’autres choses. Je ne suivrais pas de cours de chant en ce moment, par exemple, parce que le préparation est énorme, etc…  Blanche est une amie, et je suis très content pour elle. Et puis, qui sait… si ce n’est pas cette année, ce sera peut-être dans deux ans ! Aujourd’hui, je prends les choses comme elles viennent. Ce qui ne se fait pas, ne devait pas se faire. Ce n’était pas le bon moment !

Les chansons qu’on vous a proposées vont sortir ?

Je ne sais pas. Il y a des projets super intéressants, notamment le titre de Quentin Mosimann qui me tient à cœur.

Vous suivez réellement des cours ?

L’idée est d’avoir une formation musicale complète. À l’IMEP, nous avons des cours de solfège, de diction, de chant… C’est plutôt axé sur la technique. Je ne chante pas trop mal, sinon je ne serais pas allé aussi loin dans la compétition, mais je manque de technique vocale pour tenir sur du long terme. Dans son cours, Nicolas Dorian, par exemple, nous aide à trouver les bons mécanismes au niveau des cordes vocales, de la posture ou dans la respiration. Pour pouvoir tenir durant tout un concert, et aussi perdurer pendant des années.

Vous avez changé de voie ?

Au départ, je faisais un régendat en français. Et lors des «Blinds», je me suis demandé ce que je voulais faire de ma vie. C’est la chanson que j’aime, et je m’y sens vraiment comme un poisson dans l’eau… Au fil de l’aventure, Nicolas Dorian m’a parlé de l’école, et j’ai passé l’examen d’entrée.

C’est facile d’annoncer un tel changement à ses parents ?

Oui, parce qu’un an avant j’avais démarré d’autres études, et ça avait été difficile de leur dire que je n’étais pas sur la bonne voie. Et en fait, ils avaient été très compréhensifs. Avec «The Voice», ils ont ressenti la joie que j’éprouvais. Mes parents me soutiennent, et ils ne demandent pas de faire autre chose de «sérieux».

Vous imaginiez tout ça, il y a un an et demi quand vous avez fait les «Blinds» ?

Déjà être finaliste de «The Voice», c’était un petit choc. J’avais fait les castings des quatre saisons précédentes et j’étais toujours recalé aux présélections. Et pourquoi cette année-ci, et pas celle d’avant ? Tout ce qui s’est passé après, c’est fort ! On a pensé à moi pour l’Eurovision, ce n’est quand même pas rien. La comédie musicale, c’est pareil… Je n’avais aucune idée de ce qui pouvait m’arriver.

Vous regardez toujours «The Voice Belgique» ?

Oui, très attentivement même ! Deux de mes amis y sont, cette saison (Valentine Colinet et Pierre Deneuville, NDLR). Je suis l’émission avec le même intérêt que les premières saisons, avant d’être sélectionné.

Vous avez d’autres projets ?

Poursuivre les cours pour devenir coach vocal. Mon véritable projet, ce serait de réussir dans la vie en faisant ce que j’aime. Tout simplement.

Entretien : Pierre Bertinchamps

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