L’animateur de TF1 était à Bruxelles, vendredi, pour le vernissage de son exposition de photos, «Âmes grecques» à Art 22 Gallery, dans Les Marolles.
C’était un petit marathon bruxellois pour Nikos Aliagas, en fin de la semaine dernière. Jeudi soir, l’animateur intervenait au screening de TF1 Belgique à destination des annonceurs, pour vendre les programmes de la prochaine saison de la chaîne française. Il était accompagné de sa comparse, Sandrine Quétier («Danse avec les stars» et «50 min Inside»).
Le lendemain Nikos participait au vernissage de son exposition de photos, à Art 22 Gallery sur la Place du Jeu de balle, à Bruxelles. On le sait moins, mais comme François De Brigode, Nikos Aliagas est passionné par la photographie, ceci explique aussi pourquoi l’animateur prend du plaisir à régaler les réseaux sociaux de ses clichés (à l’inverse de François De Brigode !). Durant tout le mois de septembre, il propose ses «Âmes grecques», des instantanés, bien loin des clichés de catalogues de vacances sur la Grèce…
Pour la galerie bruxelloise, exposer des œuvres de Nikos Aliagas est une belle vitrine qui permet un coup de projecteur différent du milieu habituel de la photographie. Lors du vernissage de l’exposition, le Ministre Didier Reynders avait fait le déplacement ainsi que des personnalités politiques locales bruxelloises. Côté people, on pouvait aussi y rencontrer Anne Quevrin ou encore Sandra Kim.
L’exposition est accessible jusqu’au 8 octobre 2017 (les vendredis, samedis et dimanches) et si vous avez un coup de cœur sur un cliché, toutes les œuvres exposées (en édition numérotée) sont à vendre !
«Âmes grecques» par Nikos Aliagas, au Art 22 Gallery, Place du Jeu de Balle, 56 à 1000 Bruxelles.
Pierre Bertinchamps
Nikos est un passionné de photo depuis sa plus tendre enfance. «C’est quelqu’un qui a le besoin de prendre des clichés», poursuit le galeriste. «On connaît ses portraits de personnalités qu’il photographie lors de ses interviews, mais à côté de cela, il a toujours son appareil avec lui, et il va pouvoir photographier le détail ou un moment qui pour lui est significatif.»
Par exemple, il y a une série consacrée aux mains qu’il a débutée en 2015 où Nikos s’attarde sur les mains d’artisans, de sculpteurs, de commerçants ou de joueurs de cartes. «Pour lui, la main raconte une histoire plus explicite qu’une scène générale.» Chaque photo est accompagnée d’un petit texte écrit par Aliagas. «C’est un homme qui a une grande culture littéraire et artistique. Il est fan de poésie. Les premières émotions photographiques de Nikos, ce sont celles de Doisneau qui est aussi un photographe de l’instant», conclut Didier Brouwers.
Pour la galerie bruxelloise, exposer des œuvres de Nikos Aliagas est une belle vitrine qui permet un coup de projecteur différent du milieu habituel de la photographie. Lors du vernissage de l’exposition, le Ministre Didier Reynders avait fait le déplacement ainsi que des personnalités politiques locales bruxelloises. Côté people, on pouvait aussi y rencontrer Anne Quevrin ou encore Sandra Kim.
L’exposition est accessible jusqu’au 8 octobre 2017 (les vendredis, samedis et dimanches) et si vous avez un coup de cœur sur un cliché, toutes les œuvres exposées (en édition numérotée) sont à vendre !
«Âmes grecques» par Nikos Aliagas, au Art 22 Gallery, Place du Jeu de Balle, 56 à 1000 Bruxelles.
Pierre Bertinchamps
C’est une première à Bruxelles. «Nikos a déjà proposé cette exposition à la Galerie Photo 12 à Paris, en 2016», explique Didier Brouwers, Directeur de la galerie d’art. «Comme nous collaborons avec ce lieu pour l’un de nos artistes, nous avions eu l’opportunité de la visiter. Nous avons flashé sur le travail d’Aliagas. On ne connaissait pas du tout ce travail plus intime et authentique, loin de ses activités à la télé.» La galeriste parisienne a mis son homologue bruxellois en relation avec l’animateur.
L’exposition propose des photos prises par Nikos Aliagas entre 2014 et 2017. «Ce sont des clichés très éloignés du côté carte postale dont on pourrait s’attendre de la Grèce», détaille D. Brouwers. «C’est réellement la vision de Nikos sur « sa » Grèce à lui. Ses souvenirs, son enfance, la Grèce de son adolescence avec ses traditions et ses coutumes.» On est loin de la carte postale avec la mer turquoise en toile de fond. Le travail est exclusivement en noir et blanc.
Nikos est un passionné de photo depuis sa plus tendre enfance. «C’est quelqu’un qui a le besoin de prendre des clichés», poursuit le galeriste. «On connaît ses portraits de personnalités qu’il photographie lors de ses interviews, mais à côté de cela, il a toujours son appareil avec lui, et il va pouvoir photographier le détail ou un moment qui pour lui est significatif.»
Par exemple, il y a une série consacrée aux mains qu’il a débutée en 2015 où Nikos s’attarde sur les mains d’artisans, de sculpteurs, de commerçants ou de joueurs de cartes. «Pour lui, la main raconte une histoire plus explicite qu’une scène générale.» Chaque photo est accompagnée d’un petit texte écrit par Aliagas. «C’est un homme qui a une grande culture littéraire et artistique. Il est fan de poésie. Les premières émotions photographiques de Nikos, ce sont celles de Doisneau qui est aussi un photographe de l’instant», conclut Didier Brouwers.
Pour la galerie bruxelloise, exposer des œuvres de Nikos Aliagas est une belle vitrine qui permet un coup de projecteur différent du milieu habituel de la photographie. Lors du vernissage de l’exposition, le Ministre Didier Reynders avait fait le déplacement ainsi que des personnalités politiques locales bruxelloises. Côté people, on pouvait aussi y rencontrer Anne Quevrin ou encore Sandra Kim.
L’exposition est accessible jusqu’au 8 octobre 2017 (les vendredis, samedis et dimanches) et si vous avez un coup de cœur sur un cliché, toutes les œuvres exposées (en édition numérotée) sont à vendre !
«Âmes grecques» par Nikos Aliagas, au Art 22 Gallery, Place du Jeu de Balle, 56 à 1000 Bruxelles.
Pierre Bertinchamps
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