Ronchon devant ses sardines, sous le soleil de Saint-Tropez (argh !), Maximilien Dienst de Hotton a sublimé son produit tandis que Julien Wauthier de Jambes a tiré son épingle du jeu, en dernière chance, grâce à une déclinaison de choux…
Et Carl, le gagnant d’«Objectif Top Chef», a rangé ses couteaux.
Le top : le parler «Top Chef»
À force de regarder «Top Chef», comme vous, j’ai vu défiler les produits (chorizo, panais, l’agar-agar…) et plats (ah le cromesquis !) à la mode, sans oublier les petites fleurs comestibles que certains candidats nous mettaient un peu partout.
Mais le parler «Top Chef», vous n’y échappez pas non plus. Je me suis prise au jeu et je suis partie sur un divin plat de boulettes sauce tomate. Je lui avais apporté de la fraîcheur grâce au basilic et des saveurs différentes grâce à un méli-mélo d’épices. Une fois fini, j’ai levé les mains !
Bon, au bout de 47 minutes, c’était chaud patate. Mon plat racontait une histoire belge quand même. Du mari ou du fils, il y en a bien un qui estimerait que je l’ai bien revisité ce monument. Pensez ! Les boulettes ont fini écrasées tout de suite avec le riz. No comment.
Le flop : les commentaires en off
C’est déjà la 3e saison que les chefs sont appelés à commenter en voix off les épreuves. Et je continue d’être agacée par ce côté feuilletonnant, ce côté «je te prends par la main et je t’explique encore une 2e fois, voire une 3e».
Autant, je trouve que la production se renouvelle sur les épreuves et nous déniche au casting plein de personnalités différentes. Autant, cela me gave qu’Hélène Darroze me signale que Maximilien «n’a pas l’air dans son élément» alors que je l’ai bien vu tirer auparavant une drôle de tête devant ses sardines.
Too much, et cela donne un peu d’acidité, même s’il y a du travail engagé…
À la semaine prochaine.
Caroline Geskens
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