Traqué par le FBI et un cartel de la drogue, la famille Byrde trouve refuge dans son chalet montagnard.
Un père de famille trop tranquille. Un cartel de la drogue. Une famille menacée.
Au premier coup d’œil, la nouvelle série de Netflix «Ozark» et «Breaking Bad» partagent de nombreux points communs.
Si les données initiales de l’équation sont identiques, le résultat final est heureusement sensiblement différent, comme le prouve la première saison de dix épisodes récemment libérée sur la plate-forme de streaming.
Habitué des comédies, Jason Bateman («Arrested Development») excelle dans le rôle de Marty Byrde, ce conseiller financier de Chicago qui blanchit discrètement l’argent de trafiquants mexicains.
Tout bascule lorsque ses sulfureux partenaires abattent son associé et menacent sa famille.
Les Byrde se réfugient dans leur chalet des monts Ozarks, dans le Missouri.
Harcelé par le FBI et les narcotrafiquants à qui il a promis monts et merveilles pour sauver sa peau, Marty est acculé et reçoit l’aide inattendue de son épouse Wendy (Laura Linney).
Plus direct, moins torturé que «Breaking Bad», «Ozark» s’impose comme une série musclée et riche en rebondissements.
Georges Lekeu
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