Nos coups de cœur Netflix du mois de mars 2024

Films, séries, téléréalités… Ce mois de mars a été riche en nouveautés coups de poing sur Netflix. Voici notre sélection…

100% physique (téléréalité)

Pitch : Cent candidats, dont les corps sont tous avantageux, s’affrontent dans une série de défis extrêmes mettant à l’épreuve leur force, leur agilité et leur vitesse. Un seul sera sacré vainqueur et remportera trois cents millions de wons.

Notre avis : Pour sa seconde saison, la téléréalité repousse les limites du corps humain en mettant à l’épreuve des hommes et des femmes aux corps parfaits. Rugbyman, champion de bras de fer, cascadeur, arboriculteur, présentateur télé… le casting regroupe un panel hétéroclite de disciplines et de métiers. Une seule chose les anime : relever tous les défis.

The Signal (minisérie)

Pitch : À bord de la Station spatiale internationale, Paula (Peri Baumeister) fait une incroyable découverte. Lors de son vol de retour, son avion s’évapore dans la nature. Sa disparition plonge sa famille dans une quête effrénée de réponses, alors qu’une menace pèse sur elle.

Notre avis : Bourrée de mystères, cette minisérie dramatique allemande est un puzzle fascinant à résoudre. L’épopée spatiale n’est qu’une toile de fond pour un événement tragique vécu par une famille en deuil. Les personnages sont attachants, ce qui rend l’histoire encore plus touchante et réaliste.

Supersex (série)

Pitch : De son enfance à Ortora, à ses débuts à Paris, jusqu’à son ascension internationale, son parcours personnel et professionnel, comment Rocco Siffredi (Alessandra Borghi) est-il devenu cette star emblématique du cinéma X ?

Notre avis : Inspirée par la vie rocambolesque de Rocco Siffredi, cette série s’aventure également dans la fiction. Alessandro Borghi est taillé sur mesure pour interpréter le roi du porno. De ses faiblesses psychologiques, à ses motivations de pouvoir, en passant par la fluidité de sa sexualité, tout y est décrypté. Évidemment, la série est bourrée de scènes de sexe et ne peut être vue par tous.

Oppenheimer (film)

Pitch : 1942. Convaincus que l’Allemagne nazie développe une arme nucléaire, les États-Unis initient, dans le plus grand secret, le «Projet Manhattan». Pour piloter le dispositif, le gouvernement engage le brillant physicien J. Robert Oppenheimer (Cillian Murphy). Dans le laboratoire de Los Alamos, le scientifique et son équipe mettent au point une arme révolutionnaire : la bombe atomique.

Notre avis : Christopher Nolan raconte le destin du père de la bombe atomique dans un portrait intimiste et percutant. Que ce soit la forme ou le fond, tout est orchestré avec minutie. Cillian Murphy joue à merveille les ambivalences d’Oppenheimer. Du grand spectacle !

Je m’appelle Loh Kiwan (film)

Pitch : Après avoir fui la Corée du Nord, Lo Kiwan (Joong-ki Song) s’installe en Chine avec sa mère. Mais quand celle-ci décède, il a l’opportunité de quitter l’Asie pour la Belgique. Arrivé sur place, les dures lois de l’immigration lui barrent la route. Il trouve l’espoir en Ma Ri (Sung-eun Choi), une jeune femme qui lui a piqué son portefeuille, dernier souvenir de sa défunte mère.

Notre avis : Ce drame social sud-coréen ne laissera personne indifférent. Si le scénario manque parfois de subtilité, il prend aux tripes. Trafic de drogues, paris dangereux, usines clandestines, le film s’aventure dans les bas-fonds de Bruxelles. Joong-ki Song interprète avec émotion ce jeune immigré à l’histoire tragique. Bouleversant !

Spaceman (film)

Pitch : Depuis six mois, Jakub (Adam Sandler) se trouve dans l’espace, à la conquête de Jupiter. Son état psychologique est au plus mal. Il se crée alors un ami imaginaire.

Notre avis : Claustrophobe ? Abstenez-vous de regarder ce film dramatique ! Adapté de «L’Astronaute en bohème», ce huis clos met en scène un Adam Sandler étonnamment bouleversant. S’il est habitué des comédies, il joue ici un astronaute en proie à la solitude. Les effets spéciaux sont de qualité et permettent une véritable immersion dans le quotidien de l’homme de l’espace. Une belle surprise !

En verre et contre tous (téléréalité)

Pitch : Dans cette compétition artistique, dix souffleurs de verre aux styles différents s’affrontent sur une série d’épreuves pour remporter un prix d’une valeur de cent mille dollars.

Notre avis : Quel plaisir de découvrir l’envers du décor de cet art atypique et imprévisible. Les compétiteurs sont acharnés et prêts à tout pour gagner la compétition. Ils rendent aussi hommage à leur métier en créant des œuvres originales et démesurées. Audace, technique, créativité sont au programme.

Furies (série)

Pitch : Six mafias parisiennes se battent pour le business de la capitale. Quand l’un d’eux est assassiné, une guerre éclate. Nira (Lina El Arabi), qui a vu son père mourir sous ses yeux, se lance à la poursuite de son meurtrier : la Furie.

Notre avis : Ce thriller français, à l’esthétique soignée, fait la part belle aux personnages féminins au caractère bien trempés. Si de nombreux clichés brouillent le récit, il ne manque pas d’action et de rebondissements. Un bon divertissement.

The Gentlemen (série)

Pitch : Quand Eddie Horniman (Theo James) hérite soudainement de la fortune de son père, il découvre que son vaste domaine est le foyer d’un réseau de cannabis. Pour sauver son frère des griffes de dangereuses figures du crime, il s’enfonce malgré lui dans la criminalité.

Notre avis : Guy Ritchie revient quatre ans après son film «The Gentlemen» avec une série dérivée du même univers. Theo James, Kaya Scodelario et Giancarlo Esposito sont excellents dans ce thriller mettant en scène un réseau de narcotrafiquant. Le rythme est soutenu et le style chic et choc. À voir !