Nouvelle configuration pour le cube de verre lors de la 10e édition de «Viva for Life» !
L’opération de lutte contre la pauvreté infantile de la RTBF, «Viva for Life», installera pour sa 10e édition son cube de verre à Bertrix, du 17 au 23 décembre. Pour l’occasion, un nouveau studio de verre, où la scène créera une unité avec le cube, sera déployé sur la place des Trois Fers de la ville luxembourgeoise, a fait savoir jeudi le service public au cours d’une conférence de presse.
Le même trio d’animateurs (Sara De Paduwa, Ophélie Fontana et Marco Leulier) que l’an dernier rempile cette année et assurera au total 144 heures de direct radio durant six jours et six nuits pour œuvrer à récolter un maximum de dons pour l’enfance défavorisée. Ils seront enfermés dans le cube par Yannick Noah lors du lancement de l’opération le 17 décembre prochain.
« Pour cette dixième édition, le cube de verre devient le lieu central de la place », explique la RTBF. « La scène ne sera plus à côté mais au-dessus du studio de verre. De cette façon, l’ensemble des regards se tourneront vers ce bloc unifié, permettant une réelle proximité entre le public, les animateurs, les artistes et autres invités. »
Au rez-de-chaussée, seront situées le studio radio, l’espace dédié aux dons, l’espace défis des animateurs et le confessionnal pour récolter les témoignages des ambassadeurs.
À l’étage, se trouveront les chambres des animateurs et leur espace de repos au côté de la scène de Viva for Life.
Lancé en 2013 à l’occasion des 10 ans de VivaCité, l’événement a permis depuis son lancement de soutenir 924 projets au sein d’associations actives dans le secteur de la petite enfance et de la pauvreté en Belgique francophone. « La répartition des projets traverse l’ensemble du territoire de la FWB (32% en Région Bruxelles-Capitale, 25% dans le Hainaut, 20% en province de Liège, 10% à Namur, 7% au Brabant wallon et 6% au Luxembourg). Deux tiers des financements s’adressent aux enfants de 0 à 3 ans », souligne la RTBF.
Parmi les personnes dans le besoin, « les familles monoparentales représentent un public particulièrement fragilisé: entre 30 et 35% d’entre elles se trouvent en situation de pauvreté monétaire à Bruxelles et en Wallonie », précise encore la RTBF.
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